La plus grande serial-killer de tous les temps

Veuve Becker

Nonfiction, Social & Cultural Studies, Social Science, Crimes & Criminals, Murder, True Crime
Cover of the book La plus grande serial-killer de tous les temps by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore, La Boîte à Pandore
View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart
Author: Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore ISBN: 9782390090762
Publisher: La Boîte à Pandore Publication: March 2, 2015
Imprint: La Boîte à Pandore Language: French
Author: Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
ISBN: 9782390090762
Publisher: La Boîte à Pandore
Publication: March 2, 2015
Imprint: La Boîte à Pandore
Language: French
Marie-Alexandrine Petitjean, Veuve Becker (Belgique, 1879-1942), onze victimes : dix femmes et un homme.

Henry-Désiré Landru (France, 1869-1922), onze victimes : dix femmes et un homme.
À quelques années près, ils sont contemporains. Leur parcours criminel est identique.
Ils sont sociables, s’y entendent à cajoler leurs proies avant de les tuer, raflant leurs biens pour faire bonne mesure. Tous deux furent condamnés à la peine capitale : Landru passera sous le couperet, la Veuve Becker verra sa sentence commuée en détention à perpétuité. Mais là s’arrêtent les parallèles entre ces deux personnages dans l’histoire des crimes en série.
C’est à la prison de Saint-Léonard que s’est éteinte l’empoisonneuse liégeoise, sans manifester le moindre remords.
Et pourtant… Au départ était-elle attachante, cette petite Marie qui, aidée par le curé de son village, apprit à lire, à écrire, à compter. À 16 ans, elle débarque à Liège, où elle veut apprendre le métier de couturière.
Elle a des dons, du charme, elle est intelligente et gentille. La voici ouvrière qualifiée dans le plus célèbre magasin de mode du Carré liégeois.
D’un tempérament de feu, elle prend la vie par tous les bouts: le jour pour le travail, la nuit pour les plaisirs et pour les hommes.Il s’en trouva même un, Charles Becker, pour lui offrir son nom et l’honorabilité au sein d’une famille d’artisans. Mais…
La cinquantaine venue, comment lui vint l’idée de verser de la digitaline dans un thé « au goût si amer » ? Nul ne le sait. Par contre, la raison est claire : elle aimait trop les hommes. « Il a si bien le tour, Monsieur le Président » dira-t-elle à son procès pour se justifier d’une liaison avec l’époux d’une femme empoisonnée par ses soins. C’était la première de ses victimes…

Un livre saisissant pour découvrir le destin de cette femme qui glaça le sang des Belges

CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE 

- « Un formidable témoignage sur un pays, une époque et surtout une certaine tranche de la société où la bourgeoisie urbaine commence à émerger. »- K libre

EXTRAIT 

Le présent ouvrage propose des affaires criminelles dont les procès ont eu lieu récemment. Les choses ont-elles changé en trois ou quatre années ?
Oui, quant à la fréquence des procès : on constate une aug¬mentation incessante, lancinante et catastrophique de ceux-ci.
Ainsi, certaines Cours d’assises qui, il y a une dizaine d’an¬nées seulement, « fonctionnaient » à raison d’une session par quinzaine ou par mois, sont aujourd’hui (année 2012-2013) obligées de programmer des procès toutes les semaines, en croisant les doigts qu’il n’y ait pas d’incidents majeurs nécessitant des retards ou reports, d’où une modification d’un calendrier de plus en plus serré.
La sacro-sainte volonté de juger dans des délais raisonnables (la Cour européenne des Droits de l’Homme établie à Strasbourg veille au grain à ce sujet) est parfois battue en brèche face à cette réalité de « terrain », peu ou pas connue de certains décideurs politiques.
Ceci étant précisé, il n’y a rien de changé au niveau de l’« am¬biance » qui se déroule dans ce type de procédure judiciaire.
Les salles des pas perdus restent toujours des cours des miracles avec leurs lots de tristesse, surtout dans le chef des victimes ou des familles de condamnés, de joies, parfois difficilement contenues, émanant d’acquittés, d’attitudes « neutres » de journalistes et chroniqueurs judiciaires, ou déplacées, choquantes, émotives, colériques, angéliques, poujadistes… des habituelles personnes qui suivent ces procès d’assises comme elles regardent des séries télévisées, les « Julie Lescaut », « Experts : Miami », « Esprits criminels », « Inspecteur Barnaby », « Mentalist »… !
À l’exception de nouveaux magistrats et avocats, rien n’a donc fondamentalement changé dans cette ambiance si particulière aux assises.

View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart
Marie-Alexandrine Petitjean, Veuve Becker (Belgique, 1879-1942), onze victimes : dix femmes et un homme.

Henry-Désiré Landru (France, 1869-1922), onze victimes : dix femmes et un homme.
À quelques années près, ils sont contemporains. Leur parcours criminel est identique.
Ils sont sociables, s’y entendent à cajoler leurs proies avant de les tuer, raflant leurs biens pour faire bonne mesure. Tous deux furent condamnés à la peine capitale : Landru passera sous le couperet, la Veuve Becker verra sa sentence commuée en détention à perpétuité. Mais là s’arrêtent les parallèles entre ces deux personnages dans l’histoire des crimes en série.
C’est à la prison de Saint-Léonard que s’est éteinte l’empoisonneuse liégeoise, sans manifester le moindre remords.
Et pourtant… Au départ était-elle attachante, cette petite Marie qui, aidée par le curé de son village, apprit à lire, à écrire, à compter. À 16 ans, elle débarque à Liège, où elle veut apprendre le métier de couturière.
Elle a des dons, du charme, elle est intelligente et gentille. La voici ouvrière qualifiée dans le plus célèbre magasin de mode du Carré liégeois.
D’un tempérament de feu, elle prend la vie par tous les bouts: le jour pour le travail, la nuit pour les plaisirs et pour les hommes.Il s’en trouva même un, Charles Becker, pour lui offrir son nom et l’honorabilité au sein d’une famille d’artisans. Mais…
La cinquantaine venue, comment lui vint l’idée de verser de la digitaline dans un thé « au goût si amer » ? Nul ne le sait. Par contre, la raison est claire : elle aimait trop les hommes. « Il a si bien le tour, Monsieur le Président » dira-t-elle à son procès pour se justifier d’une liaison avec l’époux d’une femme empoisonnée par ses soins. C’était la première de ses victimes…

Un livre saisissant pour découvrir le destin de cette femme qui glaça le sang des Belges

CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE 

- « Un formidable témoignage sur un pays, une époque et surtout une certaine tranche de la société où la bourgeoisie urbaine commence à émerger. »- K libre

EXTRAIT 

Le présent ouvrage propose des affaires criminelles dont les procès ont eu lieu récemment. Les choses ont-elles changé en trois ou quatre années ?
Oui, quant à la fréquence des procès : on constate une aug¬mentation incessante, lancinante et catastrophique de ceux-ci.
Ainsi, certaines Cours d’assises qui, il y a une dizaine d’an¬nées seulement, « fonctionnaient » à raison d’une session par quinzaine ou par mois, sont aujourd’hui (année 2012-2013) obligées de programmer des procès toutes les semaines, en croisant les doigts qu’il n’y ait pas d’incidents majeurs nécessitant des retards ou reports, d’où une modification d’un calendrier de plus en plus serré.
La sacro-sainte volonté de juger dans des délais raisonnables (la Cour européenne des Droits de l’Homme établie à Strasbourg veille au grain à ce sujet) est parfois battue en brèche face à cette réalité de « terrain », peu ou pas connue de certains décideurs politiques.
Ceci étant précisé, il n’y a rien de changé au niveau de l’« am¬biance » qui se déroule dans ce type de procédure judiciaire.
Les salles des pas perdus restent toujours des cours des miracles avec leurs lots de tristesse, surtout dans le chef des victimes ou des familles de condamnés, de joies, parfois difficilement contenues, émanant d’acquittés, d’attitudes « neutres » de journalistes et chroniqueurs judiciaires, ou déplacées, choquantes, émotives, colériques, angéliques, poujadistes… des habituelles personnes qui suivent ces procès d’assises comme elles regardent des séries télévisées, les « Julie Lescaut », « Experts : Miami », « Esprits criminels », « Inspecteur Barnaby », « Mentalist »… !
À l’exception de nouveaux magistrats et avocats, rien n’a donc fondamentalement changé dans cette ambiance si particulière aux assises.

More books from La Boîte à Pandore

Cover of the book Meurtres au féminin by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Vitriolée ! by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Félicitations, c'est une FIV ! by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Divorcée malgré moi ! by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Chroniques d'une génération qui boit by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Sein ou biberon ? Choisis ton camp ! by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Mon fils est trisomique, et alors ? by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Ces jeunes devenus criminels by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Les péchés mignons de l'anorexie by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Pourquoi j'ai refusé la religion de mon mari ? by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Les plus grands bâtards de l'Histoire by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Sois belle et nettoie ! by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Ma vie de maîtresse SM by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book En finir avec les relations amoureuses toxiques by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
Cover of the book Les plus étonnantes aventures de l'histoire du Q by Elisabeth Lange, La Boîte à Pandore
We use our own "cookies" and third party cookies to improve services and to see statistical information. By using this website, you agree to our Privacy Policy