Après Hachichiyyin, découvrez la suite des aventures de Zayane et de son mari
Février 2014, durant les Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, Zayane et son mari, le professeur Pierret, décident de s’offrir une petite escapade moscovite.
Tandis qu’ils profitent de la douceur du Café Pouchkine, un marginal vient leur proposer de prendre part à une émission ayant pour but de récolter des fonds en faveur des nombreux mendiants de la capitale russe. Cet olibrius ajoute qu’il est un descendant direct de Staline.
Pressentant le piège mais séduits par la noble cause du projet, Zayane et Pierret se lanceront dans une aventure qui les entraînera dans les dérives obscures d’un gouvernement qu’ils oseront défier.
Bien documenté, Pascal Riguelle nous plonge dans l’univers des 250.000 sans-abri qui croupissent dans des lieux infâmes de Moscou, dans les arcanes d’une politique mafieuse que l’auteur dénonce, se fondant sur certains faits avérés. « Que la lumière se taise » raconte également le parcours bouleversant d’une femme au courage exceptionnel : la protectrice des pauvres.
Sur fond de thriller, aux accents de services secrets internationaux, l'auteur nous livre une intrigue haletante, truffée de rebondissements.
EXTRAIT
Cela faisait plus de cinq jours qu’une effroyable tempête sévissait sur la capitale française. Des bourrasques et des pluies torrentielles avaient contraint la mairie à interdire toute circulation sur les axes tant principaux que secondaires. Trams, métros et bus étaient à l’arrêt et seuls de rares passants tentaient, tant bien que mal, de se rendre à leur travail.
Sur les terrasses des troquets du centre, habituellement si bruyants à cette heure-là, seule la force du vent et de la pluie faisait quelque peu monter les décibels.
Depuis quarante-huit heures, la Seine était sortie de son lit et les autorités craignaient que le fleuve n’atteignît les limites de la crue de 1910, quand il avait dépassé les huit mètres sur l’échelle hydrométrique du pont d’Austerlitz. Cette année-là, le nombre de victimes avait endeuillé une multitude de familles parisiennes et il était hors de question qu’une telle catastrophe pût se reproduire. Policiers, pompiers et protection civile s’affairaient donc à vérifier que les mesures d’interdiction de circuler étaient bien respectées. Malgré tous ces efforts, une vieille dame avait péri noyée en tentant de sauver son chat. Affolé, l’animal avait quitté la maison et s’était retrouvé sur une planche à la dérive. Sa maîtresse n’avait pu se résigner à l’abandonner.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Riguelle est né à Namur (Belgique) en 1968. Ses romans se caractérisent par des sources documentées qui ajoutent un fond historique à un scénario très captivant. Nous faisant souvent voyager aux quatre coins de la planète, l’auteur aborde également des sujets graves et contemporains tel que le terrorisme international. Après « Hachichiyyin, la prophétie des assassins » paru en 2011 à la maison parisienne « la société des écrivains », il nous revient avec les mêmes personnages dans de nouvelles aventures. Le troisième et dernier tome de la trilogie devrait paraître prochainement et s’intitulera « l’or du mont Elbrouz ».
Après Hachichiyyin, découvrez la suite des aventures de Zayane et de son mari
Février 2014, durant les Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, Zayane et son mari, le professeur Pierret, décident de s’offrir une petite escapade moscovite.
Tandis qu’ils profitent de la douceur du Café Pouchkine, un marginal vient leur proposer de prendre part à une émission ayant pour but de récolter des fonds en faveur des nombreux mendiants de la capitale russe. Cet olibrius ajoute qu’il est un descendant direct de Staline.
Pressentant le piège mais séduits par la noble cause du projet, Zayane et Pierret se lanceront dans une aventure qui les entraînera dans les dérives obscures d’un gouvernement qu’ils oseront défier.
Bien documenté, Pascal Riguelle nous plonge dans l’univers des 250.000 sans-abri qui croupissent dans des lieux infâmes de Moscou, dans les arcanes d’une politique mafieuse que l’auteur dénonce, se fondant sur certains faits avérés. « Que la lumière se taise » raconte également le parcours bouleversant d’une femme au courage exceptionnel : la protectrice des pauvres.
Sur fond de thriller, aux accents de services secrets internationaux, l'auteur nous livre une intrigue haletante, truffée de rebondissements.
EXTRAIT
Cela faisait plus de cinq jours qu’une effroyable tempête sévissait sur la capitale française. Des bourrasques et des pluies torrentielles avaient contraint la mairie à interdire toute circulation sur les axes tant principaux que secondaires. Trams, métros et bus étaient à l’arrêt et seuls de rares passants tentaient, tant bien que mal, de se rendre à leur travail.
Sur les terrasses des troquets du centre, habituellement si bruyants à cette heure-là, seule la force du vent et de la pluie faisait quelque peu monter les décibels.
Depuis quarante-huit heures, la Seine était sortie de son lit et les autorités craignaient que le fleuve n’atteignît les limites de la crue de 1910, quand il avait dépassé les huit mètres sur l’échelle hydrométrique du pont d’Austerlitz. Cette année-là, le nombre de victimes avait endeuillé une multitude de familles parisiennes et il était hors de question qu’une telle catastrophe pût se reproduire. Policiers, pompiers et protection civile s’affairaient donc à vérifier que les mesures d’interdiction de circuler étaient bien respectées. Malgré tous ces efforts, une vieille dame avait péri noyée en tentant de sauver son chat. Affolé, l’animal avait quitté la maison et s’était retrouvé sur une planche à la dérive. Sa maîtresse n’avait pu se résigner à l’abandonner.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Riguelle est né à Namur (Belgique) en 1968. Ses romans se caractérisent par des sources documentées qui ajoutent un fond historique à un scénario très captivant. Nous faisant souvent voyager aux quatre coins de la planète, l’auteur aborde également des sujets graves et contemporains tel que le terrorisme international. Après « Hachichiyyin, la prophétie des assassins » paru en 2011 à la maison parisienne « la société des écrivains », il nous revient avec les mêmes personnages dans de nouvelles aventures. Le troisième et dernier tome de la trilogie devrait paraître prochainement et s’intitulera « l’or du mont Elbrouz ».