Author: | Gaelle Kermen | ISBN: | 9781458115683 |
Publisher: | Gaelle Kermen | Publication: | February 24, 2011 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | Gaelle Kermen |
ISBN: | 9781458115683 |
Publisher: | Gaelle Kermen |
Publication: | February 24, 2011 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
Ebook de 188 pages en langue française, publié en 2011 chez Smashword, Inc. CA, USA
Journal de jeunesse, écrit en 1969
Lieux traversés
Nantes, Saint-Leu-la-forêt, Paris : île Saint-Louis, boulevard Poissonnière, Bois de Vincennes : fac Paris-8, boutique Louis Féraud, quartier latin, rue Visconti, rue Guisarde, cafés : le Balzar, le Buci, le Ramsès, la Coupole
Célébrités rencontrées
Casamayor, juriste écrivain, chroniqueur judiciaire, 1911-1988
Bernard Lambert, 1932-2004, paysan, militant PSU, auteur des Paysans dans la lutte des classes
Mireille Mathieu, 1946, chanteuse populaire
Amitiés et amours
Hélène, Elise, Christine, Petrus, Kiki, rencontrés dans les livrels précédents, de nouveaux connus à la fac de Vincennes
Amour platonique : souvenir de Brendan
Amants dans les milieux de la mode, du design, de la fac
Oeuvres littéraires découvertes :
Malcolm Lowry, Au-dessous du Volcan, lu en été 69
Anaïs Nin, Journal, débuté fin novembre 69
Agenda écrit au quotidien, avec des périodes sans note, parfois comblées par celles des carnets de voyage. Ecriture libre sans ponctuation ni majuscule, conforme au manuscrit d'origine.
Charnière entre les années 60 et les années 70, vues par une étudiante parisienne d'avant-garde.
Les Maquisards du Bois de Vincennes
ou la révolution en chambre
Le titre est dû à une réflexion de Jean-Claude Rabinovitch au Comité d'Occupation de la Sorbonne, en mai 68, sur l'activité des personnages apparus au précédent livrel. A la rentrée de septembre 68, le ministre de l'Education Nationale, Edgar Faure, donne une belle vitrine aux étudiants en créant le Centre Expérimental Universitaire de Vincennes, qui deviendra Paris 8. En effet, à partir de janvier 69, le maquis se prend au Bois de Vincennes.
Le livrel #04 de mes cahiers d'écriture se situe pendant l'année 69, première année de la Fac de Vincennes. Je quitte alors Nantes la Rouge pour expérimenter une Université plus moderne qu'Assas ou la Sorbonne, avec d'autres méthodes de travail en dynamique de groupe.
Je parle des gens importants de ma vie : Casamayor, mon professeur de droit en libertés publiques, chroniqueur judiciaire, ou Bernard Lambert, paysan révolutionnaire de Loire-Atlantique, militant au PSU. J'apporte ainsi une documentation historique de dimension humaine à quelques personnages connus, que j'ai estimés et admirés.
Pour les personnes privées, dont j'ai croisé la vie un temps, je les croque, au sens propre comme figuré, toujours avec tendresse et amitié. Parfois par confidentialité pour les vivants, je change leur prénom. Quelquefois cela m'est impossible, tant le prénom et la personne sont emblématiques, comme petrus, brice ou kiki.
Si vous êtes concerné(e) et que cela vous gêne, n'hésitez pas à me contacter. Je peux encore romancer ce qui se voulait au départ un simple journal de vie, mais devient une oeuvre littéraire et un document sociologique sur les années 60.
Le livrel commence par une lettre écrite après ma tentative de suicide du 22 mars 1968, je pèse 38 kilos. A la fin des Maquisards du Bois de Vincennes, je prends des notes sur l'expérience de la grève de la faim faite à la fac, pour les Bourses universitaires, je pèse 39 kilos.
Après mon amant révolutionnaire du Soleil dans L'oeil, j'ai plusieurs amants dans les milieux de la mode, du design ou de la fac, en liberté des corps et des coeurs. Mais au milieu des expériences amoureuses, j'ai besoin de partir à la recherche de Brendan, l'anti-héros d'Aquamarine 67 et du Soleil dans l'Oeil.
L'écriture se fait toujours entre le quotidien et les réminiscences d'événements ou personnages déjà apparus dans les précédents livrels. Une écriture qui coule comme le temps passe. Parfois lentement. Parfois très vite. Comme la vie en 69, année érotique.
Gaelle Kermen,
Kerantorec, 24 février 2011
Ebook de 188 pages en langue française, publié en 2011 chez Smashword, Inc. CA, USA
Journal de jeunesse, écrit en 1969
Lieux traversés
Nantes, Saint-Leu-la-forêt, Paris : île Saint-Louis, boulevard Poissonnière, Bois de Vincennes : fac Paris-8, boutique Louis Féraud, quartier latin, rue Visconti, rue Guisarde, cafés : le Balzar, le Buci, le Ramsès, la Coupole
Célébrités rencontrées
Casamayor, juriste écrivain, chroniqueur judiciaire, 1911-1988
Bernard Lambert, 1932-2004, paysan, militant PSU, auteur des Paysans dans la lutte des classes
Mireille Mathieu, 1946, chanteuse populaire
Amitiés et amours
Hélène, Elise, Christine, Petrus, Kiki, rencontrés dans les livrels précédents, de nouveaux connus à la fac de Vincennes
Amour platonique : souvenir de Brendan
Amants dans les milieux de la mode, du design, de la fac
Oeuvres littéraires découvertes :
Malcolm Lowry, Au-dessous du Volcan, lu en été 69
Anaïs Nin, Journal, débuté fin novembre 69
Agenda écrit au quotidien, avec des périodes sans note, parfois comblées par celles des carnets de voyage. Ecriture libre sans ponctuation ni majuscule, conforme au manuscrit d'origine.
Charnière entre les années 60 et les années 70, vues par une étudiante parisienne d'avant-garde.
Les Maquisards du Bois de Vincennes
ou la révolution en chambre
Le titre est dû à une réflexion de Jean-Claude Rabinovitch au Comité d'Occupation de la Sorbonne, en mai 68, sur l'activité des personnages apparus au précédent livrel. A la rentrée de septembre 68, le ministre de l'Education Nationale, Edgar Faure, donne une belle vitrine aux étudiants en créant le Centre Expérimental Universitaire de Vincennes, qui deviendra Paris 8. En effet, à partir de janvier 69, le maquis se prend au Bois de Vincennes.
Le livrel #04 de mes cahiers d'écriture se situe pendant l'année 69, première année de la Fac de Vincennes. Je quitte alors Nantes la Rouge pour expérimenter une Université plus moderne qu'Assas ou la Sorbonne, avec d'autres méthodes de travail en dynamique de groupe.
Je parle des gens importants de ma vie : Casamayor, mon professeur de droit en libertés publiques, chroniqueur judiciaire, ou Bernard Lambert, paysan révolutionnaire de Loire-Atlantique, militant au PSU. J'apporte ainsi une documentation historique de dimension humaine à quelques personnages connus, que j'ai estimés et admirés.
Pour les personnes privées, dont j'ai croisé la vie un temps, je les croque, au sens propre comme figuré, toujours avec tendresse et amitié. Parfois par confidentialité pour les vivants, je change leur prénom. Quelquefois cela m'est impossible, tant le prénom et la personne sont emblématiques, comme petrus, brice ou kiki.
Si vous êtes concerné(e) et que cela vous gêne, n'hésitez pas à me contacter. Je peux encore romancer ce qui se voulait au départ un simple journal de vie, mais devient une oeuvre littéraire et un document sociologique sur les années 60.
Le livrel commence par une lettre écrite après ma tentative de suicide du 22 mars 1968, je pèse 38 kilos. A la fin des Maquisards du Bois de Vincennes, je prends des notes sur l'expérience de la grève de la faim faite à la fac, pour les Bourses universitaires, je pèse 39 kilos.
Après mon amant révolutionnaire du Soleil dans L'oeil, j'ai plusieurs amants dans les milieux de la mode, du design ou de la fac, en liberté des corps et des coeurs. Mais au milieu des expériences amoureuses, j'ai besoin de partir à la recherche de Brendan, l'anti-héros d'Aquamarine 67 et du Soleil dans l'Oeil.
L'écriture se fait toujours entre le quotidien et les réminiscences d'événements ou personnages déjà apparus dans les précédents livrels. Une écriture qui coule comme le temps passe. Parfois lentement. Parfois très vite. Comme la vie en 69, année érotique.
Gaelle Kermen,
Kerantorec, 24 février 2011