O'Keeffe

Nonfiction, Art & Architecture, General Art, Individual Artist, Art History
Cover of the book O'Keeffe by Janet Souter, Parkstone International
View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart
Author: Janet Souter ISBN: 9781783108374
Publisher: Parkstone International Publication: September 15, 2015
Imprint: Parkstone International Language: French
Author: Janet Souter
ISBN: 9781783108374
Publisher: Parkstone International
Publication: September 15, 2015
Imprint: Parkstone International
Language: French

Georgia O’Keeffe (Sun Prarie, Wisconsin, 1887 – Santa Fe, 1986) En 1905, Georgia O’Keeffe suivit des cours à l’ Art Institute de Chicago et débuta sérieusement sa carrière artistique. Elle s’installa ensuite à New York et s’inscrivit à l’Art Students League School. Georgia adorait les cours de nature morte dispensés par le fringant William Merritt Chase, un des professeurs qui l’influencèrent durant cette période. Elle fréquenta la galerie 291 et y rencontra son futur mari, le photographe, Alfred Stieglitz. Durant l’été 1912, elle suivit des cours à l’université de Virginie auprès d’Alon Bement qui recourait à une méthode révolutionnaire pour enseigner l’art, imaginée par Arthur Wesley Dow. Les élèves ne copiaient pas mécaniquement la nature, mais se voyaient enseigner les principes du dessin basé sur les formes géométriques. Ils s’exerçaient à diviser un carré, dessiner au coeur d’un cercle ou encore placer un rectangle autour d’un dessin, puis organiser la composition en l’agençant par l’ajout ou l’élimination d’éléments. Georgia trouva que cette méthode conférait une structure à l’art et l’aidait à comprendre les bases de l’abstraction. Au début de l’année 1925, Stieglitz exposa les artistes encouragés à l’époque du 291. C’est au cours de cette exposition que les peintures géantes de fleurs de Georgia O’Keeffe, destinées à faire prendre conscience de la nature, furent présentées pour la première fois. Les critiques acclamèrent cette nouvelle manière de voir. Elle détestait cependant les connotations sexuelles que les gens associaient à ses toiles, en particulier à ce moment des années 1920 où les théories freudiennes commençaient à ressembler à ce que nous appellerions aujourd’hui de la «psychologie de bazar ». L’héritage que Georgia laisse derrière elle est une vision unique qui traduit la complexité de la nature en formes simples. Elle nous enseigne qu’il y a de la poésie dans la nature et de la beauté dans la géométrie.

View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart

Georgia O’Keeffe (Sun Prarie, Wisconsin, 1887 – Santa Fe, 1986) En 1905, Georgia O’Keeffe suivit des cours à l’ Art Institute de Chicago et débuta sérieusement sa carrière artistique. Elle s’installa ensuite à New York et s’inscrivit à l’Art Students League School. Georgia adorait les cours de nature morte dispensés par le fringant William Merritt Chase, un des professeurs qui l’influencèrent durant cette période. Elle fréquenta la galerie 291 et y rencontra son futur mari, le photographe, Alfred Stieglitz. Durant l’été 1912, elle suivit des cours à l’université de Virginie auprès d’Alon Bement qui recourait à une méthode révolutionnaire pour enseigner l’art, imaginée par Arthur Wesley Dow. Les élèves ne copiaient pas mécaniquement la nature, mais se voyaient enseigner les principes du dessin basé sur les formes géométriques. Ils s’exerçaient à diviser un carré, dessiner au coeur d’un cercle ou encore placer un rectangle autour d’un dessin, puis organiser la composition en l’agençant par l’ajout ou l’élimination d’éléments. Georgia trouva que cette méthode conférait une structure à l’art et l’aidait à comprendre les bases de l’abstraction. Au début de l’année 1925, Stieglitz exposa les artistes encouragés à l’époque du 291. C’est au cours de cette exposition que les peintures géantes de fleurs de Georgia O’Keeffe, destinées à faire prendre conscience de la nature, furent présentées pour la première fois. Les critiques acclamèrent cette nouvelle manière de voir. Elle détestait cependant les connotations sexuelles que les gens associaient à ses toiles, en particulier à ce moment des années 1920 où les théories freudiennes commençaient à ressembler à ce que nous appellerions aujourd’hui de la «psychologie de bazar ». L’héritage que Georgia laisse derrière elle est une vision unique qui traduit la complexité de la nature en formes simples. Elle nous enseigne qu’il y a de la poésie dans la nature et de la beauté dans la géométrie.

More books from Parkstone International

Cover of the book Canaletto by Janet Souter
Cover of the book Manet by Janet Souter
Cover of the book Rembrandt - Pintor, dibujante, grabador - Volumen I by Janet Souter
Cover of the book Vincent van Gogh by Janet Souter
Cover of the book Hokusai by Janet Souter
Cover of the book Hiroshige by Janet Souter
Cover of the book Picasso by Janet Souter
Cover of the book Lempicka by Janet Souter
Cover of the book Newell Convers Wyeth by Janet Souter
Cover of the book Deutsche Malerei by Janet Souter
Cover of the book Leonard da Vinci by Janet Souter
Cover of the book Monet by Janet Souter
Cover of the book Les ouvrages d'art: les ponts by Janet Souter
Cover of the book Camille Claudel by Janet Souter
Cover of the book Goya by Janet Souter
We use our own "cookies" and third party cookies to improve services and to see statistical information. By using this website, you agree to our Privacy Policy