Un ouvrage qui se veut le premier testament philosophique du « philosophe de la joie », grand spécialiste de l'œuvre de Spinoza. Écrit sous forme de récit, sans jargon, Robert Misrahi nous invite à suivre ses pas dans sa vie de philosophe, vécue comme une vie « d'engagement en philosophie »... Ce qu'en dit l'auteur : En rassemblant les principaux résultats de mes écrits, j’accomplis une tâche supplémentaire : je dresse comme un bilan. Le temps vient toujours de faire un bilan de sa vie. Pour moi, ce sera le bilan d’une œuvre. Que ce bilan ne soit en fait jamais réellement “bouclé”, puisque j’ai bien l’intention d’écrire durant tout le temps qu’il me sera possible de le faire, ne signifie pas qu’un regard sur un demi-siècle de production ne puisse dégager des lignes de pensée dominantes et des propositions fermes et constantes. Plus précisément encore, ce regard synthétique et rétroactif, ce redéploiement ramassé de ma pensée pourrait valoir comme la validation ultime d’un itinéraire existentiel et d’une œuvre. Celle-ci révélerait alors dans son unité comme une philosophie pour vivre, c’est-à-dire comme une éthique.
Un ouvrage qui se veut le premier testament philosophique du « philosophe de la joie », grand spécialiste de l'œuvre de Spinoza. Écrit sous forme de récit, sans jargon, Robert Misrahi nous invite à suivre ses pas dans sa vie de philosophe, vécue comme une vie « d'engagement en philosophie »... Ce qu'en dit l'auteur : En rassemblant les principaux résultats de mes écrits, j’accomplis une tâche supplémentaire : je dresse comme un bilan. Le temps vient toujours de faire un bilan de sa vie. Pour moi, ce sera le bilan d’une œuvre. Que ce bilan ne soit en fait jamais réellement “bouclé”, puisque j’ai bien l’intention d’écrire durant tout le temps qu’il me sera possible de le faire, ne signifie pas qu’un regard sur un demi-siècle de production ne puisse dégager des lignes de pensée dominantes et des propositions fermes et constantes. Plus précisément encore, ce regard synthétique et rétroactif, ce redéploiement ramassé de ma pensée pourrait valoir comme la validation ultime d’un itinéraire existentiel et d’une œuvre. Celle-ci révélerait alors dans son unité comme une philosophie pour vivre, c’est-à-dire comme une éthique.