AUX ENFANTS. Dieu, lorsqu’il eut fait les hommes, chercha un adoucissement à leurs peines: il mit au monde l’amour maternel. Depuis ce temps les enfans sont heureux; ils ont des mères pour veiller sur eux, et pour les embrasser. Étant petits, elles les soignent avec sollicitude, leur font des lits propres et doux, leur apprennent à prier, à lire, et à aimer. Elles les aiment tant, ces mères! Une d’elles, qui a bercé les siens en cherchant à les instruire par des leçons tendres et faciles, a rassemblé ces leçons pour tous les petits enfants, auxquels les siens envoient des voeux, des baisers, et leur livre qu’ils savent par coeur. Au revoir dans la vie, chers écoliers, courage
AUX ENFANTS. Dieu, lorsqu’il eut fait les hommes, chercha un adoucissement à leurs peines: il mit au monde l’amour maternel. Depuis ce temps les enfans sont heureux; ils ont des mères pour veiller sur eux, et pour les embrasser. Étant petits, elles les soignent avec sollicitude, leur font des lits propres et doux, leur apprennent à prier, à lire, et à aimer. Elles les aiment tant, ces mères! Une d’elles, qui a bercé les siens en cherchant à les instruire par des leçons tendres et faciles, a rassemblé ces leçons pour tous les petits enfants, auxquels les siens envoient des voeux, des baisers, et leur livre qu’ils savent par coeur. Au revoir dans la vie, chers écoliers, courage