Author: | Guy Verdot | ISBN: | 9782259275361 |
Publisher: | (Plon) réédition numérique FeniXX | Publication: | January 1, 1965 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Guy Verdot |
ISBN: | 9782259275361 |
Publisher: | (Plon) réédition numérique FeniXX |
Publication: | January 1, 1965 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
Après le Journal d’un mort vivant (qui fut proclamé hors-concours du Prix Vérité), voici Les Vrais Malades. Et après la chirurgie cérébrale, voici la chirurgie des cœurs ! Ce roman de Guy Verdot situe son héros dans un hôpital psychiatrique. Séjour punitif, sanction d’une deuxième tentative de suicide, d’une hantise dédiée à un personnage que l’on ne verra jamais... Au lecteur de constater que, s’il y a là une idée fixe, elle provient d’un élan profond — si profond que, pour le dissiper, il faudra un coup de bistouri : la révélation d’une cruelle vérité policière. Cependant l’anecdote ne fait que faufiler un tissu d’observations. C’est une sorte d’enquête qui nous est livrée sur un type de malades qui hélas sont de plus en plus nombreux. En somme, tout se passe comme si celui qui dit « Je » était devenu, au sortir de ses épreuves personnelles, un reporter sentimental.
Après le Journal d’un mort vivant (qui fut proclamé hors-concours du Prix Vérité), voici Les Vrais Malades. Et après la chirurgie cérébrale, voici la chirurgie des cœurs ! Ce roman de Guy Verdot situe son héros dans un hôpital psychiatrique. Séjour punitif, sanction d’une deuxième tentative de suicide, d’une hantise dédiée à un personnage que l’on ne verra jamais... Au lecteur de constater que, s’il y a là une idée fixe, elle provient d’un élan profond — si profond que, pour le dissiper, il faudra un coup de bistouri : la révélation d’une cruelle vérité policière. Cependant l’anecdote ne fait que faufiler un tissu d’observations. C’est une sorte d’enquête qui nous est livrée sur un type de malades qui hélas sont de plus en plus nombreux. En somme, tout se passe comme si celui qui dit « Je » était devenu, au sortir de ses épreuves personnelles, un reporter sentimental.