Author: | Hugues Poissonnier, Olaf De Hemmer Gudme | ISBN: | 9782847694888 |
Publisher: | Éditions EMS | Publication: | April 9, 2013 |
Imprint: | Éditions EMS | Language: | French |
Author: | Hugues Poissonnier, Olaf De Hemmer Gudme |
ISBN: | 9782847694888 |
Publisher: | Éditions EMS |
Publication: | April 9, 2013 |
Imprint: | Éditions EMS |
Language: | French |
Jamais on n’a autant parlé de « valeurs » à propos de l’entreprise : « valeur travail », valeur pour l’actionnaire, valeurs éthiques de dirigeants, création de valeur, « Parce que vous le valez bien » ... La crise semble reposer la question du SENS de « tout çà » : consommer pour quoi ? Le profit pour quoi ? Travailler pour quoi ? Et pour qui : les actionnaires, les clients, les employés ... ? Sera-t-elle l’occasion de refonder les entreprises ? Comment faire ? [Préface de Joël de Rosnay]
Un nombre étonnant de démarches, nées indépendamment ces dernières années, visent à améliorer la performance des entreprises par une approche « Valeur ». Certaines ont révolutionné leur domaine d’application : Blue Ocean, Développement Durable et Responsabilité Sociétale d’Entreprise, Balanced ScoreCard, Business Analysis, Lean, analyse de la Valeur ...
Derrière les spécificités de chaque domaine d’application, un certain nombre de points communs semblent leur apporter leur spécificité et leur efficience : raisonnement « valeur », approche « système », importance donnée au sens et au dialogue.
Cette approche système, qui dépasse le raisonnement cartésien de la même façon que la relativité d’Einstein a dépassé la physique de Newton, est déjà à l’oeuvre dans certaines entreprises. La synergie entre ces démarches ouvre à coup sûr des espoirs considérables.
Rêvons d’une entreprise :
• dont la stratégie viserait à apporter plus de valeur à toutes ses parties prenantes (actionnaires, clients, employés, fournisseurs) tout en respectant l’environnement et étant utile à la société ;
• dont les produits et/ou services enthousiasmeraient les clients actuels et futurs, en valorisant les compétences des employés et les ressources de fournisseurs partenaires ;
• où chaque métier serait piloté selon des indicateurs de sa contribution à ces buts et à la réussite des autres métiers ;
• où les processus industriels et tertiaires ne produiraient que des outputs utiles à ces métiers et aux parties prenantes, appuyés par un système d’information et autres outils efficients ;
• où chacun atteindrait ses buts et objectifs en collaborant à ceux des autres, dans le respect des valeurs de tous.
Jamais on n’a autant parlé de « valeurs » à propos de l’entreprise : « valeur travail », valeur pour l’actionnaire, valeurs éthiques de dirigeants, création de valeur, « Parce que vous le valez bien » ... La crise semble reposer la question du SENS de « tout çà » : consommer pour quoi ? Le profit pour quoi ? Travailler pour quoi ? Et pour qui : les actionnaires, les clients, les employés ... ? Sera-t-elle l’occasion de refonder les entreprises ? Comment faire ? [Préface de Joël de Rosnay]
Un nombre étonnant de démarches, nées indépendamment ces dernières années, visent à améliorer la performance des entreprises par une approche « Valeur ». Certaines ont révolutionné leur domaine d’application : Blue Ocean, Développement Durable et Responsabilité Sociétale d’Entreprise, Balanced ScoreCard, Business Analysis, Lean, analyse de la Valeur ...
Derrière les spécificités de chaque domaine d’application, un certain nombre de points communs semblent leur apporter leur spécificité et leur efficience : raisonnement « valeur », approche « système », importance donnée au sens et au dialogue.
Cette approche système, qui dépasse le raisonnement cartésien de la même façon que la relativité d’Einstein a dépassé la physique de Newton, est déjà à l’oeuvre dans certaines entreprises. La synergie entre ces démarches ouvre à coup sûr des espoirs considérables.
Rêvons d’une entreprise :
• dont la stratégie viserait à apporter plus de valeur à toutes ses parties prenantes (actionnaires, clients, employés, fournisseurs) tout en respectant l’environnement et étant utile à la société ;
• dont les produits et/ou services enthousiasmeraient les clients actuels et futurs, en valorisant les compétences des employés et les ressources de fournisseurs partenaires ;
• où chaque métier serait piloté selon des indicateurs de sa contribution à ces buts et à la réussite des autres métiers ;
• où les processus industriels et tertiaires ne produiraient que des outputs utiles à ces métiers et aux parties prenantes, appuyés par un système d’information et autres outils efficients ;
• où chacun atteindrait ses buts et objectifs en collaborant à ceux des autres, dans le respect des valeurs de tous.