En 2010, le Service de la Langue française de FWB confie la recherche-action « Rapports à la langue française et plurilinguisme des populations issues des migrations en Wallonie et à Bruxelles » à l'IRFAM. Cette recherche étudie les pratiques culturelles favorisant l'appropriation, l'approche et l'usage de la langue française par les migrants en Belgique francophone. Une distinction est donc à installer par rapport à l'apprentissage du français au sens strict (enseignement scolaire, cours FLE, etc.). Un échantillon d'une dizaine d'actions pilotes menées par des organismes culturels (centres d'expression et de créativité, maisons des jeunes, centres de théâtre-action, bibliothèques publiques, structures d'éducation permanente, etc.) est notamment sélectionné sur base de la pertinence et du caractère reproductible des initiatives. Après l'analyse de ces différentes actions, la recherche est passée par une phase de mobilisation et de rencontres avec des acteurs de terrain. L'enjeu final est de dresser le cadre méthodologique de l'appropriation de la langue française par les migrants à travers des institutions socioculturelles. Il s'agit in fine de proposer un référentiel et une méthodologie pouvant inspirer des programmes de formation continue ou des programmes de sensibilisation des acteurs professionnels des secteurs, notamment, culturels, afin de favoriser l'appropriation du français par les migrants.
En 2010, le Service de la Langue française de FWB confie la recherche-action « Rapports à la langue française et plurilinguisme des populations issues des migrations en Wallonie et à Bruxelles » à l'IRFAM. Cette recherche étudie les pratiques culturelles favorisant l'appropriation, l'approche et l'usage de la langue française par les migrants en Belgique francophone. Une distinction est donc à installer par rapport à l'apprentissage du français au sens strict (enseignement scolaire, cours FLE, etc.). Un échantillon d'une dizaine d'actions pilotes menées par des organismes culturels (centres d'expression et de créativité, maisons des jeunes, centres de théâtre-action, bibliothèques publiques, structures d'éducation permanente, etc.) est notamment sélectionné sur base de la pertinence et du caractère reproductible des initiatives. Après l'analyse de ces différentes actions, la recherche est passée par une phase de mobilisation et de rencontres avec des acteurs de terrain. L'enjeu final est de dresser le cadre méthodologique de l'appropriation de la langue française par les migrants à travers des institutions socioculturelles. Il s'agit in fine de proposer un référentiel et une méthodologie pouvant inspirer des programmes de formation continue ou des programmes de sensibilisation des acteurs professionnels des secteurs, notamment, culturels, afin de favoriser l'appropriation du français par les migrants.