Les Mains chéries

Romance, Erotica, Lesbian, BDSM
Cover of the book Les Mains chéries by Jacques d'Icy, Digital Bazar SAS
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Author: Jacques d'Icy ISBN: 9782365460361
Publisher: Digital Bazar SAS Publication: September 4, 2016
Imprint: Language: French
Author: Jacques d'Icy
ISBN: 9782365460361
Publisher: Digital Bazar SAS
Publication: September 4, 2016
Imprint:
Language: French

Résumé :

Recueil d’histoires vraies et de confessions érotiques sur la flagellation et l’art de la fessée par un maître en la matière : sensualité et délicatesse, psychologie, sincérité et souci de vérité inspirent tous ces récits. Un vrai régal pour le lecteur avisé.

Table des matières :

Contrat de Licence

LES MAINS CHÉRIE

Préface

I. — L’Hermaphrodite

II. — Marie-Jeanne

III. — Francesco

IV. — Documents

V. — Madeleine

VI. — Maurice

VII. — Carmen

VIII. — Mademoiselle Marceline

IX. — Une opinion féminine

X. — Reine

XI. — Monique

XII. — Nicole

CORRESPONDANCE

Avis à nos lectrices, à nos lecteurs

Lettre I

Lettre II

Lettre III

Lettre IV

Lettre V

Lettre VI

Lettre VII

Lettre VIII

Lettre IX

Lettre X

Extrait :

«Ma braguette en dessous sera vite défaite aussi. Elle me soulève, me tourne un peu pour passer la main. Et puis, je l'aide en me soulevant, en me tournant moi-même...

Mais va-t-elle s'en apercevoir de ce combien est resté ému de ce qui s'est tant ému tout à l'heure ? Oh ! que je serais honteux !... Pourquoi ? le sais-je seulement ?

Non, elle ne s'est aperçue de rien. Je l'ai pourtant sentie, moi, sa main au passage, j'ai senti le bout de ses longs doigts me frôler quand ils entraient dans l'ouverture, cherchant le troisième bouton coincé.

C'est fait, je suis déculotté. Elle tire ma culotte, l'abaisse, la rabat au-dessous de mon derrière qu'elle voit déjà. Sous moi, mon pantalon est retenu par le poids de mon corps sur le sien. Mais — oh ! comme elle déculotte bien ! — elle me soulève, le fait descendre jusqu'à mes jarrets. Je serai comme le cousin. Elle verra tout de moi, mes fesses, toutes, mes cuisses, toutes aussi. Elle relève ma courte chemise... elle m'a sous les yeux tout nu, des omoplates au jarret, car elle a poussé le plus haut qu'elle a pu ma veste avec la chemise.

Je serre les fesses. Là au moins, comme cela sur elle, je puis les serrer. Lui, il ne le pouvait. Gabriel, Sa position le lui interdisait.

Mais pourquoi diffère-t-elle de me claquer ? Je me tourne comme je peux... de tous ses yeux elle regarde ce que je crispe tant... Je ferme les miens, je me mords les lèvres pour ne pas crier quand elle me cinglera... J'aurais trop honte de crier, lui n'a pas poussé un cri, Gabriel.

Clac ! une gifle à toute volée est tombée. Clac ! une autre est venue de l'autre côté. Pourquoi ne continue-t-elle pas ?... Je les crispe, mes fesses, je les serre, je les serre...

De longues secondes se succèdent... Et puis, tout d'un coup, une grêle de claques !... La fessée s'est déclenchée, la fessée que depuis si longtemps j'attends, que mon angoisse appelle... Mais quelle surprise ?... Mais, c'est bon !... c'est cinglant affreusement, mais c'est délicieux !

Oui, c'est délicieux ! Et je m'agite follement, je rue, je saute sur ses cuisses musculeuses, je me frotte contre elles, je les sens tièdes et vivantes, ses cuisses ! Et sa main qui me claque, je la sens si vivante aussi que c'est sa vie, sa force, qu'elle m'infuse et c'est pourquoi je bondis ainsi ! J'ai envie de lui crier de ne pas s'arrêter, de bien claquer longtemps comme cela. Cela ne me fait pas de mal, au contraire. J'adore sa main qui me cingle, sa main que j'ai vue à l'ouvrage, si zélée, si courageuse. Mes bras libres, qui pendaient de l'autre côté de sa cuisse gauche et dont les mains se retenaient aux pieds de sa chaise, mes bras, je les ai ramenés, je sens la dureté de sa chair au travers de sa jupe légère... Sa chair vigoureuse, toute en muscles, la chair de ses cuisses de sportive entraînée avec lesquelles elle saute si bien au tennis, projetée comme par un ressort puissant, la chair de ses cuisses qui lui servent aussi à tenir à sa merci ou à supporter les grands garçons qu'elle fesse.

Mais, moi aussi, je veux sauter... Moi aussi, je saute bien. Mais ce n'est pas au tennis ; non, c'est à cet autre sport que je ne connaissais pas, c'est à la fessée, moi ! C'est un beau sport aussi, celui-là. C'est le plus beau de tous. Sur les genoux d'une grande jeune femme qui ressemble à un beau jeune homme élancé dont elle a la force et l'énergie, c'est un beau sport que d'être fessé... Ah ! je le serai encore, je le veux... Je ferai exprès de le mériter. Je veux déjà qu'elle me fesse fort, fort, plus fort qu'elle n'a fessé Gabriel dont les fesses pourtant étaient couleur de sang. Moi, je voudrais qu'il en jaillisse mon sang... Alors, il se signalerait mieux encore, mon bonheur !...

C'est tout d'un coup, en voyant l'expression de son visage penché sur moi que je viens de comprendre ce que je n'avais fait que deviner à demi pendant qu'elle claquait Gabriel... De ce moment, je soupçonnais quel plaisir elle prenait à fesser... Mais, mon initiation est complète, à présent. Et en voici la cause :

Comme je me rends compte que mes fesses sont moins belles que celles de mon cousin, je veux arriver à ce que, malgré cela, elle leur préfère les miennes. C'est pour cela que je me tortille tant...

Car mes tortillements l'excitent, ma fesseuse ! Au moment où elle me claque avec tant d'entrain, je pressens que sa joie l'emporte encore sur celle qu'elle avait avec Gabriel. Avec son bras gauche qui me retient à la taille, parfois elle me serre contre elle, me rapprochant de son corps souple, ses cuisses frémissent. Je veux qu'il lui soit si agréable de me fesser qu'elle me préfère à mon congénère si gâté par la Nature et pourvu de rondeurs plus attirantes que les miennes. Oh ! que je voudrais avoir une riche paire de fesses comme les siennes ! Qu'il me serait alors plus facile de la tenter ! Oh ! si j'avais ce qu'il a, avec le feu que j'ai, sa main aurait toujours l'envie de les claquer, avec sa belle ardeur !... Car la passion dont je l'ai vue brûler, mais je l'éprouve aussi... Est-ce intuition soudaine ? est-ce disposition polymorphe perverse ? Qu'on appelle cela du nom qu'on voudra, peu importe. Que Freud vienne avec ses bésicles, ses théories, sa terminologie, qu'il vienne avec ses zones érogènes, ses tendances partielles, son caractère infantile de la sexualité chez les névropathes ! J'avais treize ans et demi, je n'étais plus un gamin, tout innocent, tout vierge que je pouvais être encore. La voix de la Nature s'était tue jusqu'ici en moi. Aujourd'hui, elle me faisait crier mon besoin, mon droit à la volupté, bien que je ne connusse pas la valeur de ce mot.

Je n'en savais pas plus long, j'étais heureux d'être fessé par cette femme, profondément heureux.»

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Résumé :

Recueil d’histoires vraies et de confessions érotiques sur la flagellation et l’art de la fessée par un maître en la matière : sensualité et délicatesse, psychologie, sincérité et souci de vérité inspirent tous ces récits. Un vrai régal pour le lecteur avisé.

Table des matières :

Contrat de Licence

LES MAINS CHÉRIE

Préface

I. — L’Hermaphrodite

II. — Marie-Jeanne

III. — Francesco

IV. — Documents

V. — Madeleine

VI. — Maurice

VII. — Carmen

VIII. — Mademoiselle Marceline

IX. — Une opinion féminine

X. — Reine

XI. — Monique

XII. — Nicole

CORRESPONDANCE

Avis à nos lectrices, à nos lecteurs

Lettre I

Lettre II

Lettre III

Lettre IV

Lettre V

Lettre VI

Lettre VII

Lettre VIII

Lettre IX

Lettre X

Extrait :

«Ma braguette en dessous sera vite défaite aussi. Elle me soulève, me tourne un peu pour passer la main. Et puis, je l'aide en me soulevant, en me tournant moi-même...

Mais va-t-elle s'en apercevoir de ce combien est resté ému de ce qui s'est tant ému tout à l'heure ? Oh ! que je serais honteux !... Pourquoi ? le sais-je seulement ?

Non, elle ne s'est aperçue de rien. Je l'ai pourtant sentie, moi, sa main au passage, j'ai senti le bout de ses longs doigts me frôler quand ils entraient dans l'ouverture, cherchant le troisième bouton coincé.

C'est fait, je suis déculotté. Elle tire ma culotte, l'abaisse, la rabat au-dessous de mon derrière qu'elle voit déjà. Sous moi, mon pantalon est retenu par le poids de mon corps sur le sien. Mais — oh ! comme elle déculotte bien ! — elle me soulève, le fait descendre jusqu'à mes jarrets. Je serai comme le cousin. Elle verra tout de moi, mes fesses, toutes, mes cuisses, toutes aussi. Elle relève ma courte chemise... elle m'a sous les yeux tout nu, des omoplates au jarret, car elle a poussé le plus haut qu'elle a pu ma veste avec la chemise.

Je serre les fesses. Là au moins, comme cela sur elle, je puis les serrer. Lui, il ne le pouvait. Gabriel, Sa position le lui interdisait.

Mais pourquoi diffère-t-elle de me claquer ? Je me tourne comme je peux... de tous ses yeux elle regarde ce que je crispe tant... Je ferme les miens, je me mords les lèvres pour ne pas crier quand elle me cinglera... J'aurais trop honte de crier, lui n'a pas poussé un cri, Gabriel.

Clac ! une gifle à toute volée est tombée. Clac ! une autre est venue de l'autre côté. Pourquoi ne continue-t-elle pas ?... Je les crispe, mes fesses, je les serre, je les serre...

De longues secondes se succèdent... Et puis, tout d'un coup, une grêle de claques !... La fessée s'est déclenchée, la fessée que depuis si longtemps j'attends, que mon angoisse appelle... Mais quelle surprise ?... Mais, c'est bon !... c'est cinglant affreusement, mais c'est délicieux !

Oui, c'est délicieux ! Et je m'agite follement, je rue, je saute sur ses cuisses musculeuses, je me frotte contre elles, je les sens tièdes et vivantes, ses cuisses ! Et sa main qui me claque, je la sens si vivante aussi que c'est sa vie, sa force, qu'elle m'infuse et c'est pourquoi je bondis ainsi ! J'ai envie de lui crier de ne pas s'arrêter, de bien claquer longtemps comme cela. Cela ne me fait pas de mal, au contraire. J'adore sa main qui me cingle, sa main que j'ai vue à l'ouvrage, si zélée, si courageuse. Mes bras libres, qui pendaient de l'autre côté de sa cuisse gauche et dont les mains se retenaient aux pieds de sa chaise, mes bras, je les ai ramenés, je sens la dureté de sa chair au travers de sa jupe légère... Sa chair vigoureuse, toute en muscles, la chair de ses cuisses de sportive entraînée avec lesquelles elle saute si bien au tennis, projetée comme par un ressort puissant, la chair de ses cuisses qui lui servent aussi à tenir à sa merci ou à supporter les grands garçons qu'elle fesse.

Mais, moi aussi, je veux sauter... Moi aussi, je saute bien. Mais ce n'est pas au tennis ; non, c'est à cet autre sport que je ne connaissais pas, c'est à la fessée, moi ! C'est un beau sport aussi, celui-là. C'est le plus beau de tous. Sur les genoux d'une grande jeune femme qui ressemble à un beau jeune homme élancé dont elle a la force et l'énergie, c'est un beau sport que d'être fessé... Ah ! je le serai encore, je le veux... Je ferai exprès de le mériter. Je veux déjà qu'elle me fesse fort, fort, plus fort qu'elle n'a fessé Gabriel dont les fesses pourtant étaient couleur de sang. Moi, je voudrais qu'il en jaillisse mon sang... Alors, il se signalerait mieux encore, mon bonheur !...

C'est tout d'un coup, en voyant l'expression de son visage penché sur moi que je viens de comprendre ce que je n'avais fait que deviner à demi pendant qu'elle claquait Gabriel... De ce moment, je soupçonnais quel plaisir elle prenait à fesser... Mais, mon initiation est complète, à présent. Et en voici la cause :

Comme je me rends compte que mes fesses sont moins belles que celles de mon cousin, je veux arriver à ce que, malgré cela, elle leur préfère les miennes. C'est pour cela que je me tortille tant...

Car mes tortillements l'excitent, ma fesseuse ! Au moment où elle me claque avec tant d'entrain, je pressens que sa joie l'emporte encore sur celle qu'elle avait avec Gabriel. Avec son bras gauche qui me retient à la taille, parfois elle me serre contre elle, me rapprochant de son corps souple, ses cuisses frémissent. Je veux qu'il lui soit si agréable de me fesser qu'elle me préfère à mon congénère si gâté par la Nature et pourvu de rondeurs plus attirantes que les miennes. Oh ! que je voudrais avoir une riche paire de fesses comme les siennes ! Qu'il me serait alors plus facile de la tenter ! Oh ! si j'avais ce qu'il a, avec le feu que j'ai, sa main aurait toujours l'envie de les claquer, avec sa belle ardeur !... Car la passion dont je l'ai vue brûler, mais je l'éprouve aussi... Est-ce intuition soudaine ? est-ce disposition polymorphe perverse ? Qu'on appelle cela du nom qu'on voudra, peu importe. Que Freud vienne avec ses bésicles, ses théories, sa terminologie, qu'il vienne avec ses zones érogènes, ses tendances partielles, son caractère infantile de la sexualité chez les névropathes ! J'avais treize ans et demi, je n'étais plus un gamin, tout innocent, tout vierge que je pouvais être encore. La voix de la Nature s'était tue jusqu'ici en moi. Aujourd'hui, elle me faisait crier mon besoin, mon droit à la volupté, bien que je ne connusse pas la valeur de ce mot.

Je n'en savais pas plus long, j'étais heureux d'être fessé par cette femme, profondément heureux.»

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