Author: | Henry Maurec, Marguerite Audoux | ISBN: | 1230002999418 |
Publisher: | RHC Editions | Publication: | December 20, 2018 |
Imprint: | Language: | English |
Author: | Henry Maurec, Marguerite Audoux |
ISBN: | 1230002999418 |
Publisher: | RHC Editions |
Publication: | December 20, 2018 |
Imprint: | |
Language: | English |
Marguerite Audoux est née le 7 juillet 1863 à Sancoins (Cher) et morte le 31 janvier 1937 à Saint-Raphaël (Var). De son vrai nom Marguerite Donquichote, à l’âge de trois ans, elle perd sa mère, et son père abandonne ses filles. Marguerite et Madeleine (l’aînée), d’abord confiées à une tante, passent neuf années à l’orphelinat, puis elle est placée, en tant que bergère et servante de ferme, en Sologne à Sainte-Montaine. L’orpheline s'établit ensuite à Paris, où elle vit des années noires en exerçant le métier de couturière. Le chômage la contraint de faire d’autres travaux pénibles, à la Cartoucherie de Vincennes et dans la buanderie de l’Hôpital Laennec. Pendant ces années de misère, en 1883, elle a un enfant qui ne survit pas, et dont l'accouchement pénible lui vaut une stérilité définitive.
Octave Mirbeau, auteur du Journal d’une femme de chambre lit le manuscrit de Marie-Claire et le fait publier. En 1910, le roman reçoit le Prix Femina Il existe un prix Marguerite-Audoux, ainsi qu'un prix Marguerite-Audoux des collèges que décernent les collégiens du Cher, à l'instar des membres du jury du prix national, à un ouvrage de littérature de jeunesse récemment publié et dont le thème ou l'univers rejoignent ceux de Marguerite Audoux.
Marguerite Audoux est née le 7 juillet 1863 à Sancoins (Cher) et morte le 31 janvier 1937 à Saint-Raphaël (Var). De son vrai nom Marguerite Donquichote, à l’âge de trois ans, elle perd sa mère, et son père abandonne ses filles. Marguerite et Madeleine (l’aînée), d’abord confiées à une tante, passent neuf années à l’orphelinat, puis elle est placée, en tant que bergère et servante de ferme, en Sologne à Sainte-Montaine. L’orpheline s'établit ensuite à Paris, où elle vit des années noires en exerçant le métier de couturière. Le chômage la contraint de faire d’autres travaux pénibles, à la Cartoucherie de Vincennes et dans la buanderie de l’Hôpital Laennec. Pendant ces années de misère, en 1883, elle a un enfant qui ne survit pas, et dont l'accouchement pénible lui vaut une stérilité définitive.
Octave Mirbeau, auteur du Journal d’une femme de chambre lit le manuscrit de Marie-Claire et le fait publier. En 1910, le roman reçoit le Prix Femina Il existe un prix Marguerite-Audoux, ainsi qu'un prix Marguerite-Audoux des collèges que décernent les collégiens du Cher, à l'instar des membres du jury du prix national, à un ouvrage de littérature de jeunesse récemment publié et dont le thème ou l'univers rejoignent ceux de Marguerite Audoux.