Author: | Jean-Pierre Bernès, Bernard Pascuito | ISBN: | 9782402176552 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1995 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Albin Michel) | Language: | French |
Author: | Jean-Pierre Bernès, Bernard Pascuito |
ISBN: | 9782402176552 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1995 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Albin Michel) |
Language: | French |
Qui a oublié l’image de Jean-Pierre Bernès, le directeur général de l’Olympique de Marseille à peine sorti de la prison de Loos-lès-Lille, accomplissant bras levés, un tour d’honneur du Stade Vélodrome sous les acclamations de dizaines de milliers de supporters ? Ce triomphe précédait la chute : le club marseillais, vainqueur de la coupe d’Europe des clubs champions, accusé de tentative de corruption lors d’un match de championnat contre Valenciennes, allait être rétrogradé en seconde division tandis que Bernès, mis en examen, serait contraint à démissionner. « Ces décisions, écrit-il — le tour d’honneur, la démission — je m’en suis aperçu plus tard, c’est Tapie qui les a prises à ma place. Tapie, mon patron, mon président, mon bienfaiteur, l’homme qui m’avait donné sa confiance, qui m’avait guidé pendant des années, l’homme pour lequel j’aurais été prêt à mourir. » Dégrisé, Bernés parle sans fard. Il raconte le monde du football, un univers où l’argent est roi et tous les coups permis. Il révèle l’emprise de Bernard Tapie sur l’O.M. « Cet homme, écrit-il, allait m’entraîner, de façon consentie et durant sept ans, dans une spirale vertigineuse. » C’est l’extraordinaire histoire de cette fascination que l’ancien dirigeant de l’O.M. nous livre aujourd’hui.
Qui a oublié l’image de Jean-Pierre Bernès, le directeur général de l’Olympique de Marseille à peine sorti de la prison de Loos-lès-Lille, accomplissant bras levés, un tour d’honneur du Stade Vélodrome sous les acclamations de dizaines de milliers de supporters ? Ce triomphe précédait la chute : le club marseillais, vainqueur de la coupe d’Europe des clubs champions, accusé de tentative de corruption lors d’un match de championnat contre Valenciennes, allait être rétrogradé en seconde division tandis que Bernès, mis en examen, serait contraint à démissionner. « Ces décisions, écrit-il — le tour d’honneur, la démission — je m’en suis aperçu plus tard, c’est Tapie qui les a prises à ma place. Tapie, mon patron, mon président, mon bienfaiteur, l’homme qui m’avait donné sa confiance, qui m’avait guidé pendant des années, l’homme pour lequel j’aurais été prêt à mourir. » Dégrisé, Bernés parle sans fard. Il raconte le monde du football, un univers où l’argent est roi et tous les coups permis. Il révèle l’emprise de Bernard Tapie sur l’O.M. « Cet homme, écrit-il, allait m’entraîner, de façon consentie et durant sept ans, dans une spirale vertigineuse. » C’est l’extraordinaire histoire de cette fascination que l’ancien dirigeant de l’O.M. nous livre aujourd’hui.