Author: | Patrick Besson | ISBN: | 9782213641881 |
Publisher: | Fayard | Publication: | March 1, 2002 |
Imprint: | Fayard | Language: | French |
Author: | Patrick Besson |
ISBN: | 9782213641881 |
Publisher: | Fayard |
Publication: | March 1, 2002 |
Imprint: | Fayard |
Language: | French |
Argumentaire auteur : Grand Prix du roman de l'Académie française pour Dara, Prix Renaudot pour Les Braban, Patrick Besson, dont le « du même auteur » comporte pas moins de quarante-cinq titres, a succédé à l'automne 2001 à André Brincourt au « feuilleton » littéraire du Figaro. Argumentaire livre : Si les mauvais sentiments font la bonne littérature, nous voici servis avec ces confessions d'un enfant de la fin du XXe siècle, celles d'un très mauvais garçon de très grand talent dont la vie est une déambulation rêvassante passée à lire, marcher, baiser, boire, bouffer, et écrire des textes comme on fabrique de la fausse monnaie. Un de ces écrivains que le génie français a appris à qualifier tout à la fois de moralistes, parce qu'ils parlent des moeurs, et de libertins, parce qu'ils les ont mauvaises. Au-delà, un janséniste athée qui porte sur les autres et lui-même ce jugement terrible et définitif : « Les humains se décomposent de leur vivant. Je choisis d'être inhumain. »
Argumentaire auteur : Grand Prix du roman de l'Académie française pour Dara, Prix Renaudot pour Les Braban, Patrick Besson, dont le « du même auteur » comporte pas moins de quarante-cinq titres, a succédé à l'automne 2001 à André Brincourt au « feuilleton » littéraire du Figaro. Argumentaire livre : Si les mauvais sentiments font la bonne littérature, nous voici servis avec ces confessions d'un enfant de la fin du XXe siècle, celles d'un très mauvais garçon de très grand talent dont la vie est une déambulation rêvassante passée à lire, marcher, baiser, boire, bouffer, et écrire des textes comme on fabrique de la fausse monnaie. Un de ces écrivains que le génie français a appris à qualifier tout à la fois de moralistes, parce qu'ils parlent des moeurs, et de libertins, parce qu'ils les ont mauvaises. Au-delà, un janséniste athée qui porte sur les autres et lui-même ce jugement terrible et définitif : « Les humains se décomposent de leur vivant. Je choisis d'être inhumain. »