Author: | Johann Rudolf Wyss, Isabelle de Montolieu, Paul Jouhanneaud | ISBN: | 1230002864952 |
Publisher: | E. Ardant et C. Thibaut (Limoges) 1878 | Publication: | November 16, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Johann Rudolf Wyss, Isabelle de Montolieu, Paul Jouhanneaud |
ISBN: | 1230002864952 |
Publisher: | E. Ardant et C. Thibaut (Limoges) 1878 |
Publication: | November 16, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
À la suite d’un naufrage alors qu’elle se rend à Port Jackson en Australie pour toucher un héritage, une famille suisse, les Zermatt, se retrouve échouée sur une île perdue de l’Indonésie.
Genèse
Johann David Wyss rédige Le Robinson suisse entre 1794 et 1798 pour ses enfants, sans autre arrière-pensée éditoriale. Son intention était d’écrire une histoire de laquelle ses enfants tireraient des leçons de vie et de morale, à l’image du personnage du père dans le roman, qui enseigne des choses importantes à ses enfants.
Le style de l’auteur sera décrit, bien plus tard, comme « résolument chrétien et empreint de morale », tout comme le sera le roman Robinson Crusoé de Daniel Defoe (1719) dont il a été dit[Par qui ?] que Johann David Wyss s’était inspiré.
Le livre ne sera publié qu’en 1812 par l’un des fils de l’auteur, Johann Rudolf Wyss, professeur de philosophie à Berne et auteur de l’ancien hymne national suisse. Le roman paraît sans nom d’auteur et porte la mention : « publié par Johann Rudolph Wyss ». Son autre fils, Johann Emmanuel Wyss, illustrera le livre.
La première traduction française
La première édition en langue française paraît en 1813 à Lausanne, traduite et adaptée en deux volumes par la Suissesse Isabelle de Montolieu sous le titre : Le Robinson suisse ou Journal d’un père de famille naufragé avec ses enfants.
Suite
Jules Verne, grand admirateur du roman de Johann David Wyss, a imaginé une suite au Robinson suisse. Son roman, titré Seconde Patrie paraît en 1900 et narre la suite des aventures de la famille Zermatt.
À la suite d’un naufrage alors qu’elle se rend à Port Jackson en Australie pour toucher un héritage, une famille suisse, les Zermatt, se retrouve échouée sur une île perdue de l’Indonésie.
Genèse
Johann David Wyss rédige Le Robinson suisse entre 1794 et 1798 pour ses enfants, sans autre arrière-pensée éditoriale. Son intention était d’écrire une histoire de laquelle ses enfants tireraient des leçons de vie et de morale, à l’image du personnage du père dans le roman, qui enseigne des choses importantes à ses enfants.
Le style de l’auteur sera décrit, bien plus tard, comme « résolument chrétien et empreint de morale », tout comme le sera le roman Robinson Crusoé de Daniel Defoe (1719) dont il a été dit[Par qui ?] que Johann David Wyss s’était inspiré.
Le livre ne sera publié qu’en 1812 par l’un des fils de l’auteur, Johann Rudolf Wyss, professeur de philosophie à Berne et auteur de l’ancien hymne national suisse. Le roman paraît sans nom d’auteur et porte la mention : « publié par Johann Rudolph Wyss ». Son autre fils, Johann Emmanuel Wyss, illustrera le livre.
La première traduction française
La première édition en langue française paraît en 1813 à Lausanne, traduite et adaptée en deux volumes par la Suissesse Isabelle de Montolieu sous le titre : Le Robinson suisse ou Journal d’un père de famille naufragé avec ses enfants.
Suite
Jules Verne, grand admirateur du roman de Johann David Wyss, a imaginé une suite au Robinson suisse. Son roman, titré Seconde Patrie paraît en 1900 et narre la suite des aventures de la famille Zermatt.