Author: | Yvon Chotard | ISBN: | 9782702174869 |
Publisher: | Calmann-Lévy (réédition numérique FeniXX) | Publication: | December 31, 1985 |
Imprint: | Calmann-Lévy (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Yvon Chotard |
ISBN: | 9782702174869 |
Publisher: | Calmann-Lévy (réédition numérique FeniXX) |
Publication: | December 31, 1985 |
Imprint: | Calmann-Lévy (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
Le 17 mars 1986, la démission d'Yvon Chotard de la présidence de la Commission sociale du C.N.P.F. a surpris tout le monde. Toutefois, il était clair pour chacun que ce geste n'était pas un abandon de poste, mais bel et bien un nouvel engagement. C'est à vingt-quatre ans, au sortir de la guerre et de la Résistance, qu'Yvon Chotard crée son entreprise, les Éditions France-Empire. Puis, très vite, il multiplie ses activités : en 1952, il fonde la Jeune Chambre économique française, qu'il préside jusqu'en 1956 ; de 1965 à 1970, il est à la tête du Centre chrétien des patrons et dirigeants d'entreprise français ; depuis 1964, il siège au Conseil économique et social, où il préside le Groupe des chefs d'entreprises privées depuis 1981. En 1969, il crée sa seconde maison d'édition, Chotard et associés Éditeurs, dont la vocation première est de servir la gestion des entreprises. Il poursuit dès lors son engagement professionnel à la tête du Syndicat national de l'édition, ainsi que du Cercle de la librairie. En 1971, il est appelé à la présidence de la Commission enseignement-formation du C.N.P.F. Un an plus tard, il est président de la Commission sociale et vice-président de l'organisation patronale. Pour ce père de huit enfants, fidèle à la doctrine sociale de l'Église, débute un long parcours, où il s'affirme un négociateur social hors pair. En quatorze ans, il a su conquérir l'estime des syndicats, et imposer sa personnalité au public : redoutable partenaire, qui sait garder son calme pour laisser, à point nommé, éclater une terrible colère. Dans ce livre, Yvon Chotard s'explique sur son action, et expose les diverses conceptions de l'organisation patronale. Refusant la stérilité des polémiques, il garde les yeux fixés sur l'avenir du C.N.P.F. et son rôle dans la nation : C'est sur ce terrain, conclut-il, que doit se situer la discussion. J'ai tenu à apporter le fruit de mes réflexions. Je suis prêt au débat.
Le 17 mars 1986, la démission d'Yvon Chotard de la présidence de la Commission sociale du C.N.P.F. a surpris tout le monde. Toutefois, il était clair pour chacun que ce geste n'était pas un abandon de poste, mais bel et bien un nouvel engagement. C'est à vingt-quatre ans, au sortir de la guerre et de la Résistance, qu'Yvon Chotard crée son entreprise, les Éditions France-Empire. Puis, très vite, il multiplie ses activités : en 1952, il fonde la Jeune Chambre économique française, qu'il préside jusqu'en 1956 ; de 1965 à 1970, il est à la tête du Centre chrétien des patrons et dirigeants d'entreprise français ; depuis 1964, il siège au Conseil économique et social, où il préside le Groupe des chefs d'entreprises privées depuis 1981. En 1969, il crée sa seconde maison d'édition, Chotard et associés Éditeurs, dont la vocation première est de servir la gestion des entreprises. Il poursuit dès lors son engagement professionnel à la tête du Syndicat national de l'édition, ainsi que du Cercle de la librairie. En 1971, il est appelé à la présidence de la Commission enseignement-formation du C.N.P.F. Un an plus tard, il est président de la Commission sociale et vice-président de l'organisation patronale. Pour ce père de huit enfants, fidèle à la doctrine sociale de l'Église, débute un long parcours, où il s'affirme un négociateur social hors pair. En quatorze ans, il a su conquérir l'estime des syndicats, et imposer sa personnalité au public : redoutable partenaire, qui sait garder son calme pour laisser, à point nommé, éclater une terrible colère. Dans ce livre, Yvon Chotard s'explique sur son action, et expose les diverses conceptions de l'organisation patronale. Refusant la stérilité des polémiques, il garde les yeux fixés sur l'avenir du C.N.P.F. et son rôle dans la nation : C'est sur ce terrain, conclut-il, que doit se situer la discussion. J'ai tenu à apporter le fruit de mes réflexions. Je suis prêt au débat.