La Panzerdivision Wiking : la lutte finale (1943-1945)

La lutte finale (1943-1945)

Nonfiction, Social & Cultural Studies, Political Science
Cover of the book La Panzerdivision Wiking : la lutte finale (1943-1945) by Jean Mabire, Fayard (réédition numérique FeniXX)
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Author: Jean Mabire ISBN: 9782213690360
Publisher: Fayard (réédition numérique FeniXX) Publication: January 1, 1981
Imprint: Fayard (réédition numérique FeniXX) Language: French
Author: Jean Mabire
ISBN: 9782213690360
Publisher: Fayard (réédition numérique FeniXX)
Publication: January 1, 1981
Imprint: Fayard (réédition numérique FeniXX)
Language: French

Dès le printemps 1940, alors que la guerre à l'Ouest vient seulement de commencer, les Allemands font appel à des volontaires de pays que la propagande nationale-socialiste revendique comme germaniques. Quelques milliers de Danois, de Norvégiens, de Finlandais, de Suédois, de Hollandais, de Flamands, et même de Suisses, répondent à cet appel. Ils vont constituer, avec des citoyens du Reich et des nationaux roumains ou hongrois d'origine allemande, une unité militaire de vingt mille hommes placés sous les ordres de Félix Steiner, ancien officier des troupes d'assaut de 14-18. Placés en tête des troupes d'invasion dans le secteur méridional du front de l'Est, ces volontaires germaniques vont se battre jusqu'aux montagnes du Caucase et manquer de peu d'atteindre les rives de la mer Caspienne. Cette aventure, tragique et méconnue, a été racontée dans un premier volume : La division Wiking, Arthème Fayard éditeur, 1980. Ce deuxième tome évoque la lutte finale des volontaires germaniques. Leur unité devient une division blindée : La Panzerdivision Wiking. Un bataillon d'Estoniens remplace celui des Finlandais, puis arrivent en renfort, avec le chef du Rexisme Léon Degrelle, les deux mille volontaires belges de la brigade d'assaut Wallonie. Avec d'autres unités de la Wermacht, ces hommes de la Waffen SS, que commande désormais le Gruppenführer Gille, sont alors encerclés près de Tcherkassy, sur le Dniepr, et ils ne parviendront à percer les lignes soviétiques qu'au prix de pertes effroyables. Les survivants quitteront alors l'Ukraine pour se battre sur la frontière polonaise. Ils résisteront pendant des mois devant Varsovie, mais ils seront incapables, au début de l'année 1945, de reprendre Budapest. Vient alors la longue marche qui les conduit vers la captivité, à travers l'Autriche et la Bavière. Du premier au dernier jour, les Vikings du IIIe Reich n'auront jamais quitté le front de l'Est, où ils ont été les plus rudes soldats d'une guerre gigantesque et impitoyable.

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Dès le printemps 1940, alors que la guerre à l'Ouest vient seulement de commencer, les Allemands font appel à des volontaires de pays que la propagande nationale-socialiste revendique comme germaniques. Quelques milliers de Danois, de Norvégiens, de Finlandais, de Suédois, de Hollandais, de Flamands, et même de Suisses, répondent à cet appel. Ils vont constituer, avec des citoyens du Reich et des nationaux roumains ou hongrois d'origine allemande, une unité militaire de vingt mille hommes placés sous les ordres de Félix Steiner, ancien officier des troupes d'assaut de 14-18. Placés en tête des troupes d'invasion dans le secteur méridional du front de l'Est, ces volontaires germaniques vont se battre jusqu'aux montagnes du Caucase et manquer de peu d'atteindre les rives de la mer Caspienne. Cette aventure, tragique et méconnue, a été racontée dans un premier volume : La division Wiking, Arthème Fayard éditeur, 1980. Ce deuxième tome évoque la lutte finale des volontaires germaniques. Leur unité devient une division blindée : La Panzerdivision Wiking. Un bataillon d'Estoniens remplace celui des Finlandais, puis arrivent en renfort, avec le chef du Rexisme Léon Degrelle, les deux mille volontaires belges de la brigade d'assaut Wallonie. Avec d'autres unités de la Wermacht, ces hommes de la Waffen SS, que commande désormais le Gruppenführer Gille, sont alors encerclés près de Tcherkassy, sur le Dniepr, et ils ne parviendront à percer les lignes soviétiques qu'au prix de pertes effroyables. Les survivants quitteront alors l'Ukraine pour se battre sur la frontière polonaise. Ils résisteront pendant des mois devant Varsovie, mais ils seront incapables, au début de l'année 1945, de reprendre Budapest. Vient alors la longue marche qui les conduit vers la captivité, à travers l'Autriche et la Bavière. Du premier au dernier jour, les Vikings du IIIe Reich n'auront jamais quitté le front de l'Est, où ils ont été les plus rudes soldats d'une guerre gigantesque et impitoyable.

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