Quand les effluves du bon vin ont l’odeur du crime…
Au « Château Moulin », figure emblématique du vignoble français, le corps du comte de La Valière, propriétaire récemment dépossédé par des affairistes, est retrouvé dans une cuve du vin prestigieux…
Le commandant Lecoanet, œnophile sensuel et gourmand, est appelé sur place pour, discrètement, élucider l’affaire. Mais rien n’est simple dans ce domaine légendaire. D’autant plus que nous sommes en plein salon Vinexpo, vitrine mondiale du vin et que les passions s’exacerbent entre “bio” et “conventionnels” pour le traitement d’une grave maladie de la vigne…
Lecoanet et sa divisionnaire préférée vont devoir faire preuve de beaucoup de diplomatie pour éviter une déflagration médiatique aux dégâts collatéraux insoupçonnés.
Une enquête policière qui nous entraine au cœur de l’œnologie tout en nous faisant frissonner !
EXTRAIT
La main tavelée du comte de La Valière fait jouer la crémone pour dégager l’espagnolette et ouvrir en grand cette fenêtre sur la vue de l’ancien moulin au milieu des vignes, en face, autour, partout. Le château émerge littéralement de son océan de vignes. Un brouillard très léger, persistant, issu du cours d’eau proche, rappelle à ceux qui l’oublient le climat si particulier de cette terre propice à la pourriture noble qu’engendrent précisément ces brumes récurrentes. « Ah ! pourriture noble… superbe oxymore ! quel terme antinomique en lui-même, quel désarroi dans l’œil du néophyte quand il l’entend pour la première fois », songe le comte dont le regard s’attarde sur ses employés (pour combien de temps encore ?) qui ont déjà investi les vignes pour rectifier le bon ordonnancement des rangs qui, c’est vrai, aurait presque pu laisser à désirer… mais la période floue est passée, le château retourne à ses certitudes. Du moins le comte essaie-t-il de s’en persuader.
A PROPOS DE L’AUTEUR
Dès ce premier volume de la série policière « La part des anges », Jean-Marc Carité, spécialiste du vin bio (naturellement !) depuis plus de 25 ans, observateur passionné, amusé (et parfois agacé) du monde du vin, nous fait pénétrer dans les secrets d’une profession où le rêve le dispute souvent au sordide.
Pourriture noble et vengeance tardive a été élu meilleur roman mondial sur le vin par les Gourmand Awards 2010.
Quand les effluves du bon vin ont l’odeur du crime…
Au « Château Moulin », figure emblématique du vignoble français, le corps du comte de La Valière, propriétaire récemment dépossédé par des affairistes, est retrouvé dans une cuve du vin prestigieux…
Le commandant Lecoanet, œnophile sensuel et gourmand, est appelé sur place pour, discrètement, élucider l’affaire. Mais rien n’est simple dans ce domaine légendaire. D’autant plus que nous sommes en plein salon Vinexpo, vitrine mondiale du vin et que les passions s’exacerbent entre “bio” et “conventionnels” pour le traitement d’une grave maladie de la vigne…
Lecoanet et sa divisionnaire préférée vont devoir faire preuve de beaucoup de diplomatie pour éviter une déflagration médiatique aux dégâts collatéraux insoupçonnés.
Une enquête policière qui nous entraine au cœur de l’œnologie tout en nous faisant frissonner !
EXTRAIT
La main tavelée du comte de La Valière fait jouer la crémone pour dégager l’espagnolette et ouvrir en grand cette fenêtre sur la vue de l’ancien moulin au milieu des vignes, en face, autour, partout. Le château émerge littéralement de son océan de vignes. Un brouillard très léger, persistant, issu du cours d’eau proche, rappelle à ceux qui l’oublient le climat si particulier de cette terre propice à la pourriture noble qu’engendrent précisément ces brumes récurrentes. « Ah ! pourriture noble… superbe oxymore ! quel terme antinomique en lui-même, quel désarroi dans l’œil du néophyte quand il l’entend pour la première fois », songe le comte dont le regard s’attarde sur ses employés (pour combien de temps encore ?) qui ont déjà investi les vignes pour rectifier le bon ordonnancement des rangs qui, c’est vrai, aurait presque pu laisser à désirer… mais la période floue est passée, le château retourne à ses certitudes. Du moins le comte essaie-t-il de s’en persuader.
A PROPOS DE L’AUTEUR
Dès ce premier volume de la série policière « La part des anges », Jean-Marc Carité, spécialiste du vin bio (naturellement !) depuis plus de 25 ans, observateur passionné, amusé (et parfois agacé) du monde du vin, nous fait pénétrer dans les secrets d’une profession où le rêve le dispute souvent au sordide.
Pourriture noble et vengeance tardive a été élu meilleur roman mondial sur le vin par les Gourmand Awards 2010.