Au cours des 78 années de son existence, la Sabena fut l’un des plus beaux symboles que la Belgique exportait quotidiennement aux quatre coins du monde.
A Kinshasa ou à Atlanta, c’est un sentiment de bien-être qui pénétrait le Belge montant à bord d’un des appareils à la cocarde bleue et blanche. Comme s’il avait déjà posé un pied à la maison, en feuilletant les journaux nationaux et en retrouvant l’accent bien de chez nous du personnel de cabine. La Sabena, on la critiquait et on l’encensait en même temps … mais on la pensait éternelle...
Et pourtant, le 7 novembre 2001, le Tribunal de Commerce de Bruxelles écrit le mot « fin » au bas du livre d’histoire de la compagnie. Dans notre pays, peu de faillites ont eu un tel retentissement et engendré de telles conséquences pour autant de personnes et de familles.
Au cours des 78 années de son existence, la Sabena fut l’un des plus beaux symboles que la Belgique exportait quotidiennement aux quatre coins du monde.
A Kinshasa ou à Atlanta, c’est un sentiment de bien-être qui pénétrait le Belge montant à bord d’un des appareils à la cocarde bleue et blanche. Comme s’il avait déjà posé un pied à la maison, en feuilletant les journaux nationaux et en retrouvant l’accent bien de chez nous du personnel de cabine. La Sabena, on la critiquait et on l’encensait en même temps … mais on la pensait éternelle...
Et pourtant, le 7 novembre 2001, le Tribunal de Commerce de Bruxelles écrit le mot « fin » au bas du livre d’histoire de la compagnie. Dans notre pays, peu de faillites ont eu un tel retentissement et engendré de telles conséquences pour autant de personnes et de familles.