Author: | Arthur Conan Doyle, Henry Evie | ISBN: | 1230002994499 |
Publisher: | Paris : E. Mignot, 1911 | Publication: | December 16, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Arthur Conan Doyle, Henry Evie |
ISBN: | 1230002994499 |
Publisher: | Paris : E. Mignot, 1911 |
Publication: | December 16, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
« La maison où j’espérais voir s’achever la guérison de ma femme n’était pas encore prête. […]. Nous dûmes louer une maison meublée à Haslemere, d’où nous nous transportâmes, au début de 1897, dans les Moorlands. Là, dans une pension de famille au-dessus de Hindhead, voisine de l’endroit où se bâtissait notre nouvelle demeure, nous passâmes quelques mois heureux et affairés. » Durant cette période, « je publiai, en 1898, Un Duo. Cette petite étude de la vie domestique, en partie imaginaire, en partie fondée sur des données personnelles ou sur les expériences de mes amis, fut cause que je me chamaillai publiquement avec un homme qui s’était signalé comme critique, le docteur Robertson Nicoll. Il blâma un passage du livre, en quoi il usait assurément de son droit, mais comme il écrivait sous différents noms dans six ou sept journaux, on eût dit que j’eusse encouru plusieurs condamnations, alors qu’en réalité il n’y en avait qu’une. » (Ma Vie aventureuse)
« Ce charmant conte change avec bonheur des habituels Sherlock Holmes. Dans la forme et le ton, il m’a fait beaucoup penser à « L’Importance d’être Constant » d’Oscar Wilde. Certes, Conan Doyle n’a pas tout à fait les dons et l’esprit de Wilde mais sa plume acérée n’a pas chômé quand il a écrit cette nouvelle. La trame de l’histoire et les dialogues de ces nouveaux mariés de l’époque victorienne sont bien souvent hilarants dans une parodie pas trop méchante des « histoires féminines » de la période. On y trouve, à plusieurs reprises, la philosophie de l’auteur sur les relations homme femmes. […] L’histoire vous fait aussi découvrir des aspects de Londres comme lorsque le couple visite l’abbaye de Westminster et les sites se rapportant à Samuel Pepys et Thomas Carlyle. (Un bon plan de Londres peut s’avérer utile.)
« La maison où j’espérais voir s’achever la guérison de ma femme n’était pas encore prête. […]. Nous dûmes louer une maison meublée à Haslemere, d’où nous nous transportâmes, au début de 1897, dans les Moorlands. Là, dans une pension de famille au-dessus de Hindhead, voisine de l’endroit où se bâtissait notre nouvelle demeure, nous passâmes quelques mois heureux et affairés. » Durant cette période, « je publiai, en 1898, Un Duo. Cette petite étude de la vie domestique, en partie imaginaire, en partie fondée sur des données personnelles ou sur les expériences de mes amis, fut cause que je me chamaillai publiquement avec un homme qui s’était signalé comme critique, le docteur Robertson Nicoll. Il blâma un passage du livre, en quoi il usait assurément de son droit, mais comme il écrivait sous différents noms dans six ou sept journaux, on eût dit que j’eusse encouru plusieurs condamnations, alors qu’en réalité il n’y en avait qu’une. » (Ma Vie aventureuse)
« Ce charmant conte change avec bonheur des habituels Sherlock Holmes. Dans la forme et le ton, il m’a fait beaucoup penser à « L’Importance d’être Constant » d’Oscar Wilde. Certes, Conan Doyle n’a pas tout à fait les dons et l’esprit de Wilde mais sa plume acérée n’a pas chômé quand il a écrit cette nouvelle. La trame de l’histoire et les dialogues de ces nouveaux mariés de l’époque victorienne sont bien souvent hilarants dans une parodie pas trop méchante des « histoires féminines » de la période. On y trouve, à plusieurs reprises, la philosophie de l’auteur sur les relations homme femmes. […] L’histoire vous fait aussi découvrir des aspects de Londres comme lorsque le couple visite l’abbaye de Westminster et les sites se rapportant à Samuel Pepys et Thomas Carlyle. (Un bon plan de Londres peut s’avérer utile.)