Author: | Bernard Larhant | ISBN: | 9782355506178 |
Publisher: | Editions Alain Bargain | Publication: | May 14, 2019 |
Imprint: | Editions Alain Bargain | Language: | French |
Author: | Bernard Larhant |
ISBN: | 9782355506178 |
Publisher: | Editions Alain Bargain |
Publication: | May 14, 2019 |
Imprint: | Editions Alain Bargain |
Language: | French |
Un cadavre est retrouvé dans la suite d'un hôtel : Eddy Kermorgant avait fait fortune en initiant une chaîne de crêperies bretonnes et il souhaitait offrir un casino à sa ville natale, Tréboul.
Événement à Tréboul. C’est l’ouverture du casino de la station, un vieux serpent de mer. L’initiateur ? Eddy Kermorgant, la cinquantaine, qui a fait fortune aux États-Unis dans une chaîne de crêperies bretonnes, veut offrir un cadeau à sa ville natale. Mais voilà, le soir de l’inauguration, on le retrouve mort dans une suite de l’hôtel de son établissement. Près de lui, le corps inanimé de la commissaire Radia Belloumi, un couteau à la main. Paul Capitaine débute la plus pénible des enquêtes pour tenter de sauver la grande patronne, d’autant que sa chef de groupe, Carole Mortier, doit affronter la police des polices, que Rose-Marie est en voyage de noces en Italie et que Sarah pouponne. Sueurs froides quotidiennes dans un triangle Quimper-Douarnenez-Châteaulin, face à un ennemi mystérieux, mais puissant et implacable.
Accompagnez Paul Capitaine dans le 18e tome de ses enquêtes, avec une pénible affaire liée à un meurtrier mystérieux mais puissant, entre Quimper, Douarnenez et Châteaulin. Un polar breton haletant qui vous filera des sueurs froides !
EXTRAIT
— L’appel anonyme, ce n’était pas du bidon, on est bien devant un macchabée, allongé sur son lit en tenue d’Adam. Et près de lui, une nana, elle aussi à poil, complètement dans les vapes, mais avec le corps couvert de sang et un poignard à la main. Il faut que tu réveilles le patron, Streiff, c’est du lourd.
— Tu as des témoins ?
— Négatif ! Juste des curieux qui ont rappliqué à notre arrivée, mais on les a éloignés du périmètre. Vu le lieu, ça sent les emmerdes, cette affaire.
— Bon, je préviens Troupel immédiatement ; il ne va pas être jouasse, lui qui est de repos.
L’avantage, dans une gendarmerie, c’est que les membres des équipes sont facilement joignables et rapidement en action. Tel fut le cas pour le capitaine Gildas Troupel, à la tête de la BTA de Douarnenez pour encore deux mois, avant une nouvelle affectation, à qui son collègue, l’adjudant-chef Franck Streiff, relata l’objet du dérangement nocturne.
Un cadavre est retrouvé dans la suite d'un hôtel : Eddy Kermorgant avait fait fortune en initiant une chaîne de crêperies bretonnes et il souhaitait offrir un casino à sa ville natale, Tréboul.
Événement à Tréboul. C’est l’ouverture du casino de la station, un vieux serpent de mer. L’initiateur ? Eddy Kermorgant, la cinquantaine, qui a fait fortune aux États-Unis dans une chaîne de crêperies bretonnes, veut offrir un cadeau à sa ville natale. Mais voilà, le soir de l’inauguration, on le retrouve mort dans une suite de l’hôtel de son établissement. Près de lui, le corps inanimé de la commissaire Radia Belloumi, un couteau à la main. Paul Capitaine débute la plus pénible des enquêtes pour tenter de sauver la grande patronne, d’autant que sa chef de groupe, Carole Mortier, doit affronter la police des polices, que Rose-Marie est en voyage de noces en Italie et que Sarah pouponne. Sueurs froides quotidiennes dans un triangle Quimper-Douarnenez-Châteaulin, face à un ennemi mystérieux, mais puissant et implacable.
Accompagnez Paul Capitaine dans le 18e tome de ses enquêtes, avec une pénible affaire liée à un meurtrier mystérieux mais puissant, entre Quimper, Douarnenez et Châteaulin. Un polar breton haletant qui vous filera des sueurs froides !
EXTRAIT
— L’appel anonyme, ce n’était pas du bidon, on est bien devant un macchabée, allongé sur son lit en tenue d’Adam. Et près de lui, une nana, elle aussi à poil, complètement dans les vapes, mais avec le corps couvert de sang et un poignard à la main. Il faut que tu réveilles le patron, Streiff, c’est du lourd.
— Tu as des témoins ?
— Négatif ! Juste des curieux qui ont rappliqué à notre arrivée, mais on les a éloignés du périmètre. Vu le lieu, ça sent les emmerdes, cette affaire.
— Bon, je préviens Troupel immédiatement ; il ne va pas être jouasse, lui qui est de repos.
L’avantage, dans une gendarmerie, c’est que les membres des équipes sont facilement joignables et rapidement en action. Tel fut le cas pour le capitaine Gildas Troupel, à la tête de la BTA de Douarnenez pour encore deux mois, avant une nouvelle affectation, à qui son collègue, l’adjudant-chef Franck Streiff, relata l’objet du dérangement nocturne.