Author: | Marco Koskas | ISBN: | 9782402042154 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1978 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Ramsay) | Language: | French |
Author: | Marco Koskas |
ISBN: | 9782402042154 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1978 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Ramsay) |
Language: | French |
Il était une fois le colporteur Bonan qui, pour qu’elles durent plus longtemps, vendait par trois les chaussures made in France. Il était une fois Victor, l’enfant roi fugueur aux cheveux rouges, qui gardait en sa mémoire plus de souvenirs qu’un vieillard. Il était une fois Maïa, septième fille de Bonan, qui naquit velue comme un singe et fut la première femme à s’attabler jamais à la terrasse du café Sportez pour commander un verre de boukha 38°. Il était une fois l’Internationale chantée le 14 juillet 1936 dans les salons de l’Hôtel de France. Il était une fois Balace Bounel, première maison à étages construite à Nabeul (Tunisie). Et ils étaient tous lents, rabbins, pleureuses, matrones et pèlerins. Avec une maîtrise et un humour dignes des plus grands écrivains, Marco Koskas retrouve d’instinct le bonheur oublié de raconter des histoires presque infinies.
Il était une fois le colporteur Bonan qui, pour qu’elles durent plus longtemps, vendait par trois les chaussures made in France. Il était une fois Victor, l’enfant roi fugueur aux cheveux rouges, qui gardait en sa mémoire plus de souvenirs qu’un vieillard. Il était une fois Maïa, septième fille de Bonan, qui naquit velue comme un singe et fut la première femme à s’attabler jamais à la terrasse du café Sportez pour commander un verre de boukha 38°. Il était une fois l’Internationale chantée le 14 juillet 1936 dans les salons de l’Hôtel de France. Il était une fois Balace Bounel, première maison à étages construite à Nabeul (Tunisie). Et ils étaient tous lents, rabbins, pleureuses, matrones et pèlerins. Avec une maîtrise et un humour dignes des plus grands écrivains, Marco Koskas retrouve d’instinct le bonheur oublié de raconter des histoires presque infinies.