Author: | Gallon la Bastide traducteur, Cicéron | ISBN: | 1230000216504 |
Publisher: | pp | Publication: | February 6, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Gallon la Bastide traducteur, Cicéron |
ISBN: | 1230000216504 |
Publisher: | pp |
Publication: | February 6, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce livre comporte une table des matières dynamique, à été relu et corrigé.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait:
I. Quintus Mucius Scévola l’augure avait coutume de raconter avec beaucoup de mémoire et d’agrément une infinité de choses de son beau-père C. Lélius, à qui, sans hésiter, il donnait toujours le nom de sage.
Lorsque je pris la robe virile, mon père me mit sous la protection de Scévola d’une manière si spéciale, que, tant que je pouvais, et qu’il m’était permis, je ne quittais jamais les côtés de ce vieillard.
Je gravais dans mon esprit ses raisonnements pleins de justesse, ses sentences courtes et ingénieuses, et je tâchais de m’enrichir de ses lumières et de sa sagesse. Après sa mort, je m’attachai à Scévola le pontife[1], que je ne crains pas de regarder comme un des hommes les plus éclairés et les plus vertueux de son siècle : mais j’en parlerai ailleurs ; je ne m’occupe ici que de l’augure.
Ce livre comporte une table des matières dynamique, à été relu et corrigé.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait:
I. Quintus Mucius Scévola l’augure avait coutume de raconter avec beaucoup de mémoire et d’agrément une infinité de choses de son beau-père C. Lélius, à qui, sans hésiter, il donnait toujours le nom de sage.
Lorsque je pris la robe virile, mon père me mit sous la protection de Scévola d’une manière si spéciale, que, tant que je pouvais, et qu’il m’était permis, je ne quittais jamais les côtés de ce vieillard.
Je gravais dans mon esprit ses raisonnements pleins de justesse, ses sentences courtes et ingénieuses, et je tâchais de m’enrichir de ses lumières et de sa sagesse. Après sa mort, je m’attachai à Scévola le pontife[1], que je ne crains pas de regarder comme un des hommes les plus éclairés et les plus vertueux de son siècle : mais j’en parlerai ailleurs ; je ne m’occupe ici que de l’augure.