Le premier contact officiel de l’auteur avec l’Ordre Martiniste dirigé par Philippe Encausse date de 1960.
Sa première initiation maçonnique au sein de la Grande Loge de France remonte à mai 1973. Cyvard parle de ses vécus, et en son seul nom. Il ne saurait engager un quelconque système à partir de ses propos ou de ses écrits. Son orientation personnelle repose sur une spiritualité chrétienne. Son engagement utilise la pierre d’angle de la liberté de penser. Le verbe penser et non le nom commun pensée ! Il a utilisé les initiations reçues pour aplanir le chemin de ceux qui acceptent d’utiliser un ensemble de données : rites, rituels, ouvrages de référence. Son exigence se constitue autour de trois verbes : Chercher, Respecter, Partager. Éloigné des prétentions à l’humilité ou à la vanité, il démonte les idées et les croyances, il remonte les idéologies et les systèmes de pensée ou les religions en fonction de ses capacités à les comprendre. Il suppose que son chemin a été tracé sur le vent de la province d’Artois en France. Ce vent souffle où il veut et c’est à chacun de l’utiliser pour parcourir des espaces personnels intérieurs ou extérieurs. Au pied du mur, on voit le maçon. Au pied de la croix du Christ, on compte les martinistes ! Son Martinisme est celui d’un chrétien qui choisit pour maître Jésus. Son Maçonnisme accepte la multiplicité infinie des pensées jusqu’au point où ce qu’il représente n’est pas rejeté. Les deux voies sont-elles différentes, opposées, complémentaires ? L’ouvrage apporte une réponse toute personnelle, celle de Cyvard.
Le premier contact officiel de l’auteur avec l’Ordre Martiniste dirigé par Philippe Encausse date de 1960.
Sa première initiation maçonnique au sein de la Grande Loge de France remonte à mai 1973. Cyvard parle de ses vécus, et en son seul nom. Il ne saurait engager un quelconque système à partir de ses propos ou de ses écrits. Son orientation personnelle repose sur une spiritualité chrétienne. Son engagement utilise la pierre d’angle de la liberté de penser. Le verbe penser et non le nom commun pensée ! Il a utilisé les initiations reçues pour aplanir le chemin de ceux qui acceptent d’utiliser un ensemble de données : rites, rituels, ouvrages de référence. Son exigence se constitue autour de trois verbes : Chercher, Respecter, Partager. Éloigné des prétentions à l’humilité ou à la vanité, il démonte les idées et les croyances, il remonte les idéologies et les systèmes de pensée ou les religions en fonction de ses capacités à les comprendre. Il suppose que son chemin a été tracé sur le vent de la province d’Artois en France. Ce vent souffle où il veut et c’est à chacun de l’utiliser pour parcourir des espaces personnels intérieurs ou extérieurs. Au pied du mur, on voit le maçon. Au pied de la croix du Christ, on compte les martinistes ! Son Martinisme est celui d’un chrétien qui choisit pour maître Jésus. Son Maçonnisme accepte la multiplicité infinie des pensées jusqu’au point où ce qu’il représente n’est pas rejeté. Les deux voies sont-elles différentes, opposées, complémentaires ? L’ouvrage apporte une réponse toute personnelle, celle de Cyvard.