Author: | Corinne Morel | ISBN: | 1230000247528 |
Publisher: | Corinne Morel | Publication: | May 28, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Corinne Morel |
ISBN: | 1230000247528 |
Publisher: | Corinne Morel |
Publication: | May 28, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Justice française, la Grande Escroquerie
L’escroquerie démocratique, intellectuelle, morale et financière
Face à nos différences, l’égalité que la société nous promet, c’est l’égalité des droits. Cette égalité est non seulement une nécessité dans une société dite civilisée mais la garantie que, devant la loi, l’un ne vaut pas plus que l’autre. Seulement la promesse sur le papier ne résiste pas longtemps au pouvoir sans limites accordé au juge. Plus de lois républicaines. Plus de règles. Plus de vérité. Le pouvoir souverain du juge vient toujours, comme le chewing-gum sous la semelle, entraver les mesures qui visent à garantir les droits des citoyens français.
Les Révolutionnaires ne s’y sont pas trompés. S’ils ont aboli les privilèges, ce n’est pas sans raison. Le roi qui décidait tout à sa convenance, c’en était fini. Ils seraient effarés s’ils voyaient ce que la Société, qu’ils avaient pris grand soin de rappeler à ses obligations, grâce à l’énumération claire et précise des droits fondamentaux, est devenue. Une société où l’on fête le 14 juillet dans l’éclat des fanfares et des feux d’artifice mais où l’on oublie les valeurs républicaines. Une société où l’on on a remplacé le roi par le juge.
En prouvant l’impossibilité, face à l’aberration du système, de faire valoir ses droits, l’auteur établit un parallèle troublant entre l’État totalitaire décrit par George Orwell (doublepensée, novlangue, réécriture de l’histoire, flexibilité des faits) et l’institution judiciaire française.
Corinne Morel a créé l’association AU NOM DU PEUPLE pour défendre l’État de droit et l’égalité des droits.
Justice française, la Grande Escroquerie
L’escroquerie démocratique, intellectuelle, morale et financière
Face à nos différences, l’égalité que la société nous promet, c’est l’égalité des droits. Cette égalité est non seulement une nécessité dans une société dite civilisée mais la garantie que, devant la loi, l’un ne vaut pas plus que l’autre. Seulement la promesse sur le papier ne résiste pas longtemps au pouvoir sans limites accordé au juge. Plus de lois républicaines. Plus de règles. Plus de vérité. Le pouvoir souverain du juge vient toujours, comme le chewing-gum sous la semelle, entraver les mesures qui visent à garantir les droits des citoyens français.
Les Révolutionnaires ne s’y sont pas trompés. S’ils ont aboli les privilèges, ce n’est pas sans raison. Le roi qui décidait tout à sa convenance, c’en était fini. Ils seraient effarés s’ils voyaient ce que la Société, qu’ils avaient pris grand soin de rappeler à ses obligations, grâce à l’énumération claire et précise des droits fondamentaux, est devenue. Une société où l’on fête le 14 juillet dans l’éclat des fanfares et des feux d’artifice mais où l’on oublie les valeurs républicaines. Une société où l’on on a remplacé le roi par le juge.
En prouvant l’impossibilité, face à l’aberration du système, de faire valoir ses droits, l’auteur établit un parallèle troublant entre l’État totalitaire décrit par George Orwell (doublepensée, novlangue, réécriture de l’histoire, flexibilité des faits) et l’institution judiciaire française.
Corinne Morel a créé l’association AU NOM DU PEUPLE pour défendre l’État de droit et l’égalité des droits.