Parti de Bretagne à l’automne 1834, le brick Beau Parleur, fait route vers la Guadeloupe.
Dans la cale noire, chaque jour, les pièges à rats sont vides. Ilan, le mousse, ne comprend pas. Non seulement les horribles bestioles qui peuplent les recoins sombres ne se font pas prendre, mais elles réussissent à manger les appâts comme s’il les leur offrait gentiment. La traversée commence mal, mais il est bien décidé à éclaircir le mystère...
Petit-Jean, un autre grand voilier, a appareillé plusieurs mois auparavant. Pourquoi a-t-il pris la mer à contre-saison ? Dans quel projet fou le capitaine a-t-il entraîné son équipage ?
À bord de ces deux navires, des cales pleines des précieuses marchandises qu’on attend dans les îles de lumière, mais aussi les rêves de ceux qui ont pris place à bord.
Embarquez dans le premier tome de cette saga d'aventures destinée aux jeunes lecteurs !
EXTRAIT
Ilan allait sur ses treize ans, mais commençait juste à grandir. C’était un Breton pure souche aux cheveux noirs et aux yeux bleus, avec des taches de rousseur sur le nez et les pommettes. Il naviguait sur Beau-Parleur depuis plus de trois ans et connaissait par cœur la route des îles. Il avait hâte de quitter la côte bretonne et les eaux d’Europe pour retrouver la douceur du Sud.
Il fit une ronde au bout d’une heure et ne voyant rien d’inquiétant, se rassit dans un recoin à l’abri du vent. En s’enroulant dans la toile, il arrêta vite de claquer des dents et se réchauffa un peu.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
La Cale aux rats pose les bases de la tétralogie avec des personnages principaux denses et des enjeux intéressants. Daniel Pagés nous fait naviguer dans un monde ouvert à l’aventure dans lequel on a hâte de replonger avec le deuxième tome. - Alicia
À PROPOS DE L'AUTEUR
Daniel Pagés est né en Haut-Languedoc.
Successivement éducateur de jeunes en difficultés, paysan et skipper professionnel de voiliers, il accompagne, plusieurs mois par an, des enfants dans la découverte de l’océan sur l’île d’Oléron.
Depuis une première traversée de l’Atlantique sur la route de Christophe Colomb en 1978, suivie de nombreux voyages, l’histoire et les couleurs des îles antillaises sont restées gravées au creux de ses rêves. Elles ressurgissent dans cette aventure pleine de lumière.
Parti de Bretagne à l’automne 1834, le brick Beau Parleur, fait route vers la Guadeloupe.
Dans la cale noire, chaque jour, les pièges à rats sont vides. Ilan, le mousse, ne comprend pas. Non seulement les horribles bestioles qui peuplent les recoins sombres ne se font pas prendre, mais elles réussissent à manger les appâts comme s’il les leur offrait gentiment. La traversée commence mal, mais il est bien décidé à éclaircir le mystère...
Petit-Jean, un autre grand voilier, a appareillé plusieurs mois auparavant. Pourquoi a-t-il pris la mer à contre-saison ? Dans quel projet fou le capitaine a-t-il entraîné son équipage ?
À bord de ces deux navires, des cales pleines des précieuses marchandises qu’on attend dans les îles de lumière, mais aussi les rêves de ceux qui ont pris place à bord.
Embarquez dans le premier tome de cette saga d'aventures destinée aux jeunes lecteurs !
EXTRAIT
Ilan allait sur ses treize ans, mais commençait juste à grandir. C’était un Breton pure souche aux cheveux noirs et aux yeux bleus, avec des taches de rousseur sur le nez et les pommettes. Il naviguait sur Beau-Parleur depuis plus de trois ans et connaissait par cœur la route des îles. Il avait hâte de quitter la côte bretonne et les eaux d’Europe pour retrouver la douceur du Sud.
Il fit une ronde au bout d’une heure et ne voyant rien d’inquiétant, se rassit dans un recoin à l’abri du vent. En s’enroulant dans la toile, il arrêta vite de claquer des dents et se réchauffa un peu.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
La Cale aux rats pose les bases de la tétralogie avec des personnages principaux denses et des enjeux intéressants. Daniel Pagés nous fait naviguer dans un monde ouvert à l’aventure dans lequel on a hâte de replonger avec le deuxième tome. - Alicia
À PROPOS DE L'AUTEUR
Daniel Pagés est né en Haut-Languedoc.
Successivement éducateur de jeunes en difficultés, paysan et skipper professionnel de voiliers, il accompagne, plusieurs mois par an, des enfants dans la découverte de l’océan sur l’île d’Oléron.
Depuis une première traversée de l’Atlantique sur la route de Christophe Colomb en 1978, suivie de nombreux voyages, l’histoire et les couleurs des îles antillaises sont restées gravées au creux de ses rêves. Elles ressurgissent dans cette aventure pleine de lumière.