Author: | Douglas Murray | ISBN: | 9782810008261 |
Publisher: | L'artilleur | Publication: | April 25, 2018 |
Imprint: | L'artilleur | Language: | French |
Author: | Douglas Murray |
ISBN: | 9782810008261 |
Publisher: | L'artilleur |
Publication: | April 25, 2018 |
Imprint: | L'artilleur |
Language: | French |
Ce livre est le récit d’une longue enquête.
Depuis la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, des vagues migratoires successives touchent tous les pays d’Europe occidentale.
Pour en mesurer l’impact, tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi-totalité des pays de l’Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires.
Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : En matière migratoire, les responsables politiques européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur permettent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu’elles conduisent, partout, à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.
D’ici la moitié de ce siècle, il est plus que probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l’Inde à l’Inde… Mais, au rythme auquel elle change, l’Europe ne pourra plus ressembler à ce qu’elle a été il y a encore quelques décennies.
Douglas Murray pose donc la question : Faut-il faire de l’Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue du « bien commun » ?
Le compte-à-rebours a commencé.
Ce livre est le récit d’une longue enquête.
Depuis la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, des vagues migratoires successives touchent tous les pays d’Europe occidentale.
Pour en mesurer l’impact, tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi-totalité des pays de l’Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires.
Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : En matière migratoire, les responsables politiques européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur permettent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu’elles conduisent, partout, à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.
D’ici la moitié de ce siècle, il est plus que probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l’Inde à l’Inde… Mais, au rythme auquel elle change, l’Europe ne pourra plus ressembler à ce qu’elle a été il y a encore quelques décennies.
Douglas Murray pose donc la question : Faut-il faire de l’Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue du « bien commun » ?
Le compte-à-rebours a commencé.