Author: | Jules FOURNIER | ISBN: | 1230000508575 |
Publisher: | Madame Jules Fournier | Publication: | June 23, 2015 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jules FOURNIER |
ISBN: | 1230000508575 |
Publisher: | Madame Jules Fournier |
Publication: | June 23, 2015 |
Imprint: | |
Language: | French |
A propos de l'auteur : Homme de lettres Canadien (journaliste), essayiste, propriétaire de journal et traducteur né en 1884 Courriériste parlementaire et rédacteur politique (1904-1908), puis directeur (1908-1910) du journal Le Canada. Correspondant du journal La Patrie en Europe (1910-1911). Fondateur et directeur de l'hebdomadaire L'Action (1911-1916). Traducteur au Sénat (1917-1918). Fait paraître à la une du Nationaliste sous le titre La Prostitution de la justice un article qui disait des juges François-Xavier Lemieux et François Langelier : «Ils ont apporté sur le banc, avec leur étroitesse de vues et leurs prétentions, toutes leurs vieilles passions politiques» ; il est condamné à 3 mois de prison pour mépris de cour par le juge François Langelier le 12 juin 1909. Décès en 1918.
A propos du livre : Asselin et Mme Fournier font paraître à titre posthume en 1922 "Mon encrier", recueil en deux volumes des articles politiques et littéraires de ce journaliste à la jonction de l’éditorial et de la chronique, de la polémique et de l’essai. Les comptes rendus sévères, ironiques, de Jules Fournier tranchent sur la critique lénifiante de l’époque. Ses portraits (Honoré Mercier, sir Wilfrid Laurier, Henri Bourassa, par exemple) et caricatures (sir Adolphe-Basile Routhier, entre autres), ses « Impressions de traversée », ses interviews, ses « lettres ouvertes », ses fables, paraboles, parodies ou satires sont d’un écrivain. En hommage à ce talent littéraire, le Conseil de la langue française a créé en 1980 le prix Jules-Fournier, décerné annuellement à un journaliste pour la qualité de son écriture.
« Mon encrier », est un de ses articles les plus célèbres, publié en première page du premier numéro du Devoir. Le texte débute ainsi :
« C'est un bel encrier tout flambant neuf, rempli jusqu'au bord de bonne encre fraîche et claire. Oh ! Le merveilleux liquide ! Comme il fera d'agréables éclaboussures sur de certains visages ! » — Jules Fournier, Le Devoir, 10 janvier 1910.
A propos de l'auteur : Homme de lettres Canadien (journaliste), essayiste, propriétaire de journal et traducteur né en 1884 Courriériste parlementaire et rédacteur politique (1904-1908), puis directeur (1908-1910) du journal Le Canada. Correspondant du journal La Patrie en Europe (1910-1911). Fondateur et directeur de l'hebdomadaire L'Action (1911-1916). Traducteur au Sénat (1917-1918). Fait paraître à la une du Nationaliste sous le titre La Prostitution de la justice un article qui disait des juges François-Xavier Lemieux et François Langelier : «Ils ont apporté sur le banc, avec leur étroitesse de vues et leurs prétentions, toutes leurs vieilles passions politiques» ; il est condamné à 3 mois de prison pour mépris de cour par le juge François Langelier le 12 juin 1909. Décès en 1918.
A propos du livre : Asselin et Mme Fournier font paraître à titre posthume en 1922 "Mon encrier", recueil en deux volumes des articles politiques et littéraires de ce journaliste à la jonction de l’éditorial et de la chronique, de la polémique et de l’essai. Les comptes rendus sévères, ironiques, de Jules Fournier tranchent sur la critique lénifiante de l’époque. Ses portraits (Honoré Mercier, sir Wilfrid Laurier, Henri Bourassa, par exemple) et caricatures (sir Adolphe-Basile Routhier, entre autres), ses « Impressions de traversée », ses interviews, ses « lettres ouvertes », ses fables, paraboles, parodies ou satires sont d’un écrivain. En hommage à ce talent littéraire, le Conseil de la langue française a créé en 1980 le prix Jules-Fournier, décerné annuellement à un journaliste pour la qualité de son écriture.
« Mon encrier », est un de ses articles les plus célèbres, publié en première page du premier numéro du Devoir. Le texte débute ainsi :
« C'est un bel encrier tout flambant neuf, rempli jusqu'au bord de bonne encre fraîche et claire. Oh ! Le merveilleux liquide ! Comme il fera d'agréables éclaboussures sur de certains visages ! » — Jules Fournier, Le Devoir, 10 janvier 1910.