Author: | Charles Tellier | ISBN: | 1230001056020 |
Publisher: | E H | Publication: | March 12, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Charles Tellier |
ISBN: | 1230001056020 |
Publisher: | E H |
Publication: | March 12, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
La question du chemin de fer Métropolitain s’impose pour Paris.
Nombre de projets ont été présentés, cherchant à éviter les difficultés nombreuses et sérieuses, que comporte la solution du problème.
Aucun n’a, jusqu’à présent, paru répondre efficacement aux besoins à satisfaire, parce que :
D’une part, la question technique est difficile à résoudre, en raison des conditions présentées par le parcours de Paris ;
Que d’une autre, on s’est plus préoccupé d’un mode de transport quelconque, que des satisfactions à donner à la population parisienne. Condition, cependant, qui domine la question et qui m’est apparue avant tout comme une nécessité.
Ceci posé, disons que le nom de Métropolitain n’est pas la dénomination vraie à employer pour les projets jusqu’ici mis en avant. Cette appellation n’est, en effet, pour eux, qu’une simple imitation de celle donnée à Londres au chemin de fer souterrain.
À Londres, ce nom, au début, était applicable. Il est naturel qu’il se soit perpétué, car la première création avait pour but d’amener vers la Cité, c’est-à-dire vers la métropole, qui constitue un monde à part, la circulation.
À Paris, les choses ne sont plus identiques. Elles diffèrent, au contraire, absolument.
Il n’y a plus, en effet, comme à Londres, ce vaste courant, qui, le matin, se dirige sur la Cité, pour en être ramené le soir ;
Il n’y a pas l’afflux de gens d’affaires, qui, tout le jour, viennent vers la Banque et les grandes institutions de crédit ou de commerce existantes dans la Cité ;...
La question du chemin de fer Métropolitain s’impose pour Paris.
Nombre de projets ont été présentés, cherchant à éviter les difficultés nombreuses et sérieuses, que comporte la solution du problème.
Aucun n’a, jusqu’à présent, paru répondre efficacement aux besoins à satisfaire, parce que :
D’une part, la question technique est difficile à résoudre, en raison des conditions présentées par le parcours de Paris ;
Que d’une autre, on s’est plus préoccupé d’un mode de transport quelconque, que des satisfactions à donner à la population parisienne. Condition, cependant, qui domine la question et qui m’est apparue avant tout comme une nécessité.
Ceci posé, disons que le nom de Métropolitain n’est pas la dénomination vraie à employer pour les projets jusqu’ici mis en avant. Cette appellation n’est, en effet, pour eux, qu’une simple imitation de celle donnée à Londres au chemin de fer souterrain.
À Londres, ce nom, au début, était applicable. Il est naturel qu’il se soit perpétué, car la première création avait pour but d’amener vers la Cité, c’est-à-dire vers la métropole, qui constitue un monde à part, la circulation.
À Paris, les choses ne sont plus identiques. Elles diffèrent, au contraire, absolument.
Il n’y a plus, en effet, comme à Londres, ce vaste courant, qui, le matin, se dirige sur la Cité, pour en être ramené le soir ;
Il n’y a pas l’afflux de gens d’affaires, qui, tout le jour, viennent vers la Banque et les grandes institutions de crédit ou de commerce existantes dans la Cité ;...