Si on vous demande d’où vient le mot « mansarde », vous répondrez à coup sûr de Mansart. Tout comme la poubelle rappelle le nom d’un préfet de police parisien et guillotine, celui d’un médecin qui préconisa cet instrument par… humanité.
C’est une forme de gloire que de passer à la postérité en léguant son nom à une chose comme la mousseline (originaire de Mossoul, en Irak), à un animal comme l’angora (qui nous vient d’Ankara), à un trait de caractère comme tartuf(f)e ou à un terme sportif comme le derby.
En cherchant tous azimuts, on s’aperçoit qu’il y a des centaines de mots qui dérivent de noms propres et ce, dans tous les domaines.
Nous en avons recensé 2500 dans cet ouvrage qui, pourtant, ne prétend pas à l’exhaustivité ! Vous n’emploierez plus les termes ampères, joules, watts et autres coulombs sans songer que ces appellations étranges rappellent les noms de savants et, lorsque vous parcourrez les allées d’un jardin, vous songerez aux grands botanistes qui ont donné leur nom au bégonia, camélia, fuchsia, etc.
L’ensemble est complété par des tableaux qui regroupent quelques-uns de ces mots par affinité : noms de monnaies, de chiens, de chevaux ou de chats, de vins ou de fromages qui, tous, ont pour origine un nom propre.
Á propos de l’auteur :
En une quarantaine de livres, Georges Lebouc a surtout abordé les langues qu’il a enseignées comme l’italien ou l’espagnol ou qu’il a sucées avec le lait maternel comme le bruxellois sans oublier le français, langue de ses ancêtres.
Depuis quelques années, il se consacre surtout à l’histoire anecdotique de Bruxelles, sa ville natale, mais revient à la linguistique avec un ouvrage sur les noms propres devenus communs.
Si on vous demande d’où vient le mot « mansarde », vous répondrez à coup sûr de Mansart. Tout comme la poubelle rappelle le nom d’un préfet de police parisien et guillotine, celui d’un médecin qui préconisa cet instrument par… humanité.
C’est une forme de gloire que de passer à la postérité en léguant son nom à une chose comme la mousseline (originaire de Mossoul, en Irak), à un animal comme l’angora (qui nous vient d’Ankara), à un trait de caractère comme tartuf(f)e ou à un terme sportif comme le derby.
En cherchant tous azimuts, on s’aperçoit qu’il y a des centaines de mots qui dérivent de noms propres et ce, dans tous les domaines.
Nous en avons recensé 2500 dans cet ouvrage qui, pourtant, ne prétend pas à l’exhaustivité ! Vous n’emploierez plus les termes ampères, joules, watts et autres coulombs sans songer que ces appellations étranges rappellent les noms de savants et, lorsque vous parcourrez les allées d’un jardin, vous songerez aux grands botanistes qui ont donné leur nom au bégonia, camélia, fuchsia, etc.
L’ensemble est complété par des tableaux qui regroupent quelques-uns de ces mots par affinité : noms de monnaies, de chiens, de chevaux ou de chats, de vins ou de fromages qui, tous, ont pour origine un nom propre.
Á propos de l’auteur :
En une quarantaine de livres, Georges Lebouc a surtout abordé les langues qu’il a enseignées comme l’italien ou l’espagnol ou qu’il a sucées avec le lait maternel comme le bruxellois sans oublier le français, langue de ses ancêtres.
Depuis quelques années, il se consacre surtout à l’histoire anecdotique de Bruxelles, sa ville natale, mais revient à la linguistique avec un ouvrage sur les noms propres devenus communs.