Les nouvelles aventures de Sherlock Holmes

( Edition intégrale )

Fiction & Literature, Action Suspense, Short Stories, Mystery & Suspense
Cover of the book Les nouvelles aventures de Sherlock Holmes by Arthur Conan Doyle, Paris : Félix Juven, 1905
View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart
Author: Arthur Conan Doyle ISBN: 1230002995182
Publisher: Paris : Félix Juven, 1905 Publication: December 17, 2018
Imprint: Language: French
Author: Arthur Conan Doyle
ISBN: 1230002995182
Publisher: Paris : Félix Juven, 1905
Publication: December 17, 2018
Imprint:
Language: French

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes est un recueil de nouvelles policières écrit par Sir Arthur Conan Doyle et mettant en scène son célèbre détective privé.

L’Association des Hommes Roux....

Jabez Wilson, petit prêteur sur gages , ancien charpentier de marine , qui tient une modeste boutique au coin de Saxe Coburg Square à Londres, demande l’aide de Sherlock Holmes après avoir intégré une certaine Ligue des Rouquins, prétendument financée par l’héritage d’un excentrique milliardaire américain décédé sans enfants et animé d’un étrange esprit philanthropique envers les rouquins comme lui. En effet, quelques semaines auparavant son jeune assistant, Vincent Spaulding, un étrange personnage, se comportant en employé zélé, qu’il a embauché à un salaire ridiculement bas lui a montré une annonce où il était écrit que toute personne rousse pouvait espérer pouvoir intégrer la Ligue des Rouquins et ainsi gagner quatre livres par semaine. Wilson s’est alors présenté et a été engagé par un certain Duncan Ross. Sa mission est de recopier des pages de l’encyclopédie britannique de 10 h à 14 h. Pendant cette tranche horaire, en général creuse pour ses affaires , il laisse sa boutique aux soins de Vincent Spaulding et est grassement payé pour cette sinécure absurde qu’il accomplit ponctuellement. Il faut aussi ajouter que Ross a bien insisté sur le fait qu’il devait toujours être ponctuel et ne jamais sortir pendant ces quatre heures de travail sous peine d’être licencié. Tout se passe très bien pendant plusieurs semaines mais un jour alors que Wilson allait à son travail il trouve sur la porte une feuille annonçant la dissolution de la Ligue des Rouquins. Cette affaire devenant de plus en plus floue, il décide d’aller voir Sherlock Holmes et avec son aide, découvre que Vincent Spaulding, dont le physique caractéristique est bien connu d’Holmes s’appelle en réalité John Clay et est un malfaiteur notoire, connu pour son infernal culot . Sherlock Holmes se rend sur place , frappe le sol de sa canne aux alentours de la boutique de Jabez Wilson et découvre que sa minable échoppe de prêteur sur gages est “l’envers du décor” d’un immeuble bourgeois beaucoup plus cossu donnant sur Fleet Street et abritant une grande banque de règlements internationaux, qui vient d’accepter une énorme somme en napoléons d’or pour une garantie de transaction avec le gouvernement français.

Il soupçonne la présence d’un tunnel entre les deux immeubles et comprend que l’affaire est brûlante: L’entourloupe de la “Ligue des Rouquins” n’avait d’autre but que de tenir éloigné Jabez Wilson de sa boutique le temps nécessaire au creusement du tunnel à partir de la cave où, par ailleurs, le prétendu Spaulding s’enfermait souvent sous prétexte de développer des photos.

Aidé de Mr Meryweather le directeur de la banque, et d’un policier de Scotland Yard , Holmes et son fidèle Watson tendent une souricière nocturne dans les caves de la banque et c’est ainsi qu’ils empêchent un “casse du siècle” et mettent la main au collet de Spaulding alias Clay, qui avait méticuleusement préparé ce “casse” audacieux avec ses complices.

Un cas d’identité

Mary Sutherland vient demander à Sherlock Holmes de retrouver son fiancé Hosmer Angel, qui a mystérieusement disparu alors qu’ils allaient se marier. L’affaire est très simple : le détective n’a pas manqué de voir que la jeune fille ne rencontrait son soupirant qu’en l’absence de son beau-père, courtier en vins. Il est clair que le fameux Hosmer Angel n’est que le beau-père déguisé et cela dans le but d’empêcher sa belle-fille de quitter le domicile; ce qui lui aurait fait perdre — à lui et à sa femme, qu’il a épousée pour son argent — une assez grosse somme. La disparition dramatique du fiancé n’avait pour but que de frapper l’imagination de la demoiselle pour qu’elle ne pose pas ses yeux sur un autre homme avant un certain temps. Convoqué par Holmes, le beau-père, James Windibank, ricane qu’il n’a violé aucune loi mais il doit fuir avant de recevoir une correction ! Pour Holmes, c’est un futur gibier de potence.

Le Mystère de la vallée de Boscombe

En 1888, Sherlock Holmes et Watson sont dépèchés au Val Boscombe afin d’enquêter sur la mort de Charles McCarthy. L’inspecteur Lestrade, de Scotland Yard, est persuadé que celui-ci a été tué par son fils James, tant les preuves contre lui sont accablantes. Cependant, Holmes n’est pas convaincu par l’enquête de Lestrade et parvient à une conclusion différente. Serait-ce à cause des informations supplémentaires données par Mademoiselle Turner? Sûremen

L’Aventure des Cinq Pépins d’orange

En septembre 1887, John Openshaw se rendit au domicile de Sherlock Holmes afin de lui exposer les faits étranges entourant la mort de son oncle Elias et de son père Joseph.

Un jour, Elias Openshaw reçut par la poste une lettre contenant cinq pépins d’orange. Il sut immédiatement que le destin s’approchait de lui. Son neveu John était nerveux et ne comprenait rien des émotions de son oncle. Or une nuit, son oncle mourut noyé dans 60 cm d’eau. Quand son père prit la propriété de Horsham, il trouva dans la boite au lettre une lettre contenant cinq pépins d’orange ainsi qu’une note disant : « Mettez les papiers sur le cadran solaire. » Le jeune Openshaw prit panique et en expliqua la signification à son père qui trouva cela absurde. Deux jours plus tard, un homme de loi vint annoncer la mort de son père, tombé d’une carrière.

Sherlock déduisit que l’oncle de John était impliqué dans la société secrète du Ku Klux Klan. Le lendemain on apprit par le journal que John Openshaw s’était noyé. Sherlock mène l’enquête, accompagné du docteur Watson.

L’Homme à la lèvre retroussée

En 1889, le docteur Watson est appelé tard dans la nuit par Mme Whitney, une amie de sa femme. Son mari a disparu depuis plusieurs jours et, comme il est opiomane, elle est sûre qu’il a été se droguer dans une dangereuse fumerie d’opium de l’East End de Londres.

Folle d’inquiétude, elle se rend chez le docteur Watson afin qu’il l’aide à le retrouver. Le médecin s’exécute et, à son grand étonnement, croise son ami Sherlock Holmes, déguisé en vieil homme, à la recherche d’informations au sujet d’un nouveau cas parmi les toxicomanes.

La disparition de M. Neville Saint-Clair, homme d’affaires respectable et ponctuel, est d’autant plus mystérieuse que Mme Saint-Clair est tout à fait sûre de l’avoir vu à la fenêtre du second étage d’une fumerie d’opium de l’Upper Swandam Lane, près des quais. Il s’éloigna immédiatement de la fenêtre, et Mme Saint-Clair fut convaincue que quelque chose n’allait pas.

Naturellement, elle tenta de pénétrer dans le bâtiment, mais en fut empêchée par le propriétaire de la fumerie d’opium. Elle contacta alors la police, mais les agents ne parvinrent pas à trouver M. Saint-Clair. La pièce où elle avait aperçu son mari n’était occupée que par un mendiant défiguré, hideux et repoussant, bien connu de la police sous le nom de Hugh Boone.

Les policiers étaient sur le point d’indiquer dans leur rapport qu’il s’agissait d’une erreur quand Mme Saint-Clair repèra et identifia une boîte contenant des briques de bois que son mari avait envisagé d’acheter pour leur fils. Une fouille plus approfondie permit de trouver une partie des vêtements de son mari.

Plus tard, son manteau, avec les poches pleines de pennies et demi-pennies, est retrouvé dans la Tamise juste en dessous du bâtiment. Le mendiant est arrêté et enfermé au poste de police, et Holmes est d’abord tout à fait convaincu que M. Saint-Clair a été une malheureuse victime assassinée. Mais plusieurs jours après la disparition de M. Saint-Clair, sa femme reçoit une lettre écrite de sa main. L’arrivée de cette lettre oblige Holmes à reconsidérer ses conclusions.

Il se rend au poste de police et, muni d’une éponge, lave le visage encore sale de Boone, révélant le visage de Neville Saint-Clair. M. Saint-Clair passe alors aux aveux, expliquant qu’il a mené une double vie. Dans sa jeunesse, il avait été acteur avant de devenir journaliste. Pour les besoins d’un article, il s’était déguisé en mendiant pour une courte période, au cours de laquelle il a obtenu une très grande quantité d’argent. Plus tard, pour payer une dette importante, il a recommencé à mendier pendant plusieurs jours. Peu à peu, il est ainsi devenu mendiant professionnel. Ses gains étaient suffisamment importants pour lui permettre de s’imposer comme gentilhomme campagnard et de faire un mariage avantageux. Holmes s’engage à préserver le secret de Saint-Clair, aussi longtemps que l’on n’entendra plus parler de Hugh Boone.

L’histoire est unique parmi les histoires de Holmes car, lorsque le mystère est résolu, il s’avère qu’aucun crime n’a été commis. Par ailleurs, contrairement à d’autres histoires, Holmes n’explique pas comment il résout le mystère et laisse au lecteur le soin de le déduire.

View on Amazon View on AbeBooks View on Kobo View on B.Depository View on eBay View on Walmart

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes est un recueil de nouvelles policières écrit par Sir Arthur Conan Doyle et mettant en scène son célèbre détective privé.

L’Association des Hommes Roux....

Jabez Wilson, petit prêteur sur gages , ancien charpentier de marine , qui tient une modeste boutique au coin de Saxe Coburg Square à Londres, demande l’aide de Sherlock Holmes après avoir intégré une certaine Ligue des Rouquins, prétendument financée par l’héritage d’un excentrique milliardaire américain décédé sans enfants et animé d’un étrange esprit philanthropique envers les rouquins comme lui. En effet, quelques semaines auparavant son jeune assistant, Vincent Spaulding, un étrange personnage, se comportant en employé zélé, qu’il a embauché à un salaire ridiculement bas lui a montré une annonce où il était écrit que toute personne rousse pouvait espérer pouvoir intégrer la Ligue des Rouquins et ainsi gagner quatre livres par semaine. Wilson s’est alors présenté et a été engagé par un certain Duncan Ross. Sa mission est de recopier des pages de l’encyclopédie britannique de 10 h à 14 h. Pendant cette tranche horaire, en général creuse pour ses affaires , il laisse sa boutique aux soins de Vincent Spaulding et est grassement payé pour cette sinécure absurde qu’il accomplit ponctuellement. Il faut aussi ajouter que Ross a bien insisté sur le fait qu’il devait toujours être ponctuel et ne jamais sortir pendant ces quatre heures de travail sous peine d’être licencié. Tout se passe très bien pendant plusieurs semaines mais un jour alors que Wilson allait à son travail il trouve sur la porte une feuille annonçant la dissolution de la Ligue des Rouquins. Cette affaire devenant de plus en plus floue, il décide d’aller voir Sherlock Holmes et avec son aide, découvre que Vincent Spaulding, dont le physique caractéristique est bien connu d’Holmes s’appelle en réalité John Clay et est un malfaiteur notoire, connu pour son infernal culot . Sherlock Holmes se rend sur place , frappe le sol de sa canne aux alentours de la boutique de Jabez Wilson et découvre que sa minable échoppe de prêteur sur gages est “l’envers du décor” d’un immeuble bourgeois beaucoup plus cossu donnant sur Fleet Street et abritant une grande banque de règlements internationaux, qui vient d’accepter une énorme somme en napoléons d’or pour une garantie de transaction avec le gouvernement français.

Il soupçonne la présence d’un tunnel entre les deux immeubles et comprend que l’affaire est brûlante: L’entourloupe de la “Ligue des Rouquins” n’avait d’autre but que de tenir éloigné Jabez Wilson de sa boutique le temps nécessaire au creusement du tunnel à partir de la cave où, par ailleurs, le prétendu Spaulding s’enfermait souvent sous prétexte de développer des photos.

Aidé de Mr Meryweather le directeur de la banque, et d’un policier de Scotland Yard , Holmes et son fidèle Watson tendent une souricière nocturne dans les caves de la banque et c’est ainsi qu’ils empêchent un “casse du siècle” et mettent la main au collet de Spaulding alias Clay, qui avait méticuleusement préparé ce “casse” audacieux avec ses complices.

Un cas d’identité

Mary Sutherland vient demander à Sherlock Holmes de retrouver son fiancé Hosmer Angel, qui a mystérieusement disparu alors qu’ils allaient se marier. L’affaire est très simple : le détective n’a pas manqué de voir que la jeune fille ne rencontrait son soupirant qu’en l’absence de son beau-père, courtier en vins. Il est clair que le fameux Hosmer Angel n’est que le beau-père déguisé et cela dans le but d’empêcher sa belle-fille de quitter le domicile; ce qui lui aurait fait perdre — à lui et à sa femme, qu’il a épousée pour son argent — une assez grosse somme. La disparition dramatique du fiancé n’avait pour but que de frapper l’imagination de la demoiselle pour qu’elle ne pose pas ses yeux sur un autre homme avant un certain temps. Convoqué par Holmes, le beau-père, James Windibank, ricane qu’il n’a violé aucune loi mais il doit fuir avant de recevoir une correction ! Pour Holmes, c’est un futur gibier de potence.

Le Mystère de la vallée de Boscombe

En 1888, Sherlock Holmes et Watson sont dépèchés au Val Boscombe afin d’enquêter sur la mort de Charles McCarthy. L’inspecteur Lestrade, de Scotland Yard, est persuadé que celui-ci a été tué par son fils James, tant les preuves contre lui sont accablantes. Cependant, Holmes n’est pas convaincu par l’enquête de Lestrade et parvient à une conclusion différente. Serait-ce à cause des informations supplémentaires données par Mademoiselle Turner? Sûremen

L’Aventure des Cinq Pépins d’orange

En septembre 1887, John Openshaw se rendit au domicile de Sherlock Holmes afin de lui exposer les faits étranges entourant la mort de son oncle Elias et de son père Joseph.

Un jour, Elias Openshaw reçut par la poste une lettre contenant cinq pépins d’orange. Il sut immédiatement que le destin s’approchait de lui. Son neveu John était nerveux et ne comprenait rien des émotions de son oncle. Or une nuit, son oncle mourut noyé dans 60 cm d’eau. Quand son père prit la propriété de Horsham, il trouva dans la boite au lettre une lettre contenant cinq pépins d’orange ainsi qu’une note disant : « Mettez les papiers sur le cadran solaire. » Le jeune Openshaw prit panique et en expliqua la signification à son père qui trouva cela absurde. Deux jours plus tard, un homme de loi vint annoncer la mort de son père, tombé d’une carrière.

Sherlock déduisit que l’oncle de John était impliqué dans la société secrète du Ku Klux Klan. Le lendemain on apprit par le journal que John Openshaw s’était noyé. Sherlock mène l’enquête, accompagné du docteur Watson.

L’Homme à la lèvre retroussée

En 1889, le docteur Watson est appelé tard dans la nuit par Mme Whitney, une amie de sa femme. Son mari a disparu depuis plusieurs jours et, comme il est opiomane, elle est sûre qu’il a été se droguer dans une dangereuse fumerie d’opium de l’East End de Londres.

Folle d’inquiétude, elle se rend chez le docteur Watson afin qu’il l’aide à le retrouver. Le médecin s’exécute et, à son grand étonnement, croise son ami Sherlock Holmes, déguisé en vieil homme, à la recherche d’informations au sujet d’un nouveau cas parmi les toxicomanes.

La disparition de M. Neville Saint-Clair, homme d’affaires respectable et ponctuel, est d’autant plus mystérieuse que Mme Saint-Clair est tout à fait sûre de l’avoir vu à la fenêtre du second étage d’une fumerie d’opium de l’Upper Swandam Lane, près des quais. Il s’éloigna immédiatement de la fenêtre, et Mme Saint-Clair fut convaincue que quelque chose n’allait pas.

Naturellement, elle tenta de pénétrer dans le bâtiment, mais en fut empêchée par le propriétaire de la fumerie d’opium. Elle contacta alors la police, mais les agents ne parvinrent pas à trouver M. Saint-Clair. La pièce où elle avait aperçu son mari n’était occupée que par un mendiant défiguré, hideux et repoussant, bien connu de la police sous le nom de Hugh Boone.

Les policiers étaient sur le point d’indiquer dans leur rapport qu’il s’agissait d’une erreur quand Mme Saint-Clair repèra et identifia une boîte contenant des briques de bois que son mari avait envisagé d’acheter pour leur fils. Une fouille plus approfondie permit de trouver une partie des vêtements de son mari.

Plus tard, son manteau, avec les poches pleines de pennies et demi-pennies, est retrouvé dans la Tamise juste en dessous du bâtiment. Le mendiant est arrêté et enfermé au poste de police, et Holmes est d’abord tout à fait convaincu que M. Saint-Clair a été une malheureuse victime assassinée. Mais plusieurs jours après la disparition de M. Saint-Clair, sa femme reçoit une lettre écrite de sa main. L’arrivée de cette lettre oblige Holmes à reconsidérer ses conclusions.

Il se rend au poste de police et, muni d’une éponge, lave le visage encore sale de Boone, révélant le visage de Neville Saint-Clair. M. Saint-Clair passe alors aux aveux, expliquant qu’il a mené une double vie. Dans sa jeunesse, il avait été acteur avant de devenir journaliste. Pour les besoins d’un article, il s’était déguisé en mendiant pour une courte période, au cours de laquelle il a obtenu une très grande quantité d’argent. Plus tard, pour payer une dette importante, il a recommencé à mendier pendant plusieurs jours. Peu à peu, il est ainsi devenu mendiant professionnel. Ses gains étaient suffisamment importants pour lui permettre de s’imposer comme gentilhomme campagnard et de faire un mariage avantageux. Holmes s’engage à préserver le secret de Saint-Clair, aussi longtemps que l’on n’entendra plus parler de Hugh Boone.

L’histoire est unique parmi les histoires de Holmes car, lorsque le mystère est résolu, il s’avère qu’aucun crime n’a été commis. Par ailleurs, contrairement à d’autres histoires, Holmes n’explique pas comment il résout le mystère et laisse au lecteur le soin de le déduire.

More books from Mystery & Suspense

Cover of the book Le Marché by Arthur Conan Doyle
Cover of the book The Mary Russell Series Books 2-4 by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Dromenvanger by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Sapphire Trails by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Mi nombre era Eileen by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Le Berceau des ténèbres by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Contenders by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Salt River by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Flights and Falls by Arthur Conan Doyle
Cover of the book The Beijing Code by Arthur Conan Doyle
Cover of the book The Johnstown Flood by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Specious Nephew-book 2- Amazing Gracie Mysteries by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Virtually Hers by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Mind Control by Arthur Conan Doyle
Cover of the book Ça ira mieux demain by Arthur Conan Doyle
We use our own "cookies" and third party cookies to improve services and to see statistical information. By using this website, you agree to our Privacy Policy