Author: | Farah Kay | ISBN: | 9782390091196 |
Publisher: | La Boîte à Pandore | Publication: | April 25, 2017 |
Imprint: | La Boîte à Pandore | Language: | French |
Author: | Farah Kay |
ISBN: | 9782390091196 |
Publisher: | La Boîte à Pandore |
Publication: | April 25, 2017 |
Imprint: | La Boîte à Pandore |
Language: | French |
Un récit de vie déchirant qui revient sur une enfance détruite...
Une famille d’origine marocaine, dans une cité populaire : le père, la mère, le fils. Et Farah, la souffre-douleur, la moins que rien, qui doit payer de toutes les manières possibles la faute originelle d’être née fille, jusqu’à l’horreur dans laquelle son père l’entraîne de ses 4 ans à ses 15 ans, avec la bénédiction d’une mère pour qui le rôle d’une fille est de se soumettre aux désirs des hommes. Même les plus monstrueux, même s’ils doivent détruire une enfant.
Les années ont passé et Farah s’est relevée. Blessée à vie, elle a trouvé la force de s’évader, de fuir le cercle pervers où elle était enfermée. Et de se reconstruire.
Pour preuve, ce témoignage puissant, souvent déchirant, mais qui sait aussi être drôle, prendre une distance salutaire avec l’horreur des faits qu’il dénonce.
Devenue une femme libre, Farah Kay a acquis le courage de regarder en face, avec une colère lucide, ce père, cette mère et cette version obscurantiste, régressive d’un islam qui peut, parfois, rejeter les jeunes filles hors de l’humanité.
Suivez ce témoignage bouleversant de l'horreur vécue par l'auteure et de son combat pour se reconstruire.
EXTRAIT
Pourquoi ne peut-on pas lever ce voile que Dieu aurait mis sur mon père, sur les hommes, pour cacher leur perversité ? Je ne dis pas que tous les hommes sont pervers, heureusement. Mais, je tente aujourd’hui d’arracher ce voile au nom de ma liberté de penser. J’ai pourtant cru en Allah, il y a longtemps. Mais croire en lui, c’était être en prison, dans une autre prison. Aujourd’hui, je sais que la lumière existe et c’est vers elle que je veux m’approcher au plus près.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Farah Kay, comédienne belgo-marocaine, partage son temps entre Paris et Bruxelles. Elle a notamment joué dans « Les vacances de Noël » de Jean Brucquoy aux côtés de Noël Godin, Yolande Moreau et Edouard Baer.
Un récit de vie déchirant qui revient sur une enfance détruite...
Une famille d’origine marocaine, dans une cité populaire : le père, la mère, le fils. Et Farah, la souffre-douleur, la moins que rien, qui doit payer de toutes les manières possibles la faute originelle d’être née fille, jusqu’à l’horreur dans laquelle son père l’entraîne de ses 4 ans à ses 15 ans, avec la bénédiction d’une mère pour qui le rôle d’une fille est de se soumettre aux désirs des hommes. Même les plus monstrueux, même s’ils doivent détruire une enfant.
Les années ont passé et Farah s’est relevée. Blessée à vie, elle a trouvé la force de s’évader, de fuir le cercle pervers où elle était enfermée. Et de se reconstruire.
Pour preuve, ce témoignage puissant, souvent déchirant, mais qui sait aussi être drôle, prendre une distance salutaire avec l’horreur des faits qu’il dénonce.
Devenue une femme libre, Farah Kay a acquis le courage de regarder en face, avec une colère lucide, ce père, cette mère et cette version obscurantiste, régressive d’un islam qui peut, parfois, rejeter les jeunes filles hors de l’humanité.
Suivez ce témoignage bouleversant de l'horreur vécue par l'auteure et de son combat pour se reconstruire.
EXTRAIT
Pourquoi ne peut-on pas lever ce voile que Dieu aurait mis sur mon père, sur les hommes, pour cacher leur perversité ? Je ne dis pas que tous les hommes sont pervers, heureusement. Mais, je tente aujourd’hui d’arracher ce voile au nom de ma liberté de penser. J’ai pourtant cru en Allah, il y a longtemps. Mais croire en lui, c’était être en prison, dans une autre prison. Aujourd’hui, je sais que la lumière existe et c’est vers elle que je veux m’approcher au plus près.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Farah Kay, comédienne belgo-marocaine, partage son temps entre Paris et Bruxelles. Elle a notamment joué dans « Les vacances de Noël » de Jean Brucquoy aux côtés de Noël Godin, Yolande Moreau et Edouard Baer.