Author: | Hector Malot, Henri Lanos | ISBN: | 1230003273425 |
Publisher: | Paris Flammarion 1893 | Publication: | June 11, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Hector Malot, Henri Lanos |
ISBN: | 1230003273425 |
Publisher: | Paris Flammarion 1893 |
Publication: | June 11, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce roman narre le destin d’une jeune orpheline d’une douzaine d’années : Perrine, prénom emprunté par l’auteur à sa petite-fille. D’autre part, l’ouvrage retrace la vie et l’évolution d’un grand complexe industriel de la fin du xixe siècle : les usines Saint Frères de la vallée de la Nièvre, à Flixecourt dans la Somme.
Résumé
À la fin du xixe siècle, la jeune Perrine a entamé, avec ses parents, un voyage de l’Inde vers la France pour tenter d’atteindre Maraucourt, où réside le riche grand-père Vulfran Paindavoine, qui a rompu toute relation avec son fils Edmond du jour où celui-ci a épousé la future mère de Perrine, l’Anglo-Indienne Marie Doressany.
Le roman commence avec l’arrivée, après la mort d’Edmond, de Marie et de Perrine à Paris, épuisées et sans argent. Très rapidement, Marie, exténuée par le voyage, est à l’article de la mort. Avant de mourir, elle révèle à Perrine que le vieux Vulfran aurait certainement recueilli son fils Edmond, mais qu’il aurait sans doute rejeté sa belle-fille et sa petite-fille car le vieil homme, qui a toujours été contre le mariage de ses parents, a toujours refusé d’avoir des relations avec la jeune Perrine.
À la mort de sa mère, Perrine restée seule et sans argent, réussit à se rendre à pied à Maraucourt où son grand-père, le vieux Vulfran, riche industriel du textile, bourru et inflexible avec les humbles, continue à diriger son empire industriel, sans cesser d’attendre le retour de son fils bienaimé Edmond. Craignant d’être rejetée, Perrine ne s’identifie pas et commence à travailler, sous le faux nom d’Aurélie, comme ouvrière dans l’usine de son grand-père.
Malgré l’état d’extrême indigence auquel la réduit le maigre salaire qu’elle perçoit, la détermination, l’esprit d’initiative et la loyauté de la jeune fille la font vite remarquer par le vieux Vulfran qui, devenu aveugle à la suite d’une cataracte, la promeut au rang de première interprète et traductrice de l’anglais, langue que lui a appris sa mère, sans soupçonner qu’il s’agit de sa petite-fille. Celle-ci deviendra bientôt sa secrétaire personnelle.
Entretemps, le vieux Vulfran, qui poursuit ses recherches afin de retrouver son fils, finit par découvrir que son cher Edmond est mort, et tombe dans une grande dépression. Dans ces tristes moments, Perrine reste à ses côtés, en l’aidant à se remettre du terrible coup qu’il a reçu. Peu à peu, la jeune fille va conquérir l’affection de son grand-père, qui commence à soupçonner sa véritable identité. Après quelques investigations menées en secret, le grand-père découvre que la jeune fille qui l’a aidé dans ses moments de détresse et qu’il connait sous le nom d’« Aurélie » n’est autre que sa petite-fille, et finira par l’accueillir avec joie dans la famille. Par la suite, quand le grand-père aura retrouvé la vue après une opération de sa cataracte, il reconnaitra les traits de son fils perdu dans le visage de Perrine.
Ce roman narre le destin d’une jeune orpheline d’une douzaine d’années : Perrine, prénom emprunté par l’auteur à sa petite-fille. D’autre part, l’ouvrage retrace la vie et l’évolution d’un grand complexe industriel de la fin du xixe siècle : les usines Saint Frères de la vallée de la Nièvre, à Flixecourt dans la Somme.
Résumé
À la fin du xixe siècle, la jeune Perrine a entamé, avec ses parents, un voyage de l’Inde vers la France pour tenter d’atteindre Maraucourt, où réside le riche grand-père Vulfran Paindavoine, qui a rompu toute relation avec son fils Edmond du jour où celui-ci a épousé la future mère de Perrine, l’Anglo-Indienne Marie Doressany.
Le roman commence avec l’arrivée, après la mort d’Edmond, de Marie et de Perrine à Paris, épuisées et sans argent. Très rapidement, Marie, exténuée par le voyage, est à l’article de la mort. Avant de mourir, elle révèle à Perrine que le vieux Vulfran aurait certainement recueilli son fils Edmond, mais qu’il aurait sans doute rejeté sa belle-fille et sa petite-fille car le vieil homme, qui a toujours été contre le mariage de ses parents, a toujours refusé d’avoir des relations avec la jeune Perrine.
À la mort de sa mère, Perrine restée seule et sans argent, réussit à se rendre à pied à Maraucourt où son grand-père, le vieux Vulfran, riche industriel du textile, bourru et inflexible avec les humbles, continue à diriger son empire industriel, sans cesser d’attendre le retour de son fils bienaimé Edmond. Craignant d’être rejetée, Perrine ne s’identifie pas et commence à travailler, sous le faux nom d’Aurélie, comme ouvrière dans l’usine de son grand-père.
Malgré l’état d’extrême indigence auquel la réduit le maigre salaire qu’elle perçoit, la détermination, l’esprit d’initiative et la loyauté de la jeune fille la font vite remarquer par le vieux Vulfran qui, devenu aveugle à la suite d’une cataracte, la promeut au rang de première interprète et traductrice de l’anglais, langue que lui a appris sa mère, sans soupçonner qu’il s’agit de sa petite-fille. Celle-ci deviendra bientôt sa secrétaire personnelle.
Entretemps, le vieux Vulfran, qui poursuit ses recherches afin de retrouver son fils, finit par découvrir que son cher Edmond est mort, et tombe dans une grande dépression. Dans ces tristes moments, Perrine reste à ses côtés, en l’aidant à se remettre du terrible coup qu’il a reçu. Peu à peu, la jeune fille va conquérir l’affection de son grand-père, qui commence à soupçonner sa véritable identité. Après quelques investigations menées en secret, le grand-père découvre que la jeune fille qui l’a aidé dans ses moments de détresse et qu’il connait sous le nom d’« Aurélie » n’est autre que sa petite-fille, et finira par l’accueillir avec joie dans la famille. Par la suite, quand le grand-père aura retrouvé la vue après une opération de sa cataracte, il reconnaitra les traits de son fils perdu dans le visage de Perrine.