Que font les francs-maçons en Loge ? La question paraît simple aux frères et aux sœurs, quoique…
D’aucuns parmi eux avanceront que les maçons se rencontrent entre équerre et compas, deux symboles connus, pour travailler à leur progrès intérieur et « extérieur », et à celui de l’Humanité, ce qui, on en conviendra, s’annonce pour le moins ardu et peut signifier beaucoup, même au risque de vouloir exprimer trop, mal ou trop peu, avec les dérapages collatéraux d’une compréhension édulcorée ou carrément erronée.
D’autres prétendront, et à juste titre, travailler à tailler leur « pierre brute » et œuvrer à la gloire du Grand Architecte de l’Univers, ce qui convoque une perception encore plus malaisée pour tel ou telle qui n’en serait pas…
Il en est même qui voient la participation aux réunions maçonniques comme une thérapie de groupe ou des rassemblements osmotiques voire transcendantaux.
En fait, il y a un peu de tout cela et ce que font les frères ou les sœurs en Loge procède d’une élévation teintée à forte dose d’une fraternité constructive, qu’elle soit spirituelle ou sociétale à des degrés divers et peut-être même les deux à la fois ; rien de complotiste en cela ; l’auteur expose également ce que n’est pas la franc-maçonnerie et comment on peut l’approcher en vue d’espérer y être coopté franc-maçon.
Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur ce que font les maçons en Loge.
Il n’est pas question ici de dévoiler des rituels, d’abord parce que ce n’est pas l’objet, mais aussi parce que la maçonnerie est une école moderne de sagesse initiatique, de sorte que ceux et celles qui n’en sont pas membres peuvent effectuer des démarches pour solliciter le devenir. Être initié n’est pas un droit, mais le demander est légitime pour qui est libre, probe et de bonnes mœurs.
Un ouvrage qui se donne pour ambition d’ouvrir une fenêtre sur les sujets traités en Loge.
EXTRAIT
N’importe qui peut souhaiter entrer en maçonnerie, pour autant qu’il s’agisse d’une personne honnête, voire probe, et de bonnes mœurs, qui dispose de l’intelligence pour comprendre l’initium, du temps pour s’y investir à son rythme et selon ses capacités, et dont il apparaît de manière rassurante qu’elle est sincère, qu’elle n’adhère pas à une quelconque organisation sectaire ou liberticide et ne la soutient pas.
Cela signifie aujourd’hui que, dans la plupart des Loges dans le monde, des personnes de tous milieux sociaux peuvent approcher la maçonnerie, bien qu’il soit dû à la vérité de reconnaître que les personnes de milieux sociaux plus aisés bénéficient de plus d’opportunités de rencontres que les personnes qui ne sont pas en contact avec des francs-maçons « au quotidien » en quelque sorte, encore que par l’Internet ou via une démarche personnelle, toute personne puisse « frapper à la porte du temple ».
À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Liénard, maçon au 33e degré, est avocat international.
Que font les francs-maçons en Loge ? La question paraît simple aux frères et aux sœurs, quoique…
D’aucuns parmi eux avanceront que les maçons se rencontrent entre équerre et compas, deux symboles connus, pour travailler à leur progrès intérieur et « extérieur », et à celui de l’Humanité, ce qui, on en conviendra, s’annonce pour le moins ardu et peut signifier beaucoup, même au risque de vouloir exprimer trop, mal ou trop peu, avec les dérapages collatéraux d’une compréhension édulcorée ou carrément erronée.
D’autres prétendront, et à juste titre, travailler à tailler leur « pierre brute » et œuvrer à la gloire du Grand Architecte de l’Univers, ce qui convoque une perception encore plus malaisée pour tel ou telle qui n’en serait pas…
Il en est même qui voient la participation aux réunions maçonniques comme une thérapie de groupe ou des rassemblements osmotiques voire transcendantaux.
En fait, il y a un peu de tout cela et ce que font les frères ou les sœurs en Loge procède d’une élévation teintée à forte dose d’une fraternité constructive, qu’elle soit spirituelle ou sociétale à des degrés divers et peut-être même les deux à la fois ; rien de complotiste en cela ; l’auteur expose également ce que n’est pas la franc-maçonnerie et comment on peut l’approcher en vue d’espérer y être coopté franc-maçon.
Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur ce que font les maçons en Loge.
Il n’est pas question ici de dévoiler des rituels, d’abord parce que ce n’est pas l’objet, mais aussi parce que la maçonnerie est une école moderne de sagesse initiatique, de sorte que ceux et celles qui n’en sont pas membres peuvent effectuer des démarches pour solliciter le devenir. Être initié n’est pas un droit, mais le demander est légitime pour qui est libre, probe et de bonnes mœurs.
Un ouvrage qui se donne pour ambition d’ouvrir une fenêtre sur les sujets traités en Loge.
EXTRAIT
N’importe qui peut souhaiter entrer en maçonnerie, pour autant qu’il s’agisse d’une personne honnête, voire probe, et de bonnes mœurs, qui dispose de l’intelligence pour comprendre l’initium, du temps pour s’y investir à son rythme et selon ses capacités, et dont il apparaît de manière rassurante qu’elle est sincère, qu’elle n’adhère pas à une quelconque organisation sectaire ou liberticide et ne la soutient pas.
Cela signifie aujourd’hui que, dans la plupart des Loges dans le monde, des personnes de tous milieux sociaux peuvent approcher la maçonnerie, bien qu’il soit dû à la vérité de reconnaître que les personnes de milieux sociaux plus aisés bénéficient de plus d’opportunités de rencontres que les personnes qui ne sont pas en contact avec des francs-maçons « au quotidien » en quelque sorte, encore que par l’Internet ou via une démarche personnelle, toute personne puisse « frapper à la porte du temple ».
À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Liénard, maçon au 33e degré, est avocat international.