Un demi-siècle tout rond ! Un demi-siècle sépare « Tous les garçons et les filles » (1962), chanson emblématique des sixties, de « L’Amour fou » (2012), album magistral qui va définitivement marquer le XXIe siècle. Entre les deux, une discographie enthousiasmante et foisonnante (1963-1963) qui se fit ensuite intimiste (1970-1973) avant le grand retour (« Message personnel », 1974). Comme le chantait Georges Brassens, tout est bon chez elle, y a rien à jeter, malgré quelques compromissions (« Tamalou », « Musique saoule », « Jazzy rétro Satanas ») qui, paradoxalement, lui permirent d’accéder à une plus grande indépendance artistique. 365 chansons en français et près de la moitié en langues étrangères (anglais, italien, allemand, espagnol, portugais) ont forgé en cinquante ans une reconnaissance internationale bien méritée… Un coffre dont on extrait les bijoux un par un, au gré de notre humeur du moment, du sautillant « Comment te dire adieu » à l’éblouissant mais déchirant « Normandia ».
Un demi-siècle tout rond ! Un demi-siècle sépare « Tous les garçons et les filles » (1962), chanson emblématique des sixties, de « L’Amour fou » (2012), album magistral qui va définitivement marquer le XXIe siècle. Entre les deux, une discographie enthousiasmante et foisonnante (1963-1963) qui se fit ensuite intimiste (1970-1973) avant le grand retour (« Message personnel », 1974). Comme le chantait Georges Brassens, tout est bon chez elle, y a rien à jeter, malgré quelques compromissions (« Tamalou », « Musique saoule », « Jazzy rétro Satanas ») qui, paradoxalement, lui permirent d’accéder à une plus grande indépendance artistique. 365 chansons en français et près de la moitié en langues étrangères (anglais, italien, allemand, espagnol, portugais) ont forgé en cinquante ans une reconnaissance internationale bien méritée… Un coffre dont on extrait les bijoux un par un, au gré de notre humeur du moment, du sautillant « Comment te dire adieu » à l’éblouissant mais déchirant « Normandia ».