Après les deux précédents ouvrages (Symphonies Fantastiques. Musiques de Films fantastiques et de science-fiction et Musiques de Films fantastiques et de science-fiction. Les compositeurs (de A à M) chez Camion Blanc), nous terminons avec cette seconde partie de nos compositeurs. De Newton Howard à Philips et Poledouris, en passant par Revell, Rosenman, Shore, Silvestri ou Steiner, pour finir sur des Williams ou des Young ; ici encore le catalogue de ces compositeurs reste conséquent. D'autant que si certains comme Talgorn, Vangelis, Williams (David) ou Wells n'ont que quelques oeuvres à leur actif dans ce genre musical précis, leur apport reste marquant et aura contribué à la réussite des métrages auxquels ils sont associés. Dans la mesure du possible, une place a été laissée, à l'instar du précédent tome (Goldenthal en étant un bon exemple), aux compositions dites classiques de nos compositeurs. Là aussi en fonction des sources et du fait notable que nombre de créations n'ont pas trouvé le chemin des éditeurs, il a été nécessaire, soit de ne pas en parler, soit de les survoler.
Après les deux précédents ouvrages (Symphonies Fantastiques. Musiques de Films fantastiques et de science-fiction et Musiques de Films fantastiques et de science-fiction. Les compositeurs (de A à M) chez Camion Blanc), nous terminons avec cette seconde partie de nos compositeurs. De Newton Howard à Philips et Poledouris, en passant par Revell, Rosenman, Shore, Silvestri ou Steiner, pour finir sur des Williams ou des Young ; ici encore le catalogue de ces compositeurs reste conséquent. D'autant que si certains comme Talgorn, Vangelis, Williams (David) ou Wells n'ont que quelques oeuvres à leur actif dans ce genre musical précis, leur apport reste marquant et aura contribué à la réussite des métrages auxquels ils sont associés. Dans la mesure du possible, une place a été laissée, à l'instar du précédent tome (Goldenthal en étant un bon exemple), aux compositions dites classiques de nos compositeurs. Là aussi en fonction des sources et du fait notable que nombre de créations n'ont pas trouvé le chemin des éditeurs, il a été nécessaire, soit de ne pas en parler, soit de les survoler.