Author: | Anonyme | ISBN: | 9782363076564 |
Publisher: | Éditions de la Spiritualité | Publication: | April 12, 2013 |
Imprint: | Éditions de la Spiritualité | Language: | French |
Author: | Anonyme |
ISBN: | 9782363076564 |
Publisher: | Éditions de la Spiritualité |
Publication: | April 12, 2013 |
Imprint: | Éditions de la Spiritualité |
Language: | French |
Le Sutra en quarante-deux articles
Traduit du tibétain
Le Sutra en quarante-deux articles est d’après la tradition chinoise le premier texte bouddhique parvenu en Chine en 67 ap. J.-C.
Il s’agit de quarante-deux textes courts de moins de cent caractères chacun qui se présentent comme les paroles du Bouddha et commencent par « le Bouddha (a) dit », offrant ainsi une certaine ressemblance avec les Entretiens de Confucius. Il s’agit d’un style différent de celui des sutra mahayana qui seront traduits par la suite jusque l’époque de Kumarajiva, qui eux semblent clairement suivre de près un texte non chinois et possèdent une préface relatant les circonstances de leur traduction. Cette caractéristique, ajoutée au fait que très peu de catalogues le citent avant les Tang (618-907) – il est en particulier absent de celui compilé par Dao'an (314-385)5– l’a fait soupçonner d’être apocryphe. Néanmoins, il pourrait s’agir, plutôt que d’une traduction à proprement parler, de la mise par écrit d’explications ou de commentaires donnés oralement par les moines étrangers. Les bouddhistes qui croient que le texte date bien du Ier siècle ap. J.-C. expliquent que l’empereur l’avait conservé dans sa bibliothèque personnelle et qu’il ne fut diffusé que plus tard. Source Wikipédia.
Le Sutra en quarante-deux articles
Traduit du tibétain
Le Sutra en quarante-deux articles est d’après la tradition chinoise le premier texte bouddhique parvenu en Chine en 67 ap. J.-C.
Il s’agit de quarante-deux textes courts de moins de cent caractères chacun qui se présentent comme les paroles du Bouddha et commencent par « le Bouddha (a) dit », offrant ainsi une certaine ressemblance avec les Entretiens de Confucius. Il s’agit d’un style différent de celui des sutra mahayana qui seront traduits par la suite jusque l’époque de Kumarajiva, qui eux semblent clairement suivre de près un texte non chinois et possèdent une préface relatant les circonstances de leur traduction. Cette caractéristique, ajoutée au fait que très peu de catalogues le citent avant les Tang (618-907) – il est en particulier absent de celui compilé par Dao'an (314-385)5– l’a fait soupçonner d’être apocryphe. Néanmoins, il pourrait s’agir, plutôt que d’une traduction à proprement parler, de la mise par écrit d’explications ou de commentaires donnés oralement par les moines étrangers. Les bouddhistes qui croient que le texte date bien du Ier siècle ap. J.-C. expliquent que l’empereur l’avait conservé dans sa bibliothèque personnelle et qu’il ne fut diffusé que plus tard. Source Wikipédia.