Découvrez le quotidien de Wallons engagés dans les forces SS au travers de lettres, carnets de guerres et témoignages.
Il y a déjà eu des études, jamais de livre de témoignage. La division SS Wallonie était composée de volontaires wallons. Elle est issue de la Légion Wallonie, formée en août 1941 sous les auspices conjugués de Fernand Rouleau, bras droit de Léon Degrelle, de l’occupant et du mouvement rexiste de Léon Degrelle. Nous n’avons pas voulu ici faire une histoire de la Légion Wallonie mais nous intéresser à des témoignages bruts, à des lettres, à des carnets de guerre qui nous permettent, au-delà de l’histoire officielle, de comprendre ce qui a fait que ces jeunes soient partis mourir dans les steppes sibériennes pour un motif dévoyé. Ces écrits personnels sont éclairant. 60 ans plus tard rien ne permet encore d’excuser cette hécatombe.
Un ouvrage richement documenté pour comprendre l'engagement de ces Wallons.
EXTRAIT :
Livres, articles de presse, vidéos, émissions télévisées ; tout semblait avoir été archivé concernant la « Légion Wallonie », cette troupe de volontaires belges franco¬phones s’enrôlant aux côtés des armées du IIIe Reich national-socialiste durant la Seconde Guerre mondiale. Nombreux sont les historiens et journalistes qui consa¬crèrent leur talent à établir des ouvrages devenus réfé¬rences en la matière. Si la personnalité de son chef politique, Léon Degrelle, joua pour beaucoup à en réaliser la publicité, jamais, pourtant, un historien n’offrit la parole à ceux qui rejoignirent le chef de Rex et formèrent cette légion, c’est-à-dire aux volontaires eux-mêmes, à ces « mon¬sieur tout le monde » qui, un jour d’été 1941, déci-dèrent d’abandonner foyer et famille pour combattre dans les steppes de la Russie communiste bolchevik comme l’on disait à cette époque. Quoi de mieux, dès lors, que de laisser s’exprimer, les acteurs principaux, eux-mêmes témoins de ces heures tragiques de notre Histoire. Tâche difficile, car si en tant qu’historien, il nous faut impérativement rester objectif et impartial, le sujet lui reste sensible, délicat ou carrément tabou, et les propos, eux, peuvent encore choquer, même après le grand nombre d’années qui nous séparent de cette guerre…
Découvrez le quotidien de Wallons engagés dans les forces SS au travers de lettres, carnets de guerres et témoignages.
Il y a déjà eu des études, jamais de livre de témoignage. La division SS Wallonie était composée de volontaires wallons. Elle est issue de la Légion Wallonie, formée en août 1941 sous les auspices conjugués de Fernand Rouleau, bras droit de Léon Degrelle, de l’occupant et du mouvement rexiste de Léon Degrelle. Nous n’avons pas voulu ici faire une histoire de la Légion Wallonie mais nous intéresser à des témoignages bruts, à des lettres, à des carnets de guerre qui nous permettent, au-delà de l’histoire officielle, de comprendre ce qui a fait que ces jeunes soient partis mourir dans les steppes sibériennes pour un motif dévoyé. Ces écrits personnels sont éclairant. 60 ans plus tard rien ne permet encore d’excuser cette hécatombe.
Un ouvrage richement documenté pour comprendre l'engagement de ces Wallons.
EXTRAIT :
Livres, articles de presse, vidéos, émissions télévisées ; tout semblait avoir été archivé concernant la « Légion Wallonie », cette troupe de volontaires belges franco¬phones s’enrôlant aux côtés des armées du IIIe Reich national-socialiste durant la Seconde Guerre mondiale. Nombreux sont les historiens et journalistes qui consa¬crèrent leur talent à établir des ouvrages devenus réfé¬rences en la matière. Si la personnalité de son chef politique, Léon Degrelle, joua pour beaucoup à en réaliser la publicité, jamais, pourtant, un historien n’offrit la parole à ceux qui rejoignirent le chef de Rex et formèrent cette légion, c’est-à-dire aux volontaires eux-mêmes, à ces « mon¬sieur tout le monde » qui, un jour d’été 1941, déci-dèrent d’abandonner foyer et famille pour combattre dans les steppes de la Russie communiste bolchevik comme l’on disait à cette époque. Quoi de mieux, dès lors, que de laisser s’exprimer, les acteurs principaux, eux-mêmes témoins de ces heures tragiques de notre Histoire. Tâche difficile, car si en tant qu’historien, il nous faut impérativement rester objectif et impartial, le sujet lui reste sensible, délicat ou carrément tabou, et les propos, eux, peuvent encore choquer, même après le grand nombre d’années qui nous séparent de cette guerre…