Author: | Amélie Antoine | ISBN: | 1230001770742 |
Publisher: | Amélie Antoine | Publication: | July 20, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Amélie Antoine |
ISBN: | 1230001770742 |
Publisher: | Amélie Antoine |
Publication: | July 20, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Abigaëlle, Philippe, Sofiane, Bastien, Léopold.
Margot, Daphné, Théo, Lucas, et Romane.
Le 13 novembre 2015, tous verront leur vie basculer au Bataclan.
Les personnages de cette histoire sont fictifs. Imaginés, inventés. Tels peut-être qu’ils ont habité vos pensées, car ils sont nous tous.
Ce texte est un roman, mais c’est avant tout un hommage à toutes les victimes de ce jour-là. Celles qui n'ont pas survécu, celles qui luttent aujourd'hui pour continuer simplement à vivre.
Au nom de quoi n'est pas un témoignage. Ou plutôt si, c'est celui de la plus intolérable des réalités.
La moitié des bénéfices tirés de ce roman sera reversée à une association œuvrant en faveur des victimes du terrorisme.
Extrait :
"J’ai regardé des dizaines, des centaines de fois les visages de ces êtres humains massacrés ce soir-là au nom de rien. À force, j’ai eu l’impression de tous les connaître, de tous les aimer, d’être en deuil d’eux tous alors que je ne les avais évidemment jamais croisés de ma vie.
En boucle, j’ai vu et revu ces dizaines de silhouettes sombres qui s’échappaient du Bataclan, poursuivies par l’écho des rafales qui continuaient de retentir. En état de sidération devant la télévision, encore et encore. Paralysé, comme un certain 11 septembre, lorsque, à l’écran, des avions de la taille d’une mouche étaient venus s’encastrer dans deux tours gigantesques. « Ça ne peut pas être vrai. » J’étais adolescent en 2001 ; je suis adulte en 2015 ; les émotions sont les mêmes. S’y ajoute seulement la tristesse de se demander dans quel monde vont grandir nos enfants et comment on va bien pouvoir leur expliquer la folie des uns et l’impuissance des autres."
Ils ont lu Au nom de quoi :
« L’auteur n’y était pas, mais il écrit un deuil qui est celui de toute une génération, et l’on referme ce livre, l’on referme ces vies, le cœur lourd, les larmes aux yeux et la rage au ventre, et c’est notre deuil à tous. » FA
« Ce livre m’a marqué comme rarement. Ce livre m’a remué comme rarement.
Bien sûr on pourrait se demander pourquoi écrire un tel roman… Pour mettre des mots autour d’un drame sans doute. Pour poser sur le papier les émotions qu’on a tous ressenties en voyant les photos des victimes. Pour ne jamais oublier. » Carène
« Ce livre qui veut réinventer la réalité pour l’exorciser et la transcender est un vibrant hommage à ceux qui n’ont pas survécu et à ceux qui luttent encore aujourd’hui pour continuer à vivre. » Gérard Müller
« DL'auteur réussit l'exploit de nous prendre par la main pour nous accompagner, nous consoler. Il y a de l'urgence dans ces pages, une émotion dingue qui transparaît dans chaque ligne. Ici, point de témoignage. Juste de la littérature, qui joue son rôle en nous donnant à voir l'indicible. » Sol et quelques
« Ces tranches de vie et de mort m'ont happé les unes après les autres. Des moments simples d'abord, mais qui bien évidemment, on le sait, basculent dans l'horreur et la tristesse. J'ai pleuré à chaudes larmes, et ce roman a libéré l'émotion et la tension que j'avais vécues ce soir-là, à des centaines de kilomètres. » Cyril G
Abigaëlle, Philippe, Sofiane, Bastien, Léopold.
Margot, Daphné, Théo, Lucas, et Romane.
Le 13 novembre 2015, tous verront leur vie basculer au Bataclan.
Les personnages de cette histoire sont fictifs. Imaginés, inventés. Tels peut-être qu’ils ont habité vos pensées, car ils sont nous tous.
Ce texte est un roman, mais c’est avant tout un hommage à toutes les victimes de ce jour-là. Celles qui n'ont pas survécu, celles qui luttent aujourd'hui pour continuer simplement à vivre.
Au nom de quoi n'est pas un témoignage. Ou plutôt si, c'est celui de la plus intolérable des réalités.
La moitié des bénéfices tirés de ce roman sera reversée à une association œuvrant en faveur des victimes du terrorisme.
Extrait :
"J’ai regardé des dizaines, des centaines de fois les visages de ces êtres humains massacrés ce soir-là au nom de rien. À force, j’ai eu l’impression de tous les connaître, de tous les aimer, d’être en deuil d’eux tous alors que je ne les avais évidemment jamais croisés de ma vie.
En boucle, j’ai vu et revu ces dizaines de silhouettes sombres qui s’échappaient du Bataclan, poursuivies par l’écho des rafales qui continuaient de retentir. En état de sidération devant la télévision, encore et encore. Paralysé, comme un certain 11 septembre, lorsque, à l’écran, des avions de la taille d’une mouche étaient venus s’encastrer dans deux tours gigantesques. « Ça ne peut pas être vrai. » J’étais adolescent en 2001 ; je suis adulte en 2015 ; les émotions sont les mêmes. S’y ajoute seulement la tristesse de se demander dans quel monde vont grandir nos enfants et comment on va bien pouvoir leur expliquer la folie des uns et l’impuissance des autres."
Ils ont lu Au nom de quoi :
« L’auteur n’y était pas, mais il écrit un deuil qui est celui de toute une génération, et l’on referme ce livre, l’on referme ces vies, le cœur lourd, les larmes aux yeux et la rage au ventre, et c’est notre deuil à tous. » FA
« Ce livre m’a marqué comme rarement. Ce livre m’a remué comme rarement.
Bien sûr on pourrait se demander pourquoi écrire un tel roman… Pour mettre des mots autour d’un drame sans doute. Pour poser sur le papier les émotions qu’on a tous ressenties en voyant les photos des victimes. Pour ne jamais oublier. » Carène
« Ce livre qui veut réinventer la réalité pour l’exorciser et la transcender est un vibrant hommage à ceux qui n’ont pas survécu et à ceux qui luttent encore aujourd’hui pour continuer à vivre. » Gérard Müller
« DL'auteur réussit l'exploit de nous prendre par la main pour nous accompagner, nous consoler. Il y a de l'urgence dans ces pages, une émotion dingue qui transparaît dans chaque ligne. Ici, point de témoignage. Juste de la littérature, qui joue son rôle en nous donnant à voir l'indicible. » Sol et quelques
« Ces tranches de vie et de mort m'ont happé les unes après les autres. Des moments simples d'abord, mais qui bien évidemment, on le sait, basculent dans l'horreur et la tristesse. J'ai pleuré à chaudes larmes, et ce roman a libéré l'émotion et la tension que j'avais vécues ce soir-là, à des centaines de kilomètres. » Cyril G