Author: | Arnould Galopin | ISBN: | 1230000243509 |
Publisher: | NA | Publication: | May 30, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Arnould Galopin |
ISBN: | 1230000243509 |
Publisher: | NA |
Publication: | May 30, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait: Nouvelle alerte
Ce repas dura près de deux heures, puis enfin le Cacique bredouilla quelques mots et les Indiens qui le servaient agitèrent des torches à l’entrée de la tente.
C’était le signal qu’attendaient les hommes et les femmes massés au dehors.
Aussitôt des cris, des hurlements se firent entendre. La fête continuait. Le Cacique se leva péniblement, soutenu par deux Indiens, et sortit de sa tente.
Il gagna de nouveau, en compagnie des aviateurs, le monticule où il se tenait précédemment et s’y assit.
Alors, il leva le bras droit, poussa un « aah ! », formidable et les danses commencèrent.
Il faut croire que les Indiens avaient, eux aussi, bu beaucoup de caña, car ils titubaient de façon ridicule. Plusieurs tombèrent sur le sol et ne se relevèrent plus. Cependant la musique les excitait de plus en plus... Femmes, hommes, enfants tourbillonnaient dans une mêlée folle, et cela dégénérait en cohue. Le Cacique qui ne semblait rien voir, avait entonné un chant lugubre qu’il scandait en agitant la tête d’avant en arrière.
Beaucaire lui parla, il le regarda avec
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait: Nouvelle alerte
Ce repas dura près de deux heures, puis enfin le Cacique bredouilla quelques mots et les Indiens qui le servaient agitèrent des torches à l’entrée de la tente.
C’était le signal qu’attendaient les hommes et les femmes massés au dehors.
Aussitôt des cris, des hurlements se firent entendre. La fête continuait. Le Cacique se leva péniblement, soutenu par deux Indiens, et sortit de sa tente.
Il gagna de nouveau, en compagnie des aviateurs, le monticule où il se tenait précédemment et s’y assit.
Alors, il leva le bras droit, poussa un « aah ! », formidable et les danses commencèrent.
Il faut croire que les Indiens avaient, eux aussi, bu beaucoup de caña, car ils titubaient de façon ridicule. Plusieurs tombèrent sur le sol et ne se relevèrent plus. Cependant la musique les excitait de plus en plus... Femmes, hommes, enfants tourbillonnaient dans une mêlée folle, et cela dégénérait en cohue. Le Cacique qui ne semblait rien voir, avait entonné un chant lugubre qu’il scandait en agitant la tête d’avant en arrière.
Beaucaire lui parla, il le regarda avec