Author: | TACITE | ISBN: | 1230003196304 |
Publisher: | MS | Publication: | April 21, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | TACITE |
ISBN: | 1230003196304 |
Publisher: | MS |
Publication: | April 21, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce livre unique comprend la biographie de TACITE et une de ces oeuvres : "ANNALES (LIVRE I et II)"
Auteur : Tacite est un historien et sénateur romain né en 58 et mort vers 120 ap. J.-C.
Extrait : Touchés par ce discours, ils lui demandent grâce, et, reconnaissant la vérité de ses reproches, ils le conjurent de punir le crime, de pardonner à l’erreur, et de les mener à l’ennemi : "Que César rappelle son épouse ; que le nourrisson des légions revienne, et ne soit pas livré en otage aux Gaulois." Germanicus répondit que l’hiver et une grossesse trop avancée s’opposaient au retour d’Agrippine ; que son fils reviendrait ; que c’était aux soldats de faire le reste. À ces mots, devenus d’autres hommes, ils courent arrêter les plus séditieux, et les traînent enchaînés devant C. Cétronius, lieutenant de la première légion, qui en fit justice de cette manière. Les légions se tenaient, l’épée nue, autour du tribunal. On y plaçait le prévenu, et un tribun le montrait à l’assemblée.
Ce livre unique comprend la biographie de TACITE et une de ces oeuvres : "ANNALES (LIVRE I et II)"
Auteur : Tacite est un historien et sénateur romain né en 58 et mort vers 120 ap. J.-C.
Extrait : Touchés par ce discours, ils lui demandent grâce, et, reconnaissant la vérité de ses reproches, ils le conjurent de punir le crime, de pardonner à l’erreur, et de les mener à l’ennemi : "Que César rappelle son épouse ; que le nourrisson des légions revienne, et ne soit pas livré en otage aux Gaulois." Germanicus répondit que l’hiver et une grossesse trop avancée s’opposaient au retour d’Agrippine ; que son fils reviendrait ; que c’était aux soldats de faire le reste. À ces mots, devenus d’autres hommes, ils courent arrêter les plus séditieux, et les traînent enchaînés devant C. Cétronius, lieutenant de la première légion, qui en fit justice de cette manière. Les légions se tenaient, l’épée nue, autour du tribunal. On y plaçait le prévenu, et un tribun le montrait à l’assemblée.