Author: | Philippe Boegner | ISBN: | 9782234110502 |
Publisher: | Stock (réédition numérique FeniXX) | Publication: | December 31, 1977 |
Imprint: | Stock (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Philippe Boegner |
ISBN: | 9782234110502 |
Publisher: | Stock (réédition numérique FeniXX) |
Publication: | December 31, 1977 |
Imprint: | Stock (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
Vingt, trente, souvent quarante cigarettes par jour... et un bon cigare après le repas. Parfois, la gorge refuse, s'insurge, s'irrite. Vous devriez moins fumer, dit le docteur, faites un effort. L'effort dure une semaine, un mois, une saison, rarement plus... Après tout, Churchill n'a-t-il pas atteint 91, ans avec quatorze cigares quotidiens ? Chacun se trouve une bonne excuse pour sombrer à nouveau. Mais il arrive à beaucoup, sur la route de l'esclavage – et il est arrivé à Philippe Boegner - de s'entendre dire un jour : Il y a quelque chose qui ne me plaît pas dans votre gorge.. Ainsi débute le drame, par cette petite phrase.. Des hommes, jusqu'ici solides, confiants dans l'avenir, sûrs d'eux (des femmes aussi, de plus en plus de femmes) découvrent soudain une perspective affolante... Si on m'avait dit... Si on m'avait averti... Si j'avais su... Quand vous arriverez à la fin de ce récit, vous saurez. Philippe Boegner n'a rien dissimulé. Il termine ainsi son introduction : Ces pages n'auront pas été inutiles si, parvenant à leur terme, un seul de leurs lecteurs ou lectrices - oui un seul - les a bien comprises, suivant l'expression d'un médecin, avec sa tête, avec son cœur, avec ses tripes...
Vingt, trente, souvent quarante cigarettes par jour... et un bon cigare après le repas. Parfois, la gorge refuse, s'insurge, s'irrite. Vous devriez moins fumer, dit le docteur, faites un effort. L'effort dure une semaine, un mois, une saison, rarement plus... Après tout, Churchill n'a-t-il pas atteint 91, ans avec quatorze cigares quotidiens ? Chacun se trouve une bonne excuse pour sombrer à nouveau. Mais il arrive à beaucoup, sur la route de l'esclavage – et il est arrivé à Philippe Boegner - de s'entendre dire un jour : Il y a quelque chose qui ne me plaît pas dans votre gorge.. Ainsi débute le drame, par cette petite phrase.. Des hommes, jusqu'ici solides, confiants dans l'avenir, sûrs d'eux (des femmes aussi, de plus en plus de femmes) découvrent soudain une perspective affolante... Si on m'avait dit... Si on m'avait averti... Si j'avais su... Quand vous arriverez à la fin de ce récit, vous saurez. Philippe Boegner n'a rien dissimulé. Il termine ainsi son introduction : Ces pages n'auront pas été inutiles si, parvenant à leur terme, un seul de leurs lecteurs ou lectrices - oui un seul - les a bien comprises, suivant l'expression d'un médecin, avec sa tête, avec son cœur, avec ses tripes...