Author: | Adolphe Belot | ISBN: | 1230000212835 |
Publisher: | GILBERT TEROL | Publication: | January 25, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Adolphe Belot |
ISBN: | 1230000212835 |
Publisher: | GILBERT TEROL |
Publication: | January 25, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Line partit la première, en serrant convulsivement ses jambes autour de la tête de Thérèse, qui fondit aussitôt ; mais celle-ci ne put se retirer des lèvres de Line, qui ayant saisi son clitoris, le serrait, le tirait, le suçait à la faire crier ; et toutes deux jouissaient encore en rugissant, quand je m’écriai à mon tour : « Oh ! Thérèse… Line… chéries… voilà… oh !… oh !… Je meurs !… je meurs !… »
Thérèse se dégagea la première, le visage congestionné, mais heureuse, et elle se précipita sur ma grotte béante pour en aspirer les derniers effluves.
Line était demeurée inerte, anéantie par le plaisir.
Presque aussitôt, sous la langue enragée de Thérèse, je jouis de nouveau, plus abondamment que la première fois ; elle m’épuisa dans une longue aspiration, puis revint s’affaler à mon côté.
J’avais si fortement serré la motte de Line, dans ce dernier spasme, qu’elle fit un mouvement et revint à la vie. « Je suis morte… j’étais au ciel », murmura-t-elle.
Et subitement elle m’enjamba et s’étendit entre moi et Thérèse, dont elle saisit la tête à deux mains, lui disant : « Ah ! ma Thérèse, que je t’aime !… Que tu m’as rendue heureuse !… Je n’avais jamais ressenti pareils délices. Tout ce que j’ai fait avec mes amies ne sont qu’enfantillages ; toi, tu m’as fait éprouver de l’amour… de l’amour véritable, comme on dit que les hommes en ont pour les femmes. Il m’a semblé que mon cœur s’ouvrait et qu’il se fondait en toi. Mon âme s’est envolée… Je t’aime !… »
Puis se tournant vers moi, elle m’embrassa tendrement : « Oh ! pardon, sœur, pardon de ce que je viens de dire. Je t’aime aussi, ma Cile, je t’aime autant que Thérèse ; ne m’as-tu pas fait connaître le bonheur ?… N’ai-je pas aussi expiré sur tes lèvres ?… Ne sois pas jalouse, mon adorée ! »
— Mais non, ma chérie, je ne suis pas jalouse ; je suis attendrie seulement… de te voir si heureuse… Et toutes trois nous nous embrassâmes, et on se mit à bavarder.
— Dis donc, sœur, tout à l’heure, pendant que Thérèse et moi faisions soixante-neuf, il m’a semblé sentir quelque chose… qui n’était pas fait comme le nôtre… Mais j’étais si heureuse que je n’ai pas bien regardé.
— Eh bien ! examine-le maintenant…
Thérèse écarta complaisamment les jambes, et la petite curieuse se pencha sur l’objet en question, que sa partenaire exhiba de son mieux, en glissant un coussin sous ses fesses. Line écarta les grandes lèvres et mit au jour ce qui avait déjà suscité chez moi une si vive surprise. Elle prit entre ses doigts le joli clito qui se roidit aussitôt sous cet attouchement : « Que c’est drôle, fit-elle, on dirait une affaire d’homme ! »
— Vous en avez donc déjà vu, mademoiselle ?…
— Que tu es bête !… Et les statues !…
Elle le mit entre ses lèvres, voulant le sucer.
Notre insatiable amie recommençait à pousser de nouveaux soupirs, de nouvelles exclamations ; tout à coup, elle se redressa, et grimpa sur Line qui mit le fameux petit membre juste au bon endroit, en jetant ses bras autour des reins de son « homme ». S’écriant : « Oui, oui, baise bien ta petite femme… fais-moi jouir… oh ! je te sens dans moi, tu me brûles… pousse… frotte… pas si fort… va… »
Entre chaque mot elle lui passait des langues et l’étreignait avec frénésie.
Thérèse continuait ses mouvements de reins avec une régularité et une vigueur masculine ; elle ne tarda pas à murmurer à son tour : « Oh ! c’est toujours bon… toujours… Je sens que ça vient… je vais jouir… ô délices… je coule… je fonds… je meurs… oh !… »
Et toutes deux rendirent l’âme dans un double cri de jouissance.
— Allons, cette fois, je m’en vais, dit Thérèse en se levant ; si je restais au lit, je sens que je m’endormirais.
— Toi, mon amour, dit-elle à Line, repose-toi bien ; tu es jolie comme un cœur, tu seras une parfaite amoureuse ; mais, tu sais, il ne faut abuser ni du doigt, ni de la langue. Ce matin, nous avons fait des folies… « Et nous en ferons encore demain, n’est-ce pas, Thérèse ?… C’est mon dernier jour de vacances… »
— Linette chérie, vous êtes une petite dévergondée…
— Je t’aime, Thérèse !.. Elle nous quitta après nous avoir fait une langue à chacune…
— Thérèse… je t’adore… murmura encore Line, et ses yeux se fermèrent…
Tu vois, cher Léo, que nous avons bien commencé l’année, à Paris ; et j’ai vu, par ta dernière lettre, que de ton côté tu te disposais à ne pas mal finir celle qui vient de s’écouler. Le récit de tes exploits nous a forcées, Thérèse et moi, à interrompre notre lecture ; tu devines pour quoi faire.
J’espère que tes trois ravissantes maîtresses ne te feront pas oublier ta petite femme, et que ni Dora, ni Maud, ni même Flora ne parviendront à remplacer.
Ta Cécile.
Line partit la première, en serrant convulsivement ses jambes autour de la tête de Thérèse, qui fondit aussitôt ; mais celle-ci ne put se retirer des lèvres de Line, qui ayant saisi son clitoris, le serrait, le tirait, le suçait à la faire crier ; et toutes deux jouissaient encore en rugissant, quand je m’écriai à mon tour : « Oh ! Thérèse… Line… chéries… voilà… oh !… oh !… Je meurs !… je meurs !… »
Thérèse se dégagea la première, le visage congestionné, mais heureuse, et elle se précipita sur ma grotte béante pour en aspirer les derniers effluves.
Line était demeurée inerte, anéantie par le plaisir.
Presque aussitôt, sous la langue enragée de Thérèse, je jouis de nouveau, plus abondamment que la première fois ; elle m’épuisa dans une longue aspiration, puis revint s’affaler à mon côté.
J’avais si fortement serré la motte de Line, dans ce dernier spasme, qu’elle fit un mouvement et revint à la vie. « Je suis morte… j’étais au ciel », murmura-t-elle.
Et subitement elle m’enjamba et s’étendit entre moi et Thérèse, dont elle saisit la tête à deux mains, lui disant : « Ah ! ma Thérèse, que je t’aime !… Que tu m’as rendue heureuse !… Je n’avais jamais ressenti pareils délices. Tout ce que j’ai fait avec mes amies ne sont qu’enfantillages ; toi, tu m’as fait éprouver de l’amour… de l’amour véritable, comme on dit que les hommes en ont pour les femmes. Il m’a semblé que mon cœur s’ouvrait et qu’il se fondait en toi. Mon âme s’est envolée… Je t’aime !… »
Puis se tournant vers moi, elle m’embrassa tendrement : « Oh ! pardon, sœur, pardon de ce que je viens de dire. Je t’aime aussi, ma Cile, je t’aime autant que Thérèse ; ne m’as-tu pas fait connaître le bonheur ?… N’ai-je pas aussi expiré sur tes lèvres ?… Ne sois pas jalouse, mon adorée ! »
— Mais non, ma chérie, je ne suis pas jalouse ; je suis attendrie seulement… de te voir si heureuse… Et toutes trois nous nous embrassâmes, et on se mit à bavarder.
— Dis donc, sœur, tout à l’heure, pendant que Thérèse et moi faisions soixante-neuf, il m’a semblé sentir quelque chose… qui n’était pas fait comme le nôtre… Mais j’étais si heureuse que je n’ai pas bien regardé.
— Eh bien ! examine-le maintenant…
Thérèse écarta complaisamment les jambes, et la petite curieuse se pencha sur l’objet en question, que sa partenaire exhiba de son mieux, en glissant un coussin sous ses fesses. Line écarta les grandes lèvres et mit au jour ce qui avait déjà suscité chez moi une si vive surprise. Elle prit entre ses doigts le joli clito qui se roidit aussitôt sous cet attouchement : « Que c’est drôle, fit-elle, on dirait une affaire d’homme ! »
— Vous en avez donc déjà vu, mademoiselle ?…
— Que tu es bête !… Et les statues !…
Elle le mit entre ses lèvres, voulant le sucer.
Notre insatiable amie recommençait à pousser de nouveaux soupirs, de nouvelles exclamations ; tout à coup, elle se redressa, et grimpa sur Line qui mit le fameux petit membre juste au bon endroit, en jetant ses bras autour des reins de son « homme ». S’écriant : « Oui, oui, baise bien ta petite femme… fais-moi jouir… oh ! je te sens dans moi, tu me brûles… pousse… frotte… pas si fort… va… »
Entre chaque mot elle lui passait des langues et l’étreignait avec frénésie.
Thérèse continuait ses mouvements de reins avec une régularité et une vigueur masculine ; elle ne tarda pas à murmurer à son tour : « Oh ! c’est toujours bon… toujours… Je sens que ça vient… je vais jouir… ô délices… je coule… je fonds… je meurs… oh !… »
Et toutes deux rendirent l’âme dans un double cri de jouissance.
— Allons, cette fois, je m’en vais, dit Thérèse en se levant ; si je restais au lit, je sens que je m’endormirais.
— Toi, mon amour, dit-elle à Line, repose-toi bien ; tu es jolie comme un cœur, tu seras une parfaite amoureuse ; mais, tu sais, il ne faut abuser ni du doigt, ni de la langue. Ce matin, nous avons fait des folies… « Et nous en ferons encore demain, n’est-ce pas, Thérèse ?… C’est mon dernier jour de vacances… »
— Linette chérie, vous êtes une petite dévergondée…
— Je t’aime, Thérèse !.. Elle nous quitta après nous avoir fait une langue à chacune…
— Thérèse… je t’adore… murmura encore Line, et ses yeux se fermèrent…
Tu vois, cher Léo, que nous avons bien commencé l’année, à Paris ; et j’ai vu, par ta dernière lettre, que de ton côté tu te disposais à ne pas mal finir celle qui vient de s’écouler. Le récit de tes exploits nous a forcées, Thérèse et moi, à interrompre notre lecture ; tu devines pour quoi faire.
J’espère que tes trois ravissantes maîtresses ne te feront pas oublier ta petite femme, et que ni Dora, ni Maud, ni même Flora ne parviendront à remplacer.
Ta Cécile.