Author: | Edward Sellon, William Simpson Potter | ISBN: | 1230003022412 |
Publisher: | Duringe, 1903 | Publication: | January 7, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Edward Sellon, William Simpson Potter |
ISBN: | 1230003022412 |
Publisher: | Duringe, 1903 |
Publication: | January 7, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Extrait: J’ai déjà dit que miss Aline devenait chaque jour de plus en plus familière dans sa manière d’être avec moi et dans ses caresses. Elle me serrait fortement contre elle, passant presque toujours son bras autour de ma taille, m’embrassant souvent et me pressant contre sa poitrine ferme et bien développée. Ces caresses avaient un effet direct sur mes parties secrètes, même lorsque j’avais moins de raisons d’être très excité par suite du travail amoureux que me faisait faire madame Benson. Maintenant je n’avais même plus cette occasion, car les quelques plaisirs que je prenais avec ma sœur Marie n’étaient rien en comparaison des travaux que j’avais exécutés pendant tout un mois. Depuis le jour où je remarquais la petite déception qu’éprouva miss Aline en attribuant à ses étreintes la distraction évidente dans laquelle j’étais par suite du retour de monsieur Benson, elle avait augmenté ses serrements de mon corps contre le sien et devait certainement sentir ma .... toute raide tressaillir contre sa cuisse. Je remarquais souvent comme ses yeux brillaient alors et comme elle rougissait en m’embrassant, moi je me contentais de lui caresser les joues. Par moments elle me repoussait brusquement, me disant d’aller reprendre ma place ; fréquemment aussi, elle quittait la chambre dans un état de grande agitation, ce qui me fit supposer qu’un combat terrible se livrait en elle entre sa raison et sa passion. Me souvenant des sages conseils que m’avait donnés madame Benson, ma bien-aimée et ravissante maîtresse, je résolus de faire l’innocent et de laisser ses passions se développer et produire l’effet que je désirais si vivement. Je ne sais si j’aurais pu attendre bien longtemps sans le secours que je trouvais dans les étreintes de ma chère Marie qui, chaque fois que nous pouvions nous rencontrer en cachette, devenait de plus en plus attrayante et plus capable de donner et de recevoir le plaisir. Nous eûmes beaucoup de mal pour empêcher Elise de voir ce qui se passait entre nous. À la fin Marie se décida à initier Elise aux plaisirs du gamahuchage ; elle lui dit donc ce que je lui faisais quand nous nous enfermions ensemble et lui promit que je lui ferais la même chose si elle voulait garder le secret ; mais qu’il était nécessaire que l’une ferait le guet dans le cas où miss Aline viendrait. Marie commença à gamahucher Elise qui jouit outre mesure, car, quoique de dix-huit mois plus jeune que Marie, elle montra de suite que ses passions étaient plus développées que celles de sa sœur......
Extrait: J’ai déjà dit que miss Aline devenait chaque jour de plus en plus familière dans sa manière d’être avec moi et dans ses caresses. Elle me serrait fortement contre elle, passant presque toujours son bras autour de ma taille, m’embrassant souvent et me pressant contre sa poitrine ferme et bien développée. Ces caresses avaient un effet direct sur mes parties secrètes, même lorsque j’avais moins de raisons d’être très excité par suite du travail amoureux que me faisait faire madame Benson. Maintenant je n’avais même plus cette occasion, car les quelques plaisirs que je prenais avec ma sœur Marie n’étaient rien en comparaison des travaux que j’avais exécutés pendant tout un mois. Depuis le jour où je remarquais la petite déception qu’éprouva miss Aline en attribuant à ses étreintes la distraction évidente dans laquelle j’étais par suite du retour de monsieur Benson, elle avait augmenté ses serrements de mon corps contre le sien et devait certainement sentir ma .... toute raide tressaillir contre sa cuisse. Je remarquais souvent comme ses yeux brillaient alors et comme elle rougissait en m’embrassant, moi je me contentais de lui caresser les joues. Par moments elle me repoussait brusquement, me disant d’aller reprendre ma place ; fréquemment aussi, elle quittait la chambre dans un état de grande agitation, ce qui me fit supposer qu’un combat terrible se livrait en elle entre sa raison et sa passion. Me souvenant des sages conseils que m’avait donnés madame Benson, ma bien-aimée et ravissante maîtresse, je résolus de faire l’innocent et de laisser ses passions se développer et produire l’effet que je désirais si vivement. Je ne sais si j’aurais pu attendre bien longtemps sans le secours que je trouvais dans les étreintes de ma chère Marie qui, chaque fois que nous pouvions nous rencontrer en cachette, devenait de plus en plus attrayante et plus capable de donner et de recevoir le plaisir. Nous eûmes beaucoup de mal pour empêcher Elise de voir ce qui se passait entre nous. À la fin Marie se décida à initier Elise aux plaisirs du gamahuchage ; elle lui dit donc ce que je lui faisais quand nous nous enfermions ensemble et lui promit que je lui ferais la même chose si elle voulait garder le secret ; mais qu’il était nécessaire que l’une ferait le guet dans le cas où miss Aline viendrait. Marie commença à gamahucher Elise qui jouit outre mesure, car, quoique de dix-huit mois plus jeune que Marie, elle montra de suite que ses passions étaient plus développées que celles de sa sœur......