Author: | Walter Scott | ISBN: | 1230001350210 |
Publisher: | PRB | Publication: | September 17, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Walter Scott |
ISBN: | 1230001350210 |
Publisher: | PRB |
Publication: | September 17, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Eaux de Saint-Ronan est un roman du poète et écrivain écossais Walter Scott (1771 – 1832).
Résumé :
Après sept années d'absence, l'Anglais Frank (Francis) Tyrrel revient en Écosse dans le vieux village de Saint-Ronan. Il prend pension à l'auberge. Non loin de là, on a prêté des vertus médicinales à une source, au point de faire naître un second village, « le nouveau Saint-Ronan », où végète une société d'oisifs. Apprenant que Frank est dessinateur, les précieux de l'endroit l'invitent à dîner à l'hôtel du nouveau village. Frank n'y trouve qu'« une réunion de brutes et de fous », et un incident l'y oppose à l'imbécile sir Bingo.
Le jeune homme est surtout préoccupé de revoir Clara, la sœur de John Mowbray, laird de Saint-Ronan. Il réussit à lui parler. Ils se sont connus sept ans plus tôt, et tentent d'oublier une passion sans issue. Frank découvre avec surprise que l'esprit de Clara est par moments dérangé.
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait :
Parmi les contrées de l’Europe, aucune peut-être, pendant le demi-siècle qui vient de s’écouler, ne s’est accrue aussi rapidement que l’Écosse en richesse et en civilisation : et néanmoins les hiboux du sultan Mahmoud auraient encore trouvé dans la Calédonie, durant tout le cours de cette période brillante, plus d’un village ruiné à choisir pour leur douaire ou leur apanage. Des avantages accidentels ou locaux ont, en plus d’une occasion, déterminé les habitants des anciens hameaux à quitter les situations que leurs prédécesseurs avaient choisies dans l’intérêt de leur sécurité plutôt que de leur convenance ; et ils avaient transféré leur nouveau séjour dans des lieux propres au développement de leur industrie croissante et de leur commerce toujours plus étendu.
De là vient que les villes citées avec distinction dans l’histoire d’Écosse, et qui figurent dans l’excellente carte historique de David Macpherson, ne se distinguent plus maintenant des marais sauvages, si ce n’est par la verdure qui embellit le site qu’elles occupaient, ou tout au plus par quelques ruines éparses, semblables à des parcs de brebis, dernières traces d’une existence anéantie pour jamais...
Les Eaux de Saint-Ronan est un roman du poète et écrivain écossais Walter Scott (1771 – 1832).
Résumé :
Après sept années d'absence, l'Anglais Frank (Francis) Tyrrel revient en Écosse dans le vieux village de Saint-Ronan. Il prend pension à l'auberge. Non loin de là, on a prêté des vertus médicinales à une source, au point de faire naître un second village, « le nouveau Saint-Ronan », où végète une société d'oisifs. Apprenant que Frank est dessinateur, les précieux de l'endroit l'invitent à dîner à l'hôtel du nouveau village. Frank n'y trouve qu'« une réunion de brutes et de fous », et un incident l'y oppose à l'imbécile sir Bingo.
Le jeune homme est surtout préoccupé de revoir Clara, la sœur de John Mowbray, laird de Saint-Ronan. Il réussit à lui parler. Ils se sont connus sept ans plus tôt, et tentent d'oublier une passion sans issue. Frank découvre avec surprise que l'esprit de Clara est par moments dérangé.
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait :
Parmi les contrées de l’Europe, aucune peut-être, pendant le demi-siècle qui vient de s’écouler, ne s’est accrue aussi rapidement que l’Écosse en richesse et en civilisation : et néanmoins les hiboux du sultan Mahmoud auraient encore trouvé dans la Calédonie, durant tout le cours de cette période brillante, plus d’un village ruiné à choisir pour leur douaire ou leur apanage. Des avantages accidentels ou locaux ont, en plus d’une occasion, déterminé les habitants des anciens hameaux à quitter les situations que leurs prédécesseurs avaient choisies dans l’intérêt de leur sécurité plutôt que de leur convenance ; et ils avaient transféré leur nouveau séjour dans des lieux propres au développement de leur industrie croissante et de leur commerce toujours plus étendu.
De là vient que les villes citées avec distinction dans l’histoire d’Écosse, et qui figurent dans l’excellente carte historique de David Macpherson, ne se distinguent plus maintenant des marais sauvages, si ce n’est par la verdure qui embellit le site qu’elles occupaient, ou tout au plus par quelques ruines éparses, semblables à des parcs de brebis, dernières traces d’une existence anéantie pour jamais...