Author: | Gérard de Villiers | ISBN: | 9782259257084 |
Publisher: | Plon (réédition numérique FeniXX) | Publication: | January 1, 1986 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Gérard de Villiers |
ISBN: | 9782259257084 |
Publisher: | Plon (réédition numérique FeniXX) |
Publication: | January 1, 1986 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
La comtesse Alexandra, avant d'être la fiancée de Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge, a vécu. Elle a même fort bien vécu... Forte de son rang et de sa beauté, féminine, possessive et animale, goûtant avec avidité aux joies de la chair, dès son plus jeune âge. Avec une candeur frisant parfois la perversité. Elle révèle enfin ses aventures sensuelles et impertinentes, ses fantasmes brûlants et ses passions débridées. « Raphaël de Dolmandy me rendait folle. Je voulais enlever ma culotte. Il refusa, en me plaquant contre le mur. Mais sa main douce me réconcilia très vite avec lui. Elle était faite pour frôler, palper ma peau, la presser dans la seule finalité de me faire jouir. Cette longue caresse, chaude, émouvante, me liquéfia. J'avais envie de brusquerie, mais cette main continuait de jeter son blasphème sur mon sexe blond, étoilé de boucles mouillées. Elle continuait de faire vibrer en moi les plus divines images de sexualité un peu barbare, de contact physique sauvage. Cruelle, elle acheva de me condamner à la suprême des voluptés : la jouissance sans l'acte sexuel. »
La comtesse Alexandra, avant d'être la fiancée de Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge, a vécu. Elle a même fort bien vécu... Forte de son rang et de sa beauté, féminine, possessive et animale, goûtant avec avidité aux joies de la chair, dès son plus jeune âge. Avec une candeur frisant parfois la perversité. Elle révèle enfin ses aventures sensuelles et impertinentes, ses fantasmes brûlants et ses passions débridées. « Raphaël de Dolmandy me rendait folle. Je voulais enlever ma culotte. Il refusa, en me plaquant contre le mur. Mais sa main douce me réconcilia très vite avec lui. Elle était faite pour frôler, palper ma peau, la presser dans la seule finalité de me faire jouir. Cette longue caresse, chaude, émouvante, me liquéfia. J'avais envie de brusquerie, mais cette main continuait de jeter son blasphème sur mon sexe blond, étoilé de boucles mouillées. Elle continuait de faire vibrer en moi les plus divines images de sexualité un peu barbare, de contact physique sauvage. Cruelle, elle acheva de me condamner à la suprême des voluptés : la jouissance sans l'acte sexuel. »