Author: | Jules Verne | ISBN: | 1230001206364 |
Publisher: | PRB | Publication: | June 29, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jules Verne |
ISBN: | 1230001206364 |
Publisher: | PRB |
Publication: | June 29, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
La Jangada, sous-titré 800 lieues sur l'Amazone, est un roman policier et d'aventures de l'écrivain français Jules Verne (1828 – 1905).
Une jangada est un train de bois, un vaste radeau en Amérique du Sud. C'est sur ce genre d'embarcation que Joam Garral et toute sa famille, qui résident au Pérou, descendent le cours de l'Amazone afin de marier sa fille à Belém, à l'embouchure du fleuve.
Ce livre numérique présente l'édition intégrale (les 2 Tomes) et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
En 1852, à Iquitos, au Pérou, Joam Garral, fazender de quarante-huit ans, est l'heureux propriétaire d'une fazenda qui prospère, et le père de famille également épanoui de deux enfants, un fils Bénito de vingt-et-un ans et une fille Minha de dix-sept qui va convoler avec le meilleur ami de son fils, Manoël Valdez, médecin militaire brésilien.
L'annonce du mariage implique de se rendre à Belém, au Brésil, afin de rencontrer la mère de Manoël et de célébrer le mariage sous sa bénédiction. Joam Garral décide donc de construire un radeau gigantesque, une « jangada », pour descendre le cours de l'Amazone et parcourir « huit cents lieues » au cours du fleuve avant de célébrer le mariage à Belém.
Extrait :
L’homme qui tenait à la main le document dont ce bizarre assemblage de lettres formait le dernier alinéa, resta quelques instants pensif, après l’avoir attentivement relu.
Le document comptait une centaine de ces lignes, qui n’étaient pas même divisées par mots. Il semblait avoir été écrit depuis bien des années, et sur la feuille d’épais papier que couvraient ces hiéroglyphes, le temps avait déjà mis sa patine jaunâtres.
Mais, suivant quelle loi ces lettres avaient-elles été réunies ? Seul, cet homme eût pu le dire. En effet, il en est de ces langages chiffrés comme des serrures des coffres-forts modernes : ils se défendent de la même façon. Les combinaisons qu’ils présentent se comptent par milliards, et la vie d’un calculateur ne suffirait pas à les énoncer. Il faut le « mot » pour ouvrir le coffre de sûreté ; il faut le « chiffre » pour lire un cryptogramme de ce genre. Aussi, on le verra, celui-ci devait résister aux tentatives les plus ingénieuses, et cela, dans des circonstances ? de la plus haute gravité.
L’homme qui venait de relire ce document n’était qu’un simple capitaine des bois...
La Jangada, sous-titré 800 lieues sur l'Amazone, est un roman policier et d'aventures de l'écrivain français Jules Verne (1828 – 1905).
Une jangada est un train de bois, un vaste radeau en Amérique du Sud. C'est sur ce genre d'embarcation que Joam Garral et toute sa famille, qui résident au Pérou, descendent le cours de l'Amazone afin de marier sa fille à Belém, à l'embouchure du fleuve.
Ce livre numérique présente l'édition intégrale (les 2 Tomes) et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
En 1852, à Iquitos, au Pérou, Joam Garral, fazender de quarante-huit ans, est l'heureux propriétaire d'une fazenda qui prospère, et le père de famille également épanoui de deux enfants, un fils Bénito de vingt-et-un ans et une fille Minha de dix-sept qui va convoler avec le meilleur ami de son fils, Manoël Valdez, médecin militaire brésilien.
L'annonce du mariage implique de se rendre à Belém, au Brésil, afin de rencontrer la mère de Manoël et de célébrer le mariage sous sa bénédiction. Joam Garral décide donc de construire un radeau gigantesque, une « jangada », pour descendre le cours de l'Amazone et parcourir « huit cents lieues » au cours du fleuve avant de célébrer le mariage à Belém.
Extrait :
L’homme qui tenait à la main le document dont ce bizarre assemblage de lettres formait le dernier alinéa, resta quelques instants pensif, après l’avoir attentivement relu.
Le document comptait une centaine de ces lignes, qui n’étaient pas même divisées par mots. Il semblait avoir été écrit depuis bien des années, et sur la feuille d’épais papier que couvraient ces hiéroglyphes, le temps avait déjà mis sa patine jaunâtres.
Mais, suivant quelle loi ces lettres avaient-elles été réunies ? Seul, cet homme eût pu le dire. En effet, il en est de ces langages chiffrés comme des serrures des coffres-forts modernes : ils se défendent de la même façon. Les combinaisons qu’ils présentent se comptent par milliards, et la vie d’un calculateur ne suffirait pas à les énoncer. Il faut le « mot » pour ouvrir le coffre de sûreté ; il faut le « chiffre » pour lire un cryptogramme de ce genre. Aussi, on le verra, celui-ci devait résister aux tentatives les plus ingénieuses, et cela, dans des circonstances ? de la plus haute gravité.
L’homme qui venait de relire ce document n’était qu’un simple capitaine des bois...