Author: | ALPHONSE MOMAS | ISBN: | 1230001058048 |
Publisher: | GILBERT TEROL | Publication: | May 1, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | ALPHONSE MOMAS |
ISBN: | 1230001058048 |
Publisher: | GILBERT TEROL |
Publication: | May 1, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Extrait :
„J’avais sorti ma verge, et la lui avais fourrée entre les fesses, les serrant l’une contre l’autre, et je te laisse à penser, ma belle, s’il me fallut beaucoup de temps pour arriver à décharger amplement…
„Quand j’eus terminé, il exécuta dans mon derrière les mêmes manœuvresque j’avais opérées sur le sien, et durant plusieurs jours et plusieurs nuits nous nous livrâmes tous deux aux mêmes exercices.
— Nous couchions ensemble, car la maison ne possédait pas assez de lits pour qu’il pût en être autrement, et je n’essaierai pas de te dépeindre les voluptés par lesquelles nous passions toutes les nuits… Nous étions toujours au cul l’un de l’autre, ne nous reposant qu’en nous suçant réciproquement notre petit fuseau, toujours raide et jamais assouvi… Et une nuit, mon cousin, sans trop savoir comment, trouva mon dard à la porte du trou du cul, où j’essayais de le lui enfoncer… Sans trop de souffrance, ma pine y pénétra tout entière, de telle sorte que mes couilles seules dépassaient… Et je jouis comme je ne l’avais jamais fait encore… Il me semblait que ce cul me suçait le gland…
— Quand mon Cousin voulut goûter les mêmes voluptés, il s’aperçut qu’il avait le membre trop gros, et je souffrais tellement lorsqu’il essaya de l’enfoncer, qu’il préféra cesser ce jeu cruel et se laisser branler.
— Tu le vois, ma chérie, termina le rhétoricien, il n’y a pas que dans les pensionnats de filles où l’on apprend, de bonne heure, à approfondir les mystères des voluptés !…
Durant tout le temps que dura ce récit, Hélène se sentit impressionnée de diverses et multiples façons…
Les yeux mi-clos, elle avait devant elle la vision de ces deux enfants, qui s’enculaient avec la même passion, la même fougue que les blasés, les plus absolument dégoûtants.
Elle relevait insensiblement ses jupes, dévoilant son ventre, en appuyant davantage sa croupe sur le membre collé à ses fesses rebondies…
Elle le lui avait sorti du pantalon et le branlait, allant très bas, le décalottant jusqu’à sa base, jouissant d’aise en contemplant ce nœud rose, dont les veines se gonflaient sous l’action du foutre.
Elle se posa sur le canapé, la tête très, peu haute, et enfoncée dans lescoussins…
Le collégien retira son pantalon, et vint se placer entre les cuisses de la jeune femme, évoquant son dard à la porte du temple.
— Non, fit-elle… Ton petit nœud est trop joli… Je veux qu’il me jute dans la bouche…
Elle défit son corsage et mit ses deux belles mamelles à nu, lui disant de se poser dans leur entre-deux…
Le collégien ne se le fit pas répéter, et, serrant les deux gros tétons contre sa pine, il se mit à pousser du ventre, tandis qu’Hélène, la tête inclinée sur la poitrine, recevait le bout rose du nœud dans la bouche…
Extrait :
„J’avais sorti ma verge, et la lui avais fourrée entre les fesses, les serrant l’une contre l’autre, et je te laisse à penser, ma belle, s’il me fallut beaucoup de temps pour arriver à décharger amplement…
„Quand j’eus terminé, il exécuta dans mon derrière les mêmes manœuvresque j’avais opérées sur le sien, et durant plusieurs jours et plusieurs nuits nous nous livrâmes tous deux aux mêmes exercices.
— Nous couchions ensemble, car la maison ne possédait pas assez de lits pour qu’il pût en être autrement, et je n’essaierai pas de te dépeindre les voluptés par lesquelles nous passions toutes les nuits… Nous étions toujours au cul l’un de l’autre, ne nous reposant qu’en nous suçant réciproquement notre petit fuseau, toujours raide et jamais assouvi… Et une nuit, mon cousin, sans trop savoir comment, trouva mon dard à la porte du trou du cul, où j’essayais de le lui enfoncer… Sans trop de souffrance, ma pine y pénétra tout entière, de telle sorte que mes couilles seules dépassaient… Et je jouis comme je ne l’avais jamais fait encore… Il me semblait que ce cul me suçait le gland…
— Quand mon Cousin voulut goûter les mêmes voluptés, il s’aperçut qu’il avait le membre trop gros, et je souffrais tellement lorsqu’il essaya de l’enfoncer, qu’il préféra cesser ce jeu cruel et se laisser branler.
— Tu le vois, ma chérie, termina le rhétoricien, il n’y a pas que dans les pensionnats de filles où l’on apprend, de bonne heure, à approfondir les mystères des voluptés !…
Durant tout le temps que dura ce récit, Hélène se sentit impressionnée de diverses et multiples façons…
Les yeux mi-clos, elle avait devant elle la vision de ces deux enfants, qui s’enculaient avec la même passion, la même fougue que les blasés, les plus absolument dégoûtants.
Elle relevait insensiblement ses jupes, dévoilant son ventre, en appuyant davantage sa croupe sur le membre collé à ses fesses rebondies…
Elle le lui avait sorti du pantalon et le branlait, allant très bas, le décalottant jusqu’à sa base, jouissant d’aise en contemplant ce nœud rose, dont les veines se gonflaient sous l’action du foutre.
Elle se posa sur le canapé, la tête très, peu haute, et enfoncée dans lescoussins…
Le collégien retira son pantalon, et vint se placer entre les cuisses de la jeune femme, évoquant son dard à la porte du temple.
— Non, fit-elle… Ton petit nœud est trop joli… Je veux qu’il me jute dans la bouche…
Elle défit son corsage et mit ses deux belles mamelles à nu, lui disant de se poser dans leur entre-deux…
Le collégien ne se le fit pas répéter, et, serrant les deux gros tétons contre sa pine, il se mit à pousser du ventre, tandis qu’Hélène, la tête inclinée sur la poitrine, recevait le bout rose du nœud dans la bouche…