Author: | Stéphane Boudy | ISBN: | 9782366820300 |
Publisher: | Editions Gunten | Publication: | August 19, 2013 |
Imprint: | Editions Gunten | Language: | French |
Author: | Stéphane Boudy |
ISBN: | 9782366820300 |
Publisher: | Editions Gunten |
Publication: | August 19, 2013 |
Imprint: | Editions Gunten |
Language: | French |
Dans ce... roman « Les appartements d’Indochine » Stéphane Boudy raconte pourquoi et surtout comment il se lance dans l’acquisition de plusieurs appartements dans le but de les relouer.
Visites immobilières, balades rue des banques au cours desquelles son esprit, lui, son âme même sont en Indochine, en guerre avec ses hommes, ses héros, ses victimes.
Improbables parallèles qui rendent ce récit insolite, vivant comme la vie, des « coq à l’âne », des situations cocasses, anodines, des songes, des souvenirs sur des phrases construites comme elle, Grand Magasin du bricolage, de la débrouille et avec au milieu de ce paysage connu, presque quotidien, presque banal, des sourires, des insolences, des hommages, champs de bataille, stèles...
Avec Stéphane on ne sait toujours pas ce qui est futile, ordinaire et on ne sait pas non plus si ce n’est pas cela le plus lourd.
On accepte son invitation sans réserve, on veut bien faire le passe-muraille, traverser les appartements d’Indochine, le temps, les mémoires et enfin comprendre ce qui sans doute ne veut pas rien dire.
Dans ce... roman « Les appartements d’Indochine » Stéphane Boudy raconte pourquoi et surtout comment il se lance dans l’acquisition de plusieurs appartements dans le but de les relouer.
Visites immobilières, balades rue des banques au cours desquelles son esprit, lui, son âme même sont en Indochine, en guerre avec ses hommes, ses héros, ses victimes.
Improbables parallèles qui rendent ce récit insolite, vivant comme la vie, des « coq à l’âne », des situations cocasses, anodines, des songes, des souvenirs sur des phrases construites comme elle, Grand Magasin du bricolage, de la débrouille et avec au milieu de ce paysage connu, presque quotidien, presque banal, des sourires, des insolences, des hommages, champs de bataille, stèles...
Avec Stéphane on ne sait toujours pas ce qui est futile, ordinaire et on ne sait pas non plus si ce n’est pas cela le plus lourd.
On accepte son invitation sans réserve, on veut bien faire le passe-muraille, traverser les appartements d’Indochine, le temps, les mémoires et enfin comprendre ce qui sans doute ne veut pas rien dire.