La sous-culture gothique est la plus diversifiée, sinon la plus riche. Et la plus pérenne. Ressuscitée sous sa forme contemporaine peu après la déferlante punk, elle n’a cessé depuis de se développer sans jamais être rattrapée ni « vampirisée » — par les médias de masse. L’art de vivre gothique car c’est bien de cela qu’il s’agit s’est épanoui de génération en génération en se nourrissant de littérature, en créant ses propres codes, son style vestimentaire, son répertoire musical, son raffinement érotique, et en se situant de façon originale et sans cesse réinventée par rapport au mystère, à la pénombre, à la magie. Ce sont tous ces territoires initiatiques que Nancy Kilpatrick explore et documente complètement avec sa Bible gothique.
La sous-culture gothique est la plus diversifiée, sinon la plus riche. Et la plus pérenne. Ressuscitée sous sa forme contemporaine peu après la déferlante punk, elle n’a cessé depuis de se développer sans jamais être rattrapée ni « vampirisée » — par les médias de masse. L’art de vivre gothique car c’est bien de cela qu’il s’agit s’est épanoui de génération en génération en se nourrissant de littérature, en créant ses propres codes, son style vestimentaire, son répertoire musical, son raffinement érotique, et en se situant de façon originale et sans cesse réinventée par rapport au mystère, à la pénombre, à la magie. Ce sont tous ces territoires initiatiques que Nancy Kilpatrick explore et documente complètement avec sa Bible gothique.