« Je ne suis pas allé à la poésie, c’est la poésie qui est venue à moi ». L’aveu lui a glissé innocemment entre les doigts lors de la présentation, le 10 février 2004, de son premier recueil, Kaulu la mwando. Aujourd’hui MAB Elhad publie son deuxième recueil : trente-six poèmes écrits entre 1980 et 2002, qui « puisent dans l’identité comorienne » pour donner « une poésie engagée, car le poète n’est pas un prophète, mais un messager qui mène un combat pour l’épanouissement de certains valeurs et d’un certain idéal auxquels il croit ».
« Je ne suis pas allé à la poésie, c’est la poésie qui est venue à moi ». L’aveu lui a glissé innocemment entre les doigts lors de la présentation, le 10 février 2004, de son premier recueil, Kaulu la mwando. Aujourd’hui MAB Elhad publie son deuxième recueil : trente-six poèmes écrits entre 1980 et 2002, qui « puisent dans l’identité comorienne » pour donner « une poésie engagée, car le poète n’est pas un prophète, mais un messager qui mène un combat pour l’épanouissement de certains valeurs et d’un certain idéal auxquels il croit ».